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Les habitants des bidonvilles de Hay Mohammadi ont organisé le mardi 5 octobre une marche de protestation contre ce qu'ils considèrent être des dysfonctionnements enregistrés au niveau de la procédure de relogement. Regroupés devant le siège de la préfecture d'arrondissements Hay Mohammadi-Aïn Sebaâ, des centaines de bidonvillois, entourés par les forces de l'ordre, ont appelé à «plus de justice dans le processus de distribution des nouveaux logements».
Venus des bidonvilles «Bachir, Lahjar, Khlifa, Moumnia » et bien d'autres, ces citoyens voudraient avoir un seul lot de terrain ou appartement par couple. «On m'oblige à partager la même maison avec mon voisin. Je ne comprends pas la logique de ces responsables !», nous a confié une habitante du bidonville Bachir.
Les protestataires ont aussi affirmé que « certains employés de la préfecture donnent priorité aux nouveaux habitants au détriment des plus anciens !». «Des personnes venues de la campagne auraient pu avoir une carte d'identité avec une adresse dans l'un des bidonvilles de Hay Mohammadi . Et ce, pour avoir droit aux lots de terrains », déplore l'une des protestataires.
Au moment de mettre sous presse, des représentants des bidonvillois étaient en discussion avec les responsables de la préfecture afin de trouver une solution à ce problème. Rappelons que ce sit-in est le troisième du genre.
Venus des bidonvilles «Bachir, Lahjar, Khlifa, Moumnia » et bien d'autres, ces citoyens voudraient avoir un seul lot de terrain ou appartement par couple. «On m'oblige à partager la même maison avec mon voisin. Je ne comprends pas la logique de ces responsables !», nous a confié une habitante du bidonville Bachir.
Les protestataires ont aussi affirmé que « certains employés de la préfecture donnent priorité aux nouveaux habitants au détriment des plus anciens !». «Des personnes venues de la campagne auraient pu avoir une carte d'identité avec une adresse dans l'un des bidonvilles de Hay Mohammadi . Et ce, pour avoir droit aux lots de terrains », déplore l'une des protestataires.
Au moment de mettre sous presse, des représentants des bidonvillois étaient en discussion avec les responsables de la préfecture afin de trouver une solution à ce problème. Rappelons que ce sit-in est le troisième du genre.
