Porté triomphalement dès le premier tour et à une écrasante majorité (151 voix sur les 129 requises), à l'issue d'un vote des 193 Etats membres de l'ONU. Il s'agit du troisième mandat du Royaume au sein de l'organe exécutif de l'ONU, après y avoir siégé en 1963-1964 et 1992-1993.
L'entrée du Maroc au Conseil de sécurité coïncide avec de nombreux défis mondiaux urgents que l'organe exécutif doit relever, à savoir la non prolifération nucléaire, la lutte contre le terrorisme, la prévention et la résolution des conflits armés, la promotion de la démocratie et des droits de l'Homme en plus des multiples opérations complexes sur le terrain. «Promouvoir la voix du continent africain» et militer en faveur des causes justes du monde arabo-musulman, seront également parmi les principaux dossiers que le Maroc compte défendre au sein du Conseil.
Saluant en le Maroc l'arrivée d'un «pays ami», plusieurs Etats membres se sont félicités de l'élection du Royaume avec lequel ils comptent travailler étroitement à travers un «partenariat très fort» pour soutenir les principes de la Charte des Nations unies, contribuer à l'efficacité et l'efficience du Conseil, et maintenir son rôle dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
La Palestine y voit l'arrivée d'un pays qui a toujours été un grand défenseur de la cause palestinienne, convaincue que le «Maroc pèsera de tout son poids et ne ménagera aucun effort pour soutenir notre cause au sein du Conseil» , a indiqué à la MAP, le porte-parole de la Mission de Palestine à l'ONU, Rabii Al Hantouli. Le Royaume est devenu un grand partenaire pour nous et c'est une victoire de l'Afrique», a déclaré pour sa part le représentant permanent de Sao Tomé et Principe. Le Maroc a eu le «soutien de tous les pays de l'Afrique centrale car nous savons combien la place du Royaume est importante et tout ce qu'il a fait pour nous au niveau de l'Afrique» , a ajouté ce diplomate dans une déclaration à la MAP. Constamment à l'avant-garde, le Maroc récolte aujourd'hui le fruit d'un travail de plusieurs années mises à profit pour asseoir une nouvelle diplomatie active et efficace, conforme à la vision de S.M. le Roi Mohammed VI.
A cet effet, le Royaume n'a eu de cesse de mettre à profit toutes les occasions pour réaffirmer avec force sa volonté et sa disposition à œuvrer et à participer activement à la réforme et à l'efficience de la Ligue des Etats Arabes, de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et de l'Union du Maghreb Arabe (UMA). Présent dans tous les forums internationaux et régionaux, il a su défendre les causes arabes, notamment palestinienne, porter la voix de l'Afrique et être le chantre de la coopération sud/sud, notamment au profit du Continent noir. Avec l'entrée du Maroc au Conseil de sécurité, «une nouvelle page s'ouvre pour la diplomatie marocaine», soulignait récemment le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Taib Fassi Fihri, tout en étant convaincu que le «Maroc sera au rendez-vous».
«C'est un témoignage éloquent de la confiance dont jouit le Royaume en matière d'évolution politique et de progrès social et sur le plan extérieur, en termes d'options lisibles, connues et respectées», a ajouté Taïeb Fassi Fihri.
Le ministre a souligné : «Notre politique vis-à-vis de l'évolution dans le monde arabe et du conflit israélo-arabe permettra au Maroc d'être écouté sur le plan international».
Pour rappel, il s'agit du troisième mandat du Royaume au sein du Conseil de sécurité de l'ONU où il avait déjà siégé en 1963-1964 et en 1992-1993.
L'entrée du Maroc au Conseil de sécurité coïncide avec de nombreux défis mondiaux urgents que l'organe exécutif doit relever, à savoir la non prolifération nucléaire, la lutte contre le terrorisme, la prévention et la résolution des conflits armés, la promotion de la démocratie et des droits de l'Homme en plus des multiples opérations complexes sur le terrain. «Promouvoir la voix du continent africain» et militer en faveur des causes justes du monde arabo-musulman, seront également parmi les principaux dossiers que le Maroc compte défendre au sein du Conseil.
Saluant en le Maroc l'arrivée d'un «pays ami», plusieurs Etats membres se sont félicités de l'élection du Royaume avec lequel ils comptent travailler étroitement à travers un «partenariat très fort» pour soutenir les principes de la Charte des Nations unies, contribuer à l'efficacité et l'efficience du Conseil, et maintenir son rôle dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
La Palestine y voit l'arrivée d'un pays qui a toujours été un grand défenseur de la cause palestinienne, convaincue que le «Maroc pèsera de tout son poids et ne ménagera aucun effort pour soutenir notre cause au sein du Conseil» , a indiqué à la MAP, le porte-parole de la Mission de Palestine à l'ONU, Rabii Al Hantouli. Le Royaume est devenu un grand partenaire pour nous et c'est une victoire de l'Afrique», a déclaré pour sa part le représentant permanent de Sao Tomé et Principe. Le Maroc a eu le «soutien de tous les pays de l'Afrique centrale car nous savons combien la place du Royaume est importante et tout ce qu'il a fait pour nous au niveau de l'Afrique» , a ajouté ce diplomate dans une déclaration à la MAP. Constamment à l'avant-garde, le Maroc récolte aujourd'hui le fruit d'un travail de plusieurs années mises à profit pour asseoir une nouvelle diplomatie active et efficace, conforme à la vision de S.M. le Roi Mohammed VI.
A cet effet, le Royaume n'a eu de cesse de mettre à profit toutes les occasions pour réaffirmer avec force sa volonté et sa disposition à œuvrer et à participer activement à la réforme et à l'efficience de la Ligue des Etats Arabes, de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et de l'Union du Maghreb Arabe (UMA). Présent dans tous les forums internationaux et régionaux, il a su défendre les causes arabes, notamment palestinienne, porter la voix de l'Afrique et être le chantre de la coopération sud/sud, notamment au profit du Continent noir. Avec l'entrée du Maroc au Conseil de sécurité, «une nouvelle page s'ouvre pour la diplomatie marocaine», soulignait récemment le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Taib Fassi Fihri, tout en étant convaincu que le «Maroc sera au rendez-vous».
Un siège de membre non permanent
Le Maroc a été élu, en octobre dernier, membre non permanent du Conseil de sécurité, à l'issue d'un vote des 193 Etats membres des Nations unies. Le Royaume, dont la candidature est intervenue dans le cadre du groupe Afrique, entamera son mandat de deux ans à compter du 1er janvier 2012. «Une nouvelle page s'ouvre pour la diplomatie marocaine. Nous serons au rendez-vous». C'est ainsi que le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taïeb Fassi Fihri, a réagi à l'élection, au premier tour, du Royaume en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies.Le Maroc a obtenu 151 voix sur les 193 des pays membres de l'ONU, soit plus de la majorité des deux tiers requise (129 voix) lors de ce vote à bulletin secret.«C'est un témoignage éloquent de la confiance dont jouit le Royaume en matière d'évolution politique et de progrès social et sur le plan extérieur, en termes d'options lisibles, connues et respectées», a ajouté Taïeb Fassi Fihri.
Le ministre a souligné : «Notre politique vis-à-vis de l'évolution dans le monde arabe et du conflit israélo-arabe permettra au Maroc d'être écouté sur le plan international».
Pour rappel, il s'agit du troisième mandat du Royaume au sein du Conseil de sécurité de l'ONU où il avait déjà siégé en 1963-1964 et en 1992-1993.