«Bonjour le Maroc ! Bonjour mon pays !» a lancé l'artiste à la foule dès son apparition sur scène. Car Julio connaît et aime le Maroc où il vient depuis près de 40 ans. «J'adore cette culture. J'adore ce pays. C'est à chaque fois pour moi un enchantement de revenir ici» avait-il confié la veille de son concert. Un honneur lorsque l'on sait que cet artiste espagnol a mené une carrière planétaire depuis plus de 40 ans, qu'il a sillonné le monde dans ses moindres recoins et a enregistré 78 disques dans différentes langues. Les quelque 250 millions de disques vendus et 2 600 disques d'or et de platine reçus, confirment la réputation de Julio, d'artiste le plus aimé dans le monde. «C'est l'amour du public qui me fait vivre, avait avoué Julio. Je ne pourrai donc jamais cesser de chanter sous peine de mourir». Et cet amour le public le lui rend bien !
A 66 ans, le chanteur de charme est toujours aussi fringant. S'il a pris quelques rides, la voix est toujours aussi intacte, aussi enchanteresse. «Je n'ai pas changé », «Pauvres diables», «J'ai oublié de vivre» (Me Olvide De Vivir), «Manuela», «Où est passée ma bohème» «Un Canto a Galicia», «Nostalgie», des tubes indémodables que l'artiste a interprétés avec les mêmes intonations, le même vibrato latino et surtout les immortelles gestes langoureux qui ont fait sa popularité surtout auprès de la gente féminine. Une gente féminine venue en masse non seulement pour applaudir l'artiste mais également pour lui déclarer sa flamme. Toutes les générations confondues éperdues d'amour, répétaient en chœur et en cœur les tubes des années 80 dont l'artiste les a abondamment gratifiés : «Je n'ai pas changé» ou encore «Vous les femmes » a carrément déclenché une hystérie collective, les fans ayant chanté a cappella avec l'artiste. «Que les paroles soient encore dans les esprits 30 ans après reste pour moi un mystère complet » s'étonne l'artiste, bien trop modeste.
Ce que Julio oublie de dire, c'est que son fan club ne cesse de se renouveler. Des jeunes filles de 15, 20 et 30 ans présentes dans le public connaissaient parfaitement son répertoire et se pâmaient devant le spectacle donné par le latin lover. Rim fait partie de ces inconditionnelles. A 25 ans, elle écoute en boucle ses albums et a hérité de cette «pathologie musicale» de sa mère, 53 ans, mordue du même artiste depuis une trentaine d'années. Une maladie déclarée incurable et qui risque de se propager encore longtemps surtout quand on voit parmi le public, Siham du haut de ses 10 ans, éperdue d'admiration pour le chanteur. Derrière ses grands yeux, Siham, ne cache pas son amour pour le chanteur de charme vieillissant. «Te quiero Julio» indique le panneau qu'elle brandit. Tout est dit ou presque car nous aussi… «Te queremos Julio !»
A 66 ans, le chanteur de charme est toujours aussi fringant. S'il a pris quelques rides, la voix est toujours aussi intacte, aussi enchanteresse. «Je n'ai pas changé », «Pauvres diables», «J'ai oublié de vivre» (Me Olvide De Vivir), «Manuela», «Où est passée ma bohème» «Un Canto a Galicia», «Nostalgie», des tubes indémodables que l'artiste a interprétés avec les mêmes intonations, le même vibrato latino et surtout les immortelles gestes langoureux qui ont fait sa popularité surtout auprès de la gente féminine. Une gente féminine venue en masse non seulement pour applaudir l'artiste mais également pour lui déclarer sa flamme. Toutes les générations confondues éperdues d'amour, répétaient en chœur et en cœur les tubes des années 80 dont l'artiste les a abondamment gratifiés : «Je n'ai pas changé» ou encore «Vous les femmes » a carrément déclenché une hystérie collective, les fans ayant chanté a cappella avec l'artiste. «Que les paroles soient encore dans les esprits 30 ans après reste pour moi un mystère complet » s'étonne l'artiste, bien trop modeste.
Ce que Julio oublie de dire, c'est que son fan club ne cesse de se renouveler. Des jeunes filles de 15, 20 et 30 ans présentes dans le public connaissaient parfaitement son répertoire et se pâmaient devant le spectacle donné par le latin lover. Rim fait partie de ces inconditionnelles. A 25 ans, elle écoute en boucle ses albums et a hérité de cette «pathologie musicale» de sa mère, 53 ans, mordue du même artiste depuis une trentaine d'années. Une maladie déclarée incurable et qui risque de se propager encore longtemps surtout quand on voit parmi le public, Siham du haut de ses 10 ans, éperdue d'admiration pour le chanteur. Derrière ses grands yeux, Siham, ne cache pas son amour pour le chanteur de charme vieillissant. «Te quiero Julio» indique le panneau qu'elle brandit. Tout est dit ou presque car nous aussi… «Te queremos Julio !»