Vu l'étendue du territoire géré, la multiplicité des métiers et l'exigence des clients, le responsable de la gestion déléguée de l'eau, de l'électricité et de l'assainissement liquide s'est vu «contraint» de mettre à niveau ses outils de travail. Il faut dire que les métiers de Lydec sont intimement liés au territoire.
Dans leurs activités de tous les jours, les collaborateurs de l'entreprise travaillent en s'appuyant notamment sur les plans des réseaux d'eau, d'électricité, d'assainissement et d'éclairage public. «Pour chaque intervention, les agents éditent les données alphanumériques et géographiques dont ils ont besoin, et veillent à mettre à jour ces données en cas de modification», explique la société de délégation.
Le SIG serait ainsi un nouvel atout pour organiser et présenter des données spatialement référencées par les agents, mais aussi pour produire les plans, cartes et supports nécessaires aux interventions. Cette nouvelle méthode de travail est également bénéfique pour la gestion et le recensement du patrimoine des collectivités locales. En effet, une fois positionné sur des cartes géographiques, l'ensemble des réseaux de la ville deviendra plus facile à entretenir.
Dans ce cadre, les responsables de Lydec ont affirmé que «les données relatives aux schémas directeurs eau, assainissement et électricité et aux services en charge de la clientèle et du marketing sont en cours d'intégration». Autre avantage du SIG est de pouvoir visualiser sur écran le territoire de la gestion déléguée et d'affiner la recherche par niveaux de détails. L'interface du système permettra d'afficher des informations détaillées sur le réseau ainsi que les investissements passés et à venir.
Ces avancées se répercuteront positivement sur la gestion du patrimoine des collectivités, notamment en matière de réalisation des études des schémas directeurs, le renouvellement et la maintenance des réseaux, la localisation des fuites, la précision et la cadence des interventions ainsi que le traitement des eaux rouges. Par ailleurs, le SIG en question interviendrait également au niveau des relations entre Lydec et les services extérieurs.
«Grâce à cette plateforme, les échanges d'informations peuvent se développer entre le délégataire et ses partenaires externes pour plus d'efficacité dans la gestion des projets sur le terrain», explique la société délégataire. Selon cette dernière, le citoyen lambda peut aussi bénéficier de ce nouveau système d'information. «Relié à la base de données clientèle, le SIG permet de situer les clients sur la carte, mais aussi les agents Lydec en charge des interventions», apprend-on de même source. Cette nouvelle donne permettra de traiter les réclamations des clients dans un délai plus bref qu'auparavant.
En cas de coupure d'eau ou d'électricité, ce système permettra aussi de déterminer les clients concernés. Il est à signaler que le SIG de Lydec est accessible à tous les utilisateurs d'informatique de l'entreprise et aux partenaires externes, dont les collectivités, administrations et sociétés. Afin de mettre en place ce nouveau système, l'entreprise a collecté des données sur l'ensemble de ses réseaux gérés au niveau de la métropole. Plus précisément, ce projet a concerné la numérisation et cartographie de 4.172 km de canalisations d'eau, 2.200 km de lignes électriques moyenne Tension, 3.700 km de canalisations d'assainissement et 100.000 points lumineux en éclairage public.
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Les données sur le territoire concernent principalement les limites administratives de la gestion déléguée, les quartiers, les dénominations des voies, et les lieux remarquables. En interne, Lydec a constitué un référentiel d'adresses partagé (RAP) utilisable par tous les services. Concrètement, l'entreprise y a reporté les adresses de tous ses clients telles qu'elles ont été relevées sur le terrain. Ce recensement a été aussi complété par un travail de validation avec les services de la ville.
Dans leurs activités de tous les jours, les collaborateurs de l'entreprise travaillent en s'appuyant notamment sur les plans des réseaux d'eau, d'électricité, d'assainissement et d'éclairage public. «Pour chaque intervention, les agents éditent les données alphanumériques et géographiques dont ils ont besoin, et veillent à mettre à jour ces données en cas de modification», explique la société de délégation.
Le SIG serait ainsi un nouvel atout pour organiser et présenter des données spatialement référencées par les agents, mais aussi pour produire les plans, cartes et supports nécessaires aux interventions. Cette nouvelle méthode de travail est également bénéfique pour la gestion et le recensement du patrimoine des collectivités locales. En effet, une fois positionné sur des cartes géographiques, l'ensemble des réseaux de la ville deviendra plus facile à entretenir.
Dans ce cadre, les responsables de Lydec ont affirmé que «les données relatives aux schémas directeurs eau, assainissement et électricité et aux services en charge de la clientèle et du marketing sont en cours d'intégration». Autre avantage du SIG est de pouvoir visualiser sur écran le territoire de la gestion déléguée et d'affiner la recherche par niveaux de détails. L'interface du système permettra d'afficher des informations détaillées sur le réseau ainsi que les investissements passés et à venir.
Ces avancées se répercuteront positivement sur la gestion du patrimoine des collectivités, notamment en matière de réalisation des études des schémas directeurs, le renouvellement et la maintenance des réseaux, la localisation des fuites, la précision et la cadence des interventions ainsi que le traitement des eaux rouges. Par ailleurs, le SIG en question interviendrait également au niveau des relations entre Lydec et les services extérieurs.
«Grâce à cette plateforme, les échanges d'informations peuvent se développer entre le délégataire et ses partenaires externes pour plus d'efficacité dans la gestion des projets sur le terrain», explique la société délégataire. Selon cette dernière, le citoyen lambda peut aussi bénéficier de ce nouveau système d'information. «Relié à la base de données clientèle, le SIG permet de situer les clients sur la carte, mais aussi les agents Lydec en charge des interventions», apprend-on de même source. Cette nouvelle donne permettra de traiter les réclamations des clients dans un délai plus bref qu'auparavant.
En cas de coupure d'eau ou d'électricité, ce système permettra aussi de déterminer les clients concernés. Il est à signaler que le SIG de Lydec est accessible à tous les utilisateurs d'informatique de l'entreprise et aux partenaires externes, dont les collectivités, administrations et sociétés. Afin de mettre en place ce nouveau système, l'entreprise a collecté des données sur l'ensemble de ses réseaux gérés au niveau de la métropole. Plus précisément, ce projet a concerné la numérisation et cartographie de 4.172 km de canalisations d'eau, 2.200 km de lignes électriques moyenne Tension, 3.700 km de canalisations d'assainissement et 100.000 points lumineux en éclairage public.
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Aspects techniques du projet
Pour la mise en place du nouveau système d'information, le délégataire a fait appel aux services d' ESRI, un éditeur de SIG international. Ce projet a été réalisé par les équipes de Lydec en partenariat avec des sociétés spécialisées de la place et des experts de son actionnaire majoritaire Suez. Le déploiement du SIG a nécessité l'intégration des données existantes, la collecte de données sur les réseaux et le territoire, la conception de nouvelles applications et l'accompagnement des utilisateurs.Les données sur le territoire concernent principalement les limites administratives de la gestion déléguée, les quartiers, les dénominations des voies, et les lieux remarquables. En interne, Lydec a constitué un référentiel d'adresses partagé (RAP) utilisable par tous les services. Concrètement, l'entreprise y a reporté les adresses de tous ses clients telles qu'elles ont été relevées sur le terrain. Ce recensement a été aussi complété par un travail de validation avec les services de la ville.
