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Deux Commissions ont été désignées à cet effet, présidées par, Omar Bahraoui, Président du Conseil. Les conseillers ont exigé toutefois que les associations sportives implantées dans ce site bénéficient en contrepartie d'une infrastructure alternative qui serait mise à leur disposition par la Municipalité. L'ensemble des représentants des partis politiques sont représentés dans ces deux Commissions. Les obstructionnistes parmi les Conseillers n'auront tout simplement pas voulu forcer une porte entre ouverte. La réponse à leurs questionnements a été donnée auparavant lors de la conférence de presse tenue par le Comité Directeur le 9 mars courant. Il a été dit et redit que le FUS n'agissait pas pour son seul propre compte mais également pour celui des autres (le Stade Marocain et l'Olympique Marocain) avec les quels il s'était concerté.
La conférence de presse avait insisté par ailleurs sur la nécessité d'actualiser le canevas réglementaire devenu désuet eu égard à la réalité actuelle et future et par rapport aux enjeux d'une activité sportive reconnue comme étant un levier de développement de la vie socio-économique des nations qui ont misé sur ce créneau grand pourvoyeur d'emplois et qui génère une forte valeur ajoutée en termes monétaire et de prestige. Quand les conseillers se sont livré bataille à couteaux tirés, jusqu'à 2 heures du matin, avant de parvenir au dénouement. Une accalmie précaire toutefois qui ne signifie nullement qu'ils ont enterré la hache de guerre. C'était laborieux par la faute des obstructionnistes, spécialistes de politique politicienne. Pourtant, il ne pourrait leur échapper ce que le projet en question représente comme aubaine historique, aux enjeux sportifs et financiers d'importance, dont la capitale ne pouvait que rêver.
Le manque de volonté politique de la part de certains responsables communaux, conjugué au défaut de moyens des collectivités locales, s'érigent en véritable frein à toute initiative de développement de l'activité sportive dans la capitale. Le commun des mortels constatera que le projet sera piloté par un tour de table de marque, composé de ténors de la finance et des affaires parmi les institutionnels publics (CDG, ONEP, ONA ...). Omar Bahraoui, et Ali Benali, président de la Commission du Patrimoine, ont dû se livrer à un jeu d'équilibriste avant de parvenir à sauver l'embarcation d'un naufrage certain. Certains invoquent la privation de la jeunesse de la Commune de cette infrastructure qui leur était destinée au départ.
La preuve est que ce patrimoine, dont le coup de pioche a été donné il y a 20 ans, est resté fermé jusqu'à nos jours. Par ailleurs, sa cession selon la formule gestion-déléguée du Complexe aura l'intérêt de tirer le tapis sous les pieds de pantouflards qui utilisent cet édifice public comme carte électorale, promettant son ouverture au profit des partisans en cas de victoire finale. La Commission chargée d'étudier de près la demande de la société FUS-développement semble favorable à l'option «gestion-déléguée» du moment que l'unanimité n'a pas été faite autour de sa cession définitive, en l'absence de texte réglementaire habilitant un club à développer des activités lucratives. Quant au Complexe Hay Nahda, qui portera le nom de Complexe Prince My Al Hassan, il est demandé au FUS-développement de généraliser l'accès à la pratique sportive au plus grand nombre possible de jeunes et assurer leur formation dans le cadre de programmes établis à cet effet.
Une commission sera déduite des recettes brutes (Hors Taxe) du Complexe et sera versée dans la caisse du Conseil Municipal. En contrepartie, celui-ci supportera les frais d'eau et d'électricité. Il prendra également en charge les frais d'entretien et les salaires des employés.
Cette initiative est à saluer puisqu'elle atteste du souci du Conseil à supporter une partie du fardeau, même si certains y voient plutôt une mesure destinée à garder un œil vigilant sur ce qui se tramera au sein de cet établissement, financé par l'argent du contribuable.
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FUS-Développement a demandé également l'utilisation du Complexe sis à Hay Nahda qui abrite un stade de football gazonné, avec gradins d'une capacité de 40.000 places, une salle omnisports couverte, deux piscines (dont une couverte) et une piste d'athlétisme.
Le Conseil municipal a constitué une commission qui devra donner une réponse définitive à la demande de la Société dans les jours à venir pour ce qui est de la formule à adopter concernant le terrain Belvédère.
Quant au Complexe Hay Nahda, l'accord de sa remise au FUS n'est plus qu'une question de temps, le temps qu'une Commission élabore un cahier des charges.
La conférence de presse avait insisté par ailleurs sur la nécessité d'actualiser le canevas réglementaire devenu désuet eu égard à la réalité actuelle et future et par rapport aux enjeux d'une activité sportive reconnue comme étant un levier de développement de la vie socio-économique des nations qui ont misé sur ce créneau grand pourvoyeur d'emplois et qui génère une forte valeur ajoutée en termes monétaire et de prestige. Quand les conseillers se sont livré bataille à couteaux tirés, jusqu'à 2 heures du matin, avant de parvenir au dénouement. Une accalmie précaire toutefois qui ne signifie nullement qu'ils ont enterré la hache de guerre. C'était laborieux par la faute des obstructionnistes, spécialistes de politique politicienne. Pourtant, il ne pourrait leur échapper ce que le projet en question représente comme aubaine historique, aux enjeux sportifs et financiers d'importance, dont la capitale ne pouvait que rêver.
Le manque de volonté politique de la part de certains responsables communaux, conjugué au défaut de moyens des collectivités locales, s'érigent en véritable frein à toute initiative de développement de l'activité sportive dans la capitale. Le commun des mortels constatera que le projet sera piloté par un tour de table de marque, composé de ténors de la finance et des affaires parmi les institutionnels publics (CDG, ONEP, ONA ...). Omar Bahraoui, et Ali Benali, président de la Commission du Patrimoine, ont dû se livrer à un jeu d'équilibriste avant de parvenir à sauver l'embarcation d'un naufrage certain. Certains invoquent la privation de la jeunesse de la Commune de cette infrastructure qui leur était destinée au départ.
La preuve est que ce patrimoine, dont le coup de pioche a été donné il y a 20 ans, est resté fermé jusqu'à nos jours. Par ailleurs, sa cession selon la formule gestion-déléguée du Complexe aura l'intérêt de tirer le tapis sous les pieds de pantouflards qui utilisent cet édifice public comme carte électorale, promettant son ouverture au profit des partisans en cas de victoire finale. La Commission chargée d'étudier de près la demande de la société FUS-développement semble favorable à l'option «gestion-déléguée» du moment que l'unanimité n'a pas été faite autour de sa cession définitive, en l'absence de texte réglementaire habilitant un club à développer des activités lucratives. Quant au Complexe Hay Nahda, qui portera le nom de Complexe Prince My Al Hassan, il est demandé au FUS-développement de généraliser l'accès à la pratique sportive au plus grand nombre possible de jeunes et assurer leur formation dans le cadre de programmes établis à cet effet.
Une commission sera déduite des recettes brutes (Hors Taxe) du Complexe et sera versée dans la caisse du Conseil Municipal. En contrepartie, celui-ci supportera les frais d'eau et d'électricité. Il prendra également en charge les frais d'entretien et les salaires des employés.
Cette initiative est à saluer puisqu'elle atteste du souci du Conseil à supporter une partie du fardeau, même si certains y voient plutôt une mesure destinée à garder un œil vigilant sur ce qui se tramera au sein de cet établissement, financé par l'argent du contribuable.
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Constitution d'une commission
La société FUS - Développement a émis le souhait de disposer du terrain Belvédère qui s'étend sur une superficie de 10 ha afin d'y édifier une infrastructure sportive et économique. Ce terrain qui est propriété des domaines publics sera immatriculé au profit du Conseil Municipal.FUS-Développement a demandé également l'utilisation du Complexe sis à Hay Nahda qui abrite un stade de football gazonné, avec gradins d'une capacité de 40.000 places, une salle omnisports couverte, deux piscines (dont une couverte) et une piste d'athlétisme.
Le Conseil municipal a constitué une commission qui devra donner une réponse définitive à la demande de la Société dans les jours à venir pour ce qui est de la formule à adopter concernant le terrain Belvédère.
Quant au Complexe Hay Nahda, l'accord de sa remise au FUS n'est plus qu'une question de temps, le temps qu'une Commission élabore un cahier des charges.
