D'Agadir à Lagouira, la côte atlantique dispose de belles plages sauvages et féeriques avec des paysages multiples et variés ‘'dessinés d'une main divine''. Des sites côtiers qui font l'unanimité sur leur beauté attractive et leur nature naturelle et exceptionnelle. Ces plages se caractérisent par leur grandeur, leur immensité et une couleur bleue éternelle... L'Atlantique se lie au désert dans une grande symbiose dans un mariage sans intermédiaire. Des dunes, de couleurs jaune et rouge, se jettent dans les bras de l'océan en toute quiétude et s'abritent sous les vagues tantôt douces tantôt violentes. Les plages du Sud constituent un potentiel naturel touristique féerique, elles méritent donc un déplacement pour la découverte de leur beauté exceptionnelle !
Des plages en grains de sable et des falaises, où chaque pas est une occasion de découverte d'un mythe ou d'un mystère de la nature désertique, qui s'étalent parfois sur plus de 40 km de longueur, séparées d'autres plages, par une ligne de falaises de la même distance ou plus. L'Atlantique offre à ses plages la bénédiction de sa grandeur et le reflet de sa couleur bleue variante à des rythmes réguliers. La nature a aussi béni ces plages d'un été long qui dure toute l'année.
Elles se dessinent aussi en lagunes au niveau de la commune d'Akhfnir. La lagune de “Naylat'', qui est un parc naturel, comprend de belles plages le long de la commune et des falaises à perte de vue où les pêcheurs à la ligne amateurs et professionnels viennent pêcher la corbine en particulier. Le site de Khnefis est l'unique lagune saharienne en Afrique du Nord et la plus vaste le long de la côte atlantique marocaine, il comprend six espèces de plantes d'importance mondiale, trois espèces de tadorne, etc.
La lagune abrite également 30 espèces de macro-algues et 72 espèces de plantes vasculaires d'une richesse énorme en invertébrés marins dont 57 mollusques, 96 crustacés et polychètes. Le site de Khnefis est d'une valeur indéniable pour l'alimentation de “faryere et d'alevinage'' pour les poissons. Il est une escale pour un grand nombre d'oiseaux migrateurs. D'autre part, la partie continentale se compose de beaucoup de “Sebkhats'' ou lacs salés offrant un paysage naturel féerique sans égal en beauté et charme de la nature dans le désert marocain.
A Tan-Tan, il y a la plage d'El Ouatia qui constitue le principal pôle d'estivage le plus proche de la ville vers lequel se ruent des milliers de gens de la province, mais aussi en provenance de Guelmine, Smara , Tata et Assa-Zag. Il y a aussi la plage blanche de Sidi Ifni. Au sud de la commune d'Akhfnir, il y a la plage de la ville de Tarfaya.
Les habitants du Sahara préfèrent surtout déguster des verres de thé préparés à la manière sahraouie pendant le matin ou après “Algaila” (la sieste) et contempler la grandeur de l'océan à travers des vers de poésie en dialecte hassani et mener des discussions sur “lhaya'' troupeau de dromadaires et les autres “Friks'', c'est-à-dire les autres tentes dispersées dans le désert. Se baigner donc pour les Sahraouis, ce n'est pas seulement un plaisir mais aussi une occasion de se débarrasser des talismans faits par des ennemis ou d'esprit magique, se baigner, c'est également se purifier, etc. Il est à rappeler que les plages sont nombreuses entre Tarfaya et Laâyoune, notamment ‘'Dzira'' et “Amigiou'', qui sont aussi des villages de pêcheurs. Entre Laâyoune et Boujdour et aussi entre Boujdour et Dakhla, 1.400 km de plages pour environ 700.000 habitants. Ces espaces abritent aussi tous les sports nautiques, notamment à Dakhla où des investisseurs étrangers et marocains ont créé des clubs et des espaces pour le surf, etc. (plusieurs projets sont déjà opérationnels dans ce domaine).
La plage de Foum El Oued, situé à 20 km au sud de la ville de Laâyoune, constitue le pôle d'estivage le plus important des provinces du Sud.
Chaque année, elle accueille des milliers d'estivants en provenance de toutes les régions du Sud et du Royaume. La corniche qui s'étend sur 11 km a connu un développement important au cours des dernières années, notamment la connexion aux réseaux de l'électricité et de l'eau. Elle dispose aussi d'une importante infrastructure de base, un dispensaire, un service de sécurité, une mosquée, etc. C'est également une plage propre et bien entretenue, puisqu'elle a mérité le Pavillon bleu cette année. Elle constitue donc un véritable pôle touristique pour les nationaux et les étrangers et un potentiel touristique important dans la province de Laâyoune. La baie d'Oued Eddahab (d'une longueur de 40 km et une largeur entre 4 et 8 km), les plages illimitées connues par leur sable fin et le soleil à longueur d'année font de la région l'un des sites touristiques les plus convoités à l'échelle mondiale. Les plages de Dakhla connaissent un flux d'investissements important.
Des projets en cours d'étude d'une valeur de plus de 280 millions DH sont en cours de réalisation ou d'étude dans cette région, notamment dans le domaine des sports nautiques. Un avenir grandiose attend donc les plages du Sud pour contribuer au développement du tourisme, car il s'agit d'un secteur qui mérite plus de considération par le ministère de tutelle et les autres opérateurs concernés.
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Une fois arrivés dans ces villes touristiques, les estivants profitent du soleil et des équipements très modernes qu'offrent les ports de plaisance de Marina Smir et de Kabila où plusieurs luxueux yachts jettent l'ancre pour admirer les vues panoramiques de ces importants sites portuaires et de plaisance qu'on ne peut trouver que dans cette partie du Royaume. A Martil, les estivants se sentent comme chez eux puisque des soirées artistiques, des rencontres sportives et des compétitions nautiques sont programmées tout au long de la saison des grandes vacances.
Les petits centres d'Azla, d'Amsa, de Tamernout et de Oued Laou ont un autre charme. En plus des merveilleuses plages, on peut aussi apprécier les jolies montagnes ornées de chêne et chêne-liège typique arbuste de la région. De plus, ces petits centres d'estivage comptent aussi des sorties de pêche, des campings à normes internationales, etc. Les souks hebdomadaires restent incontestablement un lieu pour des «shopings» et l'achat de souvenirs de la région, et surtout les ustensiles de cuisine réalisés à la main à l'aide de l'argile par les femmes de Beni Saïd au Douar «Fran Ali». Passer des jours de congé dans les différents centres du Nord du Maroc est une vraie chance pour les uns ou un choix pour les autres.
En plus des plages, balnéaires, golf, yachting et autres sports nautiques, à Tétouan et sa région, il y a aussi des circuits et randonnées, des visites aux sites historiques de Tamuda, Lixus et Chefchaouen en plus de la Médina de la ville de la «Colombe Blanche», classée par l'Unesco, patrimoine universel de l'humanité. Des musées archéologiques et ethnographiques ainsi que l'Ecole nationale des arts et des métiers et l'Institut national des beaux arts sont aussi des atouts culturels, historiques et artistiques pour ceux qui veulent joindre l'utile à l'agréable et passer des vacances de rêve. A. M'Rabet
Des plages en grains de sable et des falaises, où chaque pas est une occasion de découverte d'un mythe ou d'un mystère de la nature désertique, qui s'étalent parfois sur plus de 40 km de longueur, séparées d'autres plages, par une ligne de falaises de la même distance ou plus. L'Atlantique offre à ses plages la bénédiction de sa grandeur et le reflet de sa couleur bleue variante à des rythmes réguliers. La nature a aussi béni ces plages d'un été long qui dure toute l'année.
Elles se dessinent aussi en lagunes au niveau de la commune d'Akhfnir. La lagune de “Naylat'', qui est un parc naturel, comprend de belles plages le long de la commune et des falaises à perte de vue où les pêcheurs à la ligne amateurs et professionnels viennent pêcher la corbine en particulier. Le site de Khnefis est l'unique lagune saharienne en Afrique du Nord et la plus vaste le long de la côte atlantique marocaine, il comprend six espèces de plantes d'importance mondiale, trois espèces de tadorne, etc.
La lagune abrite également 30 espèces de macro-algues et 72 espèces de plantes vasculaires d'une richesse énorme en invertébrés marins dont 57 mollusques, 96 crustacés et polychètes. Le site de Khnefis est d'une valeur indéniable pour l'alimentation de “faryere et d'alevinage'' pour les poissons. Il est une escale pour un grand nombre d'oiseaux migrateurs. D'autre part, la partie continentale se compose de beaucoup de “Sebkhats'' ou lacs salés offrant un paysage naturel féerique sans égal en beauté et charme de la nature dans le désert marocain.
A Tan-Tan, il y a la plage d'El Ouatia qui constitue le principal pôle d'estivage le plus proche de la ville vers lequel se ruent des milliers de gens de la province, mais aussi en provenance de Guelmine, Smara , Tata et Assa-Zag. Il y a aussi la plage blanche de Sidi Ifni. Au sud de la commune d'Akhfnir, il y a la plage de la ville de Tarfaya.
Les habitants du Sahara préfèrent surtout déguster des verres de thé préparés à la manière sahraouie pendant le matin ou après “Algaila” (la sieste) et contempler la grandeur de l'océan à travers des vers de poésie en dialecte hassani et mener des discussions sur “lhaya'' troupeau de dromadaires et les autres “Friks'', c'est-à-dire les autres tentes dispersées dans le désert. Se baigner donc pour les Sahraouis, ce n'est pas seulement un plaisir mais aussi une occasion de se débarrasser des talismans faits par des ennemis ou d'esprit magique, se baigner, c'est également se purifier, etc. Il est à rappeler que les plages sont nombreuses entre Tarfaya et Laâyoune, notamment ‘'Dzira'' et “Amigiou'', qui sont aussi des villages de pêcheurs. Entre Laâyoune et Boujdour et aussi entre Boujdour et Dakhla, 1.400 km de plages pour environ 700.000 habitants. Ces espaces abritent aussi tous les sports nautiques, notamment à Dakhla où des investisseurs étrangers et marocains ont créé des clubs et des espaces pour le surf, etc. (plusieurs projets sont déjà opérationnels dans ce domaine).
La plage de Foum El Oued, situé à 20 km au sud de la ville de Laâyoune, constitue le pôle d'estivage le plus important des provinces du Sud.
Chaque année, elle accueille des milliers d'estivants en provenance de toutes les régions du Sud et du Royaume. La corniche qui s'étend sur 11 km a connu un développement important au cours des dernières années, notamment la connexion aux réseaux de l'électricité et de l'eau. Elle dispose aussi d'une importante infrastructure de base, un dispensaire, un service de sécurité, une mosquée, etc. C'est également une plage propre et bien entretenue, puisqu'elle a mérité le Pavillon bleu cette année. Elle constitue donc un véritable pôle touristique pour les nationaux et les étrangers et un potentiel touristique important dans la province de Laâyoune. La baie d'Oued Eddahab (d'une longueur de 40 km et une largeur entre 4 et 8 km), les plages illimitées connues par leur sable fin et le soleil à longueur d'année font de la région l'un des sites touristiques les plus convoités à l'échelle mondiale. Les plages de Dakhla connaissent un flux d'investissements important.
Des projets en cours d'étude d'une valeur de plus de 280 millions DH sont en cours de réalisation ou d'étude dans cette région, notamment dans le domaine des sports nautiques. Un avenir grandiose attend donc les plages du Sud pour contribuer au développement du tourisme, car il s'agit d'un secteur qui mérite plus de considération par le ministère de tutelle et les autres opérateurs concernés.
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Le Nord : une destination très prisée
Entre les villes de Fnideq, Mdiq et Martil et jusqu'à Oued Laou, on peut compter des dizaines de plages tout au long de plus de 100 kilomètres du merveilleux littoral méditerranéen. Avec des eaux claires et limpides, ces jolies plages sont visitées par des milliers de touristes, marocains résidant à l'étranger et autres estivants qui viennent de toutes les régions du Royaume pour contempler et des sites naturels dotés d'équipements balnéaires, «chiringuito», corniches et aires de promenade ainsi que de restaurants et autres dépendances à même de rendre leur séjour des plus reposants.Une fois arrivés dans ces villes touristiques, les estivants profitent du soleil et des équipements très modernes qu'offrent les ports de plaisance de Marina Smir et de Kabila où plusieurs luxueux yachts jettent l'ancre pour admirer les vues panoramiques de ces importants sites portuaires et de plaisance qu'on ne peut trouver que dans cette partie du Royaume. A Martil, les estivants se sentent comme chez eux puisque des soirées artistiques, des rencontres sportives et des compétitions nautiques sont programmées tout au long de la saison des grandes vacances.
Les petits centres d'Azla, d'Amsa, de Tamernout et de Oued Laou ont un autre charme. En plus des merveilleuses plages, on peut aussi apprécier les jolies montagnes ornées de chêne et chêne-liège typique arbuste de la région. De plus, ces petits centres d'estivage comptent aussi des sorties de pêche, des campings à normes internationales, etc. Les souks hebdomadaires restent incontestablement un lieu pour des «shopings» et l'achat de souvenirs de la région, et surtout les ustensiles de cuisine réalisés à la main à l'aide de l'argile par les femmes de Beni Saïd au Douar «Fran Ali». Passer des jours de congé dans les différents centres du Nord du Maroc est une vraie chance pour les uns ou un choix pour les autres.
En plus des plages, balnéaires, golf, yachting et autres sports nautiques, à Tétouan et sa région, il y a aussi des circuits et randonnées, des visites aux sites historiques de Tamuda, Lixus et Chefchaouen en plus de la Médina de la ville de la «Colombe Blanche», classée par l'Unesco, patrimoine universel de l'humanité. Des musées archéologiques et ethnographiques ainsi que l'Ecole nationale des arts et des métiers et l'Institut national des beaux arts sont aussi des atouts culturels, historiques et artistiques pour ceux qui veulent joindre l'utile à l'agréable et passer des vacances de rêve. A. M'Rabet