La convention s'assigne pour objectif d'institutionnaliser la coopération entre le conseil et l'Académie régionale de l'éducation et de la formation (AREF-Oriental) et d'asseoir une base solide pour la lutte contre la déperdition scolaire, la promotion et la qualification de l'enseignement primaire, l'encouragement de l'excellence et la création d'écoles communautaires, plus particulièrement dans les zones les plus défavorisées, en plus de la mise à niveau des établissements d'éducation et de formation.
En vertu de cette convention, les deux parties s'engagent à œuvrer de concert pour conférer à l'établissement scolaire une place centrale dans les plans de développement du conseil de la région, faire une radioscopie de la situation des établissements scolaires aux niveaux local, provincial et régional, échanger les données nécessaires à la planification, à la dynamisation et au suivi de certaines actions, outre la mobilisation et l'accompagnement des différents intervenants et l'encouragement des initiatives régionales au profit de l'établissement scolaire.
La réunion du conseil a été également marquée par l'approbation de conventions-cadres visant à instaurer des liens de coopération avec la délégation de la culture, l'université Mohammed I et l'Office de la formation professionnelle et de la promotion de l'emploi (OFPPT). Ces conventions ambitionnent notamment l'accompagnement du plan de développement stratégique de la région, la préservation du patrimoine, l'organisation de manifestations culturelles de grande envergure, la qualification des ressources humaines, la création de nouvelles filières de formation, le renforcement des compétences des intervenants dans le processus de développement, la promotion de la qualité et l'encouragement des études et des recherches dans les différents domaines d'intérêt commun.
Des conventions de partenariat visant l'instauration et le renforcement des liens de partenariat avec l'Agence de développement de l'Oriental, la région de Tombouctou (Mali) et celle de Champagne-Ardenne (France) ont été aussi approuvées par le conseil qui a donné son accord pour l'adhésion de la région au regroupement international baptisé "R20", l'association de 20 régions les plus avancées en matière de changement climatique.
Le wali de la région de l'Oriental, gouverneur de la préfecture d'Oujda-Angad, Abdelfettah El Houmam, a appelé à cette occasion les différents acteurs à participer activement aux projets et aux chantiers de développement inaugurés ou lancés par S.M. le Roi Mohammed VI dans la région de l'Oriental.
Ces projets, a-t-il dit, traduisent l'intérêt qu'accorde le Souverain à l'amélioration des conditions de vie des citoyens à travers la lutte contre toutes les formes de pauvreté, d'exclusion et de marginalisation, la réalisation de l'intégration sociale, l'encouragement des investissements et la promotion de l'économie.
Les troubles du rythme cardiaque résultent d'une désorganisation «électrique» du coeur, avec apparition de foyers automatiques d'excitation ou de circuits anormaux, a expliqué M. Salhi, faisant remarquer que l'ablation par radiofréquence détruit ces foyers pour prévenir la réapparition des troubles en créant une cautérisation très focale du tissu cardiaque à l'emplacement de l'électrode délivrant l'énergie. Pour ce qui est du stimulateur cardiaque ou pacemaker, il a précisé qu'il s'agit d'un dispositif qui, implanté dans l'organisme, émet des impulsions électriques pour régulariser le rythme cardiaque.
En vertu de cette convention, les deux parties s'engagent à œuvrer de concert pour conférer à l'établissement scolaire une place centrale dans les plans de développement du conseil de la région, faire une radioscopie de la situation des établissements scolaires aux niveaux local, provincial et régional, échanger les données nécessaires à la planification, à la dynamisation et au suivi de certaines actions, outre la mobilisation et l'accompagnement des différents intervenants et l'encouragement des initiatives régionales au profit de l'établissement scolaire.
La réunion du conseil a été également marquée par l'approbation de conventions-cadres visant à instaurer des liens de coopération avec la délégation de la culture, l'université Mohammed I et l'Office de la formation professionnelle et de la promotion de l'emploi (OFPPT). Ces conventions ambitionnent notamment l'accompagnement du plan de développement stratégique de la région, la préservation du patrimoine, l'organisation de manifestations culturelles de grande envergure, la qualification des ressources humaines, la création de nouvelles filières de formation, le renforcement des compétences des intervenants dans le processus de développement, la promotion de la qualité et l'encouragement des études et des recherches dans les différents domaines d'intérêt commun.
Des conventions de partenariat visant l'instauration et le renforcement des liens de partenariat avec l'Agence de développement de l'Oriental, la région de Tombouctou (Mali) et celle de Champagne-Ardenne (France) ont été aussi approuvées par le conseil qui a donné son accord pour l'adhésion de la région au regroupement international baptisé "R20", l'association de 20 régions les plus avancées en matière de changement climatique.
Le wali de la région de l'Oriental, gouverneur de la préfecture d'Oujda-Angad, Abdelfettah El Houmam, a appelé à cette occasion les différents acteurs à participer activement aux projets et aux chantiers de développement inaugurés ou lancés par S.M. le Roi Mohammed VI dans la région de l'Oriental.
Ces projets, a-t-il dit, traduisent l'intérêt qu'accorde le Souverain à l'amélioration des conditions de vie des citoyens à travers la lutte contre toutes les formes de pauvreté, d'exclusion et de marginalisation, la réalisation de l'intégration sociale, l'encouragement des investissements et la promotion de l'économie.
Des interventions chirurgicales au profit de cardiaques démunis
Une dizaine de personnes démunies souffrant de maladies du coeur ont bénéficié d'interventions chirurgicales réalisées à titre gracieux à Oujda par une équipe de cardiologues venant de Rabat et de la principauté de Monaco. Ces opérations d'implantation de stimulateurs cardiaques et de traitement des troubles du rythme cardiaque par radiofréquence ont été effectuées avec succès la semaine dernière à l'hôpital Al Farabi d'Oujda, et ce à l'initiative de l'Association de Cardiologie Monaco-Maroc (basée à Monaco) et l'Amicale des cardiologues de l'Oriental. Six patients âgés de 30 et 74 ont subi des interventions chirurgicales d'implantation de stimulateurs cardiaques alors que trois autres, âgés de 14 à 36 ans, ont bénéficié de l'ablation par radiofréquence de tachycardie, a expliqué à la Map le cardiologue Ahmed Salhi. Cette action humanitaire menée pour la première fois dans la région de l'Oriental a pour but de venir en aide à des malades qui n'ont pas les moyens nécessaires pour subir ces types d'opérations, dont le coût est estimé entre 37.000 et 50.000 dirhams, a-t-il dit.Les troubles du rythme cardiaque résultent d'une désorganisation «électrique» du coeur, avec apparition de foyers automatiques d'excitation ou de circuits anormaux, a expliqué M. Salhi, faisant remarquer que l'ablation par radiofréquence détruit ces foyers pour prévenir la réapparition des troubles en créant une cautérisation très focale du tissu cardiaque à l'emplacement de l'électrode délivrant l'énergie. Pour ce qui est du stimulateur cardiaque ou pacemaker, il a précisé qu'il s'agit d'un dispositif qui, implanté dans l'organisme, émet des impulsions électriques pour régulariser le rythme cardiaque.