A voir la grogne qui agite les supporters tadlaouis, on est en peine pour les dirigeants qui ont lancé un processus de renouveau de leur effectif, et notamment avec l'injection d'éléments jeunes en championnat d'élite notamment Soufiane Talal ex-joueur du Raja de Casablanca, qui vient de rejoindre le Chabab, à titre de prêt pour une saison à hauteur de 15 millions de centimes. Le public est impatient de nature et davantage irrité quand le recrutement de nouveaux joueurs ne se traduit pas dans l'immédiat par de bons résultats miracles. Les griefs reprochés au nouveau comité, figure la libération de quelques éléments de qualité qui ont réussi la montée chez l'élite.
La peur de perdre, et donc de se retrouver menacé de relégation, bloque tout processus d'animation et de participation au jeu. Et ce n'est jamais drôle pour le public d'assister à des parodies de football quand les acteurs censés produire un spectacle restent paralysés par l'enjeu. Les Tadlaouis semblent ainsi trop enfermés dans les corridors et les couloirs de l'ennui dû au point de négliger l'expression du groupe et la réduire à néant. Et dans ces conditions, il n 'st plus possible de parler de football et de phase de reconstruction car les dividendes de cet investissement ne seront jamais un état d'esprit conquérant. Mohammed Souheil, le nouveau coach, en a d'ailleurs fait la remarque à l'issue de son premier briefing technique avec l'équipe, la semaine dernière, d'où son plan d'urgence d'établir une nouvelle version de jeu, de nature à libérer d'abord les joueurs des différents jougs qui les empêchaient d'évoluer sur leur réelle valeur. Et l'on peut dire que le nouveau coach s'est d'abord et surtout attaché à leur redonner confiance en leurs moyens, passant du doute et de la peur à l'assurance et à la volonté de vaincre, pour prendre désormais à leur guise le poids du match.
Cette thérapie a commencé durant les premiers galops d'entrainement, par l'amélioration d'une condition physique précaire, avant de s'opérer avec le système de « turn over » imposé par le nouvel entraineur. C'est-à-dire le recours à l'ensemble de l'effectif pour composer la formation du match. Et on a constaté lors des premières séances d'entrainement que le Chabab qui avait besoin d'une dizaine d'échanges pour atteindre la cage adverse, aujourd'hui l'équipe a presque diminué de moitié ce nombre de passes. Et surtout, en s'appuyant sur d'authentiques ailiers, de débordements et de centrage, le Chabab semble enrichir relativement sa panoplie d'attaques. Car rien ne peut plus faire mal à un adversaire que des forces de pénétration par les flancs. A ce jeu, Aboulkacim et Benhommés seront ainsi une menace constante par les ballons que leur offrent leurs coéquipiers. C'est surtout en milieu de terrain et en défense qu'un travail énorme attend Mohammed Souheil pour colmater les brèches et assurer la cohésion entre les différentes lignes.
Faut-il encore donner du temps au nouveau technicien pour mieux mettre à point son plan d'action, pour pouvoir mieux porter un jugement honnête et objectif sur son travail. Sachant que son contrat est limité pour une saison avec la possibilité de le prolonger, en cas de maintien en première division.
La peur de perdre, et donc de se retrouver menacé de relégation, bloque tout processus d'animation et de participation au jeu. Et ce n'est jamais drôle pour le public d'assister à des parodies de football quand les acteurs censés produire un spectacle restent paralysés par l'enjeu. Les Tadlaouis semblent ainsi trop enfermés dans les corridors et les couloirs de l'ennui dû au point de négliger l'expression du groupe et la réduire à néant. Et dans ces conditions, il n 'st plus possible de parler de football et de phase de reconstruction car les dividendes de cet investissement ne seront jamais un état d'esprit conquérant. Mohammed Souheil, le nouveau coach, en a d'ailleurs fait la remarque à l'issue de son premier briefing technique avec l'équipe, la semaine dernière, d'où son plan d'urgence d'établir une nouvelle version de jeu, de nature à libérer d'abord les joueurs des différents jougs qui les empêchaient d'évoluer sur leur réelle valeur. Et l'on peut dire que le nouveau coach s'est d'abord et surtout attaché à leur redonner confiance en leurs moyens, passant du doute et de la peur à l'assurance et à la volonté de vaincre, pour prendre désormais à leur guise le poids du match.
Cette thérapie a commencé durant les premiers galops d'entrainement, par l'amélioration d'une condition physique précaire, avant de s'opérer avec le système de « turn over » imposé par le nouvel entraineur. C'est-à-dire le recours à l'ensemble de l'effectif pour composer la formation du match. Et on a constaté lors des premières séances d'entrainement que le Chabab qui avait besoin d'une dizaine d'échanges pour atteindre la cage adverse, aujourd'hui l'équipe a presque diminué de moitié ce nombre de passes. Et surtout, en s'appuyant sur d'authentiques ailiers, de débordements et de centrage, le Chabab semble enrichir relativement sa panoplie d'attaques. Car rien ne peut plus faire mal à un adversaire que des forces de pénétration par les flancs. A ce jeu, Aboulkacim et Benhommés seront ainsi une menace constante par les ballons que leur offrent leurs coéquipiers. C'est surtout en milieu de terrain et en défense qu'un travail énorme attend Mohammed Souheil pour colmater les brèches et assurer la cohésion entre les différentes lignes.
Faut-il encore donner du temps au nouveau technicien pour mieux mettre à point son plan d'action, pour pouvoir mieux porter un jugement honnête et objectif sur son travail. Sachant que son contrat est limité pour une saison avec la possibilité de le prolonger, en cas de maintien en première division.