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Le Souverain exprime, en cette triste circonstance, à la veuve du défunt Hajja Khadija, à ses filles et fils Taieb, Ali, Ismail, Abdelmajid, Zineb et Nassiba et, à travers eux, tous les membres de sa grande famille et tous ses proches et amis, ses vives condoléances et sa sincère compassion suite à cette perte douloureuse imparable, implorant Le Très-Haut de leur accorder consolation et réconfort.
S.M. le Roi souligne que le décès de Mohamed El Habib Fassi Fihri représente une perte non seulement pour sa famille, mais pour le Maroc, qui a perdu en lui un grand et fidèle commis de l'Etat, qui a consenti de grands sacrifices pour l'édification des fondements de son pouvoir judiciaire moderne sur les bases du droit et de la justice et la consolidation de son rayonnement international en tant que diplomate chevronné. *
Avec la disparition du défunt, ajoute le message, la famille de la justice a perdu un de ses ténors, ayant pratiqué la justice en tant que noble mission et non comme simple profession, à telle enseigne que «le nom du regretté demeurera gravé dans la mémoire de Notre Majesté et dans le livre d'or de l'histoire de la justice marocaine» pour avoir été un magistrat de renom aux plans national et international, un émérite et respectable professeur, incarnant, pour des générations d'hommes de la justice et du droit, une référence en la matière grâce à sa forte culture marocaine et sa formation en droit comparé.
«Nous nous remémorons avec considération que le grand défunt était l'un des grands magistrats qui ont posé les jalons de la justice nationale moderne et contribué à sa marocanisation et à son uniformisation, et qui sont connus pour leur sagesse, leur perspicacité et leur impartialité», poursuit le message soulignant que feu Fassi Fihri était aussi connu, durant toute sa carrière honorable, par sa compétence, son intégrité et son sens élevé du professionnalisme, pour la défense des causes justes, la prééminence du droit et le triomphe de la justice, le tout avec un indéfectible attachement au glorieux Trône Alaouite.
Le Souverain ajoute que la bonne éducation inculquée par le défunt à sa progéniture leur a permis d'être de grands serviteurs de l'Etat et d'assumer, suivant en cela leur cher père, leurs hautes fonctions avec compétence, responsabilité, dévouement, patriotisme sincère et avec une citoyenneté constructive pour la défense des causes justes et des intérêts supérieurs de la nation.
«Tout en partageant avec vous votre tristesse dans cette grande perte, nous implorons Le Très-Haut de vous préserver de tout mal et vous réaffirmons notre haute sollicitude et notre haute bienveillance», indique S.M. le Roi dans ce message. «Nous prions Dieu d'entourer le cher défunt de Sa Sainte Miséricorde, de le rétribuer grandement pour ses actions louables et généreuses au service de son pays et de l'accueillir dans Son paradis parmi les Prophètes, les vertueux, les saints et les martyrs», conclut le message royal.
S.M. le Roi souligne que le décès de Mohamed El Habib Fassi Fihri représente une perte non seulement pour sa famille, mais pour le Maroc, qui a perdu en lui un grand et fidèle commis de l'Etat, qui a consenti de grands sacrifices pour l'édification des fondements de son pouvoir judiciaire moderne sur les bases du droit et de la justice et la consolidation de son rayonnement international en tant que diplomate chevronné. *
Avec la disparition du défunt, ajoute le message, la famille de la justice a perdu un de ses ténors, ayant pratiqué la justice en tant que noble mission et non comme simple profession, à telle enseigne que «le nom du regretté demeurera gravé dans la mémoire de Notre Majesté et dans le livre d'or de l'histoire de la justice marocaine» pour avoir été un magistrat de renom aux plans national et international, un émérite et respectable professeur, incarnant, pour des générations d'hommes de la justice et du droit, une référence en la matière grâce à sa forte culture marocaine et sa formation en droit comparé.
«Nous nous remémorons avec considération que le grand défunt était l'un des grands magistrats qui ont posé les jalons de la justice nationale moderne et contribué à sa marocanisation et à son uniformisation, et qui sont connus pour leur sagesse, leur perspicacité et leur impartialité», poursuit le message soulignant que feu Fassi Fihri était aussi connu, durant toute sa carrière honorable, par sa compétence, son intégrité et son sens élevé du professionnalisme, pour la défense des causes justes, la prééminence du droit et le triomphe de la justice, le tout avec un indéfectible attachement au glorieux Trône Alaouite.
Le Souverain ajoute que la bonne éducation inculquée par le défunt à sa progéniture leur a permis d'être de grands serviteurs de l'Etat et d'assumer, suivant en cela leur cher père, leurs hautes fonctions avec compétence, responsabilité, dévouement, patriotisme sincère et avec une citoyenneté constructive pour la défense des causes justes et des intérêts supérieurs de la nation.
«Tout en partageant avec vous votre tristesse dans cette grande perte, nous implorons Le Très-Haut de vous préserver de tout mal et vous réaffirmons notre haute sollicitude et notre haute bienveillance», indique S.M. le Roi dans ce message. «Nous prions Dieu d'entourer le cher défunt de Sa Sainte Miséricorde, de le rétribuer grandement pour ses actions louables et généreuses au service de son pays et de l'accueillir dans Son paradis parmi les Prophètes, les vertueux, les saints et les martyrs», conclut le message royal.
