Le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), Moulay Hafid Elalamy, a été décoré des insignes de l'ordre de chevalier de la Légion d'honneur de la République française, lors d'une cérémonie organisée jeudi à Paris, en présence de plusieurs personnalités marocaines et françaises du monde de la politique, de l'économie, des médias et du sport.
Cette distinction, la plus haute décoration honorifique française, lui a été remise, au nom du président français, Nicolas Sarkozy, par le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement, Brice Hortefeux, qui a saisi cette occasion pour se féliciter de la relation privilégiée qu'entretiennent le Maroc et la France dans tous les domaines.
Concernant la coopération économique et commerciale entre la France et le Maroc, M. Hortefeux a souligné que la CGEM et le Mouvement des entreprises de France (MEDEF-patronat) ont joué un rôle de premier plan dans le rapprochement des entreprises et des hommes d'affaires des deux pays, rappelant à cet égard les nombreuses rencontres entre les deux patronats qu'il a qualifiées de "fructueuses". Il a également mis en exergue l'action entreprise par le Groupe d'impulsion économique France-Maroc (GIEFC), au service de ce partenariat stratégique, félicitant ses co-présidents, le Marocain Mustapha Bakoury, directeur général de la CDG et le Français Jean-René Fourtou, président du directoire de Vivendi, pour le travail qu'ils ont accompli pour le renforcement des relations économiques maroco-françaises.
Pour sa part, M. Elalamy s'est dit touché et comblé de recevoir les insignes de l'ordre de chevalier de la Légion d'honneur, soulignant qu'il mesure la portée de cette prestigieuse distinction qui l'honore. Après avoir remercié le ministre, en son nom personnel et en celui du Maroc, pour cette distinction, M. Elalamy a indiqué que cette décoration est une reconnaissance de l'effort fourni, mais aussi un encouragement pour persévérer et franchir toutes les difficultés que le monde réserve aux économies des deux pays.
Rappelant la longue période qu'il avait passée au Canada où il avait fait ses études supérieures, M. Elalamy a indiqué que son retour au Maroc a été dictée par une "ferme volonté" de rendre à son pays un peu de ce que ce dernier lui a "si généreusement donné".
"Durant mon parcours professionnel, j'ai essayé de garder à l'esprit la raison première de mon retour au Maroc, restituer une partie de ce que j'ai reçu", a-t-il dit, signalant que le plaisir de contribuer à l'émergence d'un des secteurs phares de l'économie marocaine lui a procuré "d'inoubliables satisfactions". Evoquant les réformes d'envergure entreprises au Maroc sous l'impulsion de S.M. le Roi Mohammed VI, le président de la CGEM a indiqué que la réforme qui constitue l'ossature de tous les changements positifs qu'a connus le Maroc, est celle du remplacement progressif et serein de plus de 300 hauts fonctionnaires à ce jour.
Ce processus, a-t-il affirmé, a conforté l'enclenchement d'une dynamique vertueuse, dans la mesure où les interlocuteurs des opérateurs économiques au niveau de l'administration ont changé de mode opératoire. "Ce fut là la naissance de ce que l'on appelle désormais au Maroc la nouvelle conception de l'administration avec un objectif nouveau, l'administration au service du citoyen",
a-t-il dit, ajoutant que cette approche permet plus de visibilité et crée de nouvelles perspectives pour les opérateurs marocains et étrangers, mais aussi pour tous les jeunes qui ont un dispositif d'accompagnement. Et de conclure que ces transformations qu'a connues le Maroc ont engendré une croissance économique plus favorable, avec ses bienfaits, mais aussi avec de nouveaux défis à relever.
Cette distinction, la plus haute décoration honorifique française, lui a été remise, au nom du président français, Nicolas Sarkozy, par le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement, Brice Hortefeux, qui a saisi cette occasion pour se féliciter de la relation privilégiée qu'entretiennent le Maroc et la France dans tous les domaines.
Concernant la coopération économique et commerciale entre la France et le Maroc, M. Hortefeux a souligné que la CGEM et le Mouvement des entreprises de France (MEDEF-patronat) ont joué un rôle de premier plan dans le rapprochement des entreprises et des hommes d'affaires des deux pays, rappelant à cet égard les nombreuses rencontres entre les deux patronats qu'il a qualifiées de "fructueuses". Il a également mis en exergue l'action entreprise par le Groupe d'impulsion économique France-Maroc (GIEFC), au service de ce partenariat stratégique, félicitant ses co-présidents, le Marocain Mustapha Bakoury, directeur général de la CDG et le Français Jean-René Fourtou, président du directoire de Vivendi, pour le travail qu'ils ont accompli pour le renforcement des relations économiques maroco-françaises.
Pour sa part, M. Elalamy s'est dit touché et comblé de recevoir les insignes de l'ordre de chevalier de la Légion d'honneur, soulignant qu'il mesure la portée de cette prestigieuse distinction qui l'honore. Après avoir remercié le ministre, en son nom personnel et en celui du Maroc, pour cette distinction, M. Elalamy a indiqué que cette décoration est une reconnaissance de l'effort fourni, mais aussi un encouragement pour persévérer et franchir toutes les difficultés que le monde réserve aux économies des deux pays.
Rappelant la longue période qu'il avait passée au Canada où il avait fait ses études supérieures, M. Elalamy a indiqué que son retour au Maroc a été dictée par une "ferme volonté" de rendre à son pays un peu de ce que ce dernier lui a "si généreusement donné".
"Durant mon parcours professionnel, j'ai essayé de garder à l'esprit la raison première de mon retour au Maroc, restituer une partie de ce que j'ai reçu", a-t-il dit, signalant que le plaisir de contribuer à l'émergence d'un des secteurs phares de l'économie marocaine lui a procuré "d'inoubliables satisfactions". Evoquant les réformes d'envergure entreprises au Maroc sous l'impulsion de S.M. le Roi Mohammed VI, le président de la CGEM a indiqué que la réforme qui constitue l'ossature de tous les changements positifs qu'a connus le Maroc, est celle du remplacement progressif et serein de plus de 300 hauts fonctionnaires à ce jour.
Ce processus, a-t-il affirmé, a conforté l'enclenchement d'une dynamique vertueuse, dans la mesure où les interlocuteurs des opérateurs économiques au niveau de l'administration ont changé de mode opératoire. "Ce fut là la naissance de ce que l'on appelle désormais au Maroc la nouvelle conception de l'administration avec un objectif nouveau, l'administration au service du citoyen",
a-t-il dit, ajoutant que cette approche permet plus de visibilité et crée de nouvelles perspectives pour les opérateurs marocains et étrangers, mais aussi pour tous les jeunes qui ont un dispositif d'accompagnement. Et de conclure que ces transformations qu'a connues le Maroc ont engendré une croissance économique plus favorable, avec ses bienfaits, mais aussi avec de nouveaux défis à relever.
