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La finale de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF) dont le champion sortant n'est autre que le club marocain le FUS et dont la finale aller s'est jouée entre le club tunisien, le Club Africain et son homologue marocain le MAS, au stade Radès, est revenue au premier nommé sur le score de 1 but à 0, but marqué dans les premiers moments de la partie (7e) sur un tir puissant du Ghanéen, Alexis.
Un but qui n'a nullement ébranlé la confiance des Fassis maîtres du jeu tout au long du match. Force est de reconnaître que le but n'est la faute de personne. Le tir très puissant et précis de plus de 25m du Ghanéen Alexis aurait pu surprendre n'importe quel gardien au monde. S'il a eu un effet sur le tableau d'affichage, sur le moral des troupes fassies, il n'en a pas eu. Car l'essentiel de la rencontre a été à l'actif des hommes de Marouane Bennani. Ce dernier dans une déclaration à notre journal de Tunis, à la fin de la rencontre, a affirmé que :
« Sur l'ensemble du match, le MAS a mieux joué que le Club Africain. Il méritait un meilleur sort. L'expulsion trop sévère et inattendue de notre défenseur, Zekroumi à la 58e nous a sérieusement handicapés. Mais vous avez vu, le MAS a continué à gérer le match avec beaucoup d'intelligence comme si son effectif était complet ! Le retour à Fès est très jouable ! Certes, ce sera difficile, mais nous tenterons de renverser la situation à notre avantage ! »
Pour ce qui est de la rencontre proprement dite, il est, désormais connu chez les foules marocaines, ce cinéma médiocre que les clubs tunisiens emploient devant les clubs marocains. Et tout le public marocain est convaincu que les clubs marocains pratiquent un football meilleur que celui de leurs adversaires tunisiens. Pour preuve, ces gestes anti -sportifs et ce jeu décousu, plein de coups bas, qu'ils utilisent pour remporter une victoire. Car si les Tarajji, Club Africain et autre Sfax savaient qu'ils étaient meilleurs, ils n'auraient jamais pu user des moyens détournés pour gagner. Et samedi, le Club Africain n'a pas failli à cette règle. Beaucoup pensent que les clubs tunisiens s'entraînent sur la manière d'énerver leurs homologues marocains, des les déstabiliser au lieu de s'entraîner sur la manière de jouer loyalement.
En tous les cas, voilà qu'un autre club marocain a donné une leçon de football à un autre club tunisien. Tout au long du match la stratégie de Rachid Taoussi s'est révélée intelligente et payante comme l'a confirmé l'entraîneur-adjoint du Club Africain, Lotfi Rouissi : « Nous avons affaire à un adversaire qui a adopté une stratégie intelligente » A-t-il reconnu. Car les hommes de Fawzi Benzerti pensaient tout régler à l'aller et venir jouer à Fès, tranquilles. Mais 1-0 est certes, un résultat piège ; mais le MAS n'a jamais été un club qui sous-estime ses adversaires. Il doit, à coup sûr, réserver au Club Africain une stratégie efficace ; une stratégie basée sur un jeu sain, respectueux de l'adversaire et non celui cassant et révoltant toujours utilisé en Tunisie.
Les moments très chauds pour le keeper clubiste Aymen Ben Ayoub et la défense clubiste se sont multipliés via les joueurs fassis en l‘occurrence Bourazouk, Hahloul, Hamouni, Chtaïbi (maître à jouer du MAS, relevé en milieu de la seconde période). Ces derniers ont donné des sueurs froides aux hommes de Benzerti. A l'actif des Tunisois, ce tir juste après le but et qui a été relâché par Znaïti qui s'est rattrapé dans la seconde qui suit en subtilisant le ballon des pieds de Zouhaïr Dhaouadi et ce ballon qui heurte le poteau suite à un coup-franc de Mustapha Mrani.
En seconde période, ce sont les Marocains qui prennent la direction des opérations. Le Clubistes, eux, se contentent de regarder le MAS faire circuler le ballon.
46e infiltration de Chtaïbi qui a donné des sueurs froides à Aymen Ben Ayoub. Autres sueurs froides une minute après (47e), où Bourazouk était à deux doigts de niveler le score ! Une autre minute après, Bourazouk, encore lui, rate d'égaliser de peu. Benzerti frétille sur son banc de touche. 54e, Bourazouk, un danger constant pour le Club Africain donna de grosses frayeurs à la défense du CA. 58e, coup de théâtre, Jamal Eddine, Hamoudi, l'arbitre algérien, bon jusqu'ici, désigna le chemin des vestiaires au défenseur du MAS, Samir Zekroumi. Incompréhensible ! Réduits à 10, les Guêpes ont continué à piquer douloureusement les Tunisois qui n'ont jamais su tirer profit de cette infériorité numérique… si ce n'est leur second tir sur le poteau(78e). Mais même à 10 le MAS, via encore Bourazouk, se montra plus menaçant. Dernier sursaut du Club Africain (89e), Zniti sauve. C'est sur ce score de 1-0 en faveur des Tunisiens que l'arbitre siffla la fin d'un match plaisant mené de main de maître par les Marocains.
Un but qui n'a nullement ébranlé la confiance des Fassis maîtres du jeu tout au long du match. Force est de reconnaître que le but n'est la faute de personne. Le tir très puissant et précis de plus de 25m du Ghanéen Alexis aurait pu surprendre n'importe quel gardien au monde. S'il a eu un effet sur le tableau d'affichage, sur le moral des troupes fassies, il n'en a pas eu. Car l'essentiel de la rencontre a été à l'actif des hommes de Marouane Bennani. Ce dernier dans une déclaration à notre journal de Tunis, à la fin de la rencontre, a affirmé que :
« Sur l'ensemble du match, le MAS a mieux joué que le Club Africain. Il méritait un meilleur sort. L'expulsion trop sévère et inattendue de notre défenseur, Zekroumi à la 58e nous a sérieusement handicapés. Mais vous avez vu, le MAS a continué à gérer le match avec beaucoup d'intelligence comme si son effectif était complet ! Le retour à Fès est très jouable ! Certes, ce sera difficile, mais nous tenterons de renverser la situation à notre avantage ! »
Pour ce qui est de la rencontre proprement dite, il est, désormais connu chez les foules marocaines, ce cinéma médiocre que les clubs tunisiens emploient devant les clubs marocains. Et tout le public marocain est convaincu que les clubs marocains pratiquent un football meilleur que celui de leurs adversaires tunisiens. Pour preuve, ces gestes anti -sportifs et ce jeu décousu, plein de coups bas, qu'ils utilisent pour remporter une victoire. Car si les Tarajji, Club Africain et autre Sfax savaient qu'ils étaient meilleurs, ils n'auraient jamais pu user des moyens détournés pour gagner. Et samedi, le Club Africain n'a pas failli à cette règle. Beaucoup pensent que les clubs tunisiens s'entraînent sur la manière d'énerver leurs homologues marocains, des les déstabiliser au lieu de s'entraîner sur la manière de jouer loyalement.
En tous les cas, voilà qu'un autre club marocain a donné une leçon de football à un autre club tunisien. Tout au long du match la stratégie de Rachid Taoussi s'est révélée intelligente et payante comme l'a confirmé l'entraîneur-adjoint du Club Africain, Lotfi Rouissi : « Nous avons affaire à un adversaire qui a adopté une stratégie intelligente » A-t-il reconnu. Car les hommes de Fawzi Benzerti pensaient tout régler à l'aller et venir jouer à Fès, tranquilles. Mais 1-0 est certes, un résultat piège ; mais le MAS n'a jamais été un club qui sous-estime ses adversaires. Il doit, à coup sûr, réserver au Club Africain une stratégie efficace ; une stratégie basée sur un jeu sain, respectueux de l'adversaire et non celui cassant et révoltant toujours utilisé en Tunisie.
Les moments très chauds pour le keeper clubiste Aymen Ben Ayoub et la défense clubiste se sont multipliés via les joueurs fassis en l‘occurrence Bourazouk, Hahloul, Hamouni, Chtaïbi (maître à jouer du MAS, relevé en milieu de la seconde période). Ces derniers ont donné des sueurs froides aux hommes de Benzerti. A l'actif des Tunisois, ce tir juste après le but et qui a été relâché par Znaïti qui s'est rattrapé dans la seconde qui suit en subtilisant le ballon des pieds de Zouhaïr Dhaouadi et ce ballon qui heurte le poteau suite à un coup-franc de Mustapha Mrani.
En seconde période, ce sont les Marocains qui prennent la direction des opérations. Le Clubistes, eux, se contentent de regarder le MAS faire circuler le ballon.
46e infiltration de Chtaïbi qui a donné des sueurs froides à Aymen Ben Ayoub. Autres sueurs froides une minute après (47e), où Bourazouk était à deux doigts de niveler le score ! Une autre minute après, Bourazouk, encore lui, rate d'égaliser de peu. Benzerti frétille sur son banc de touche. 54e, Bourazouk, un danger constant pour le Club Africain donna de grosses frayeurs à la défense du CA. 58e, coup de théâtre, Jamal Eddine, Hamoudi, l'arbitre algérien, bon jusqu'ici, désigna le chemin des vestiaires au défenseur du MAS, Samir Zekroumi. Incompréhensible ! Réduits à 10, les Guêpes ont continué à piquer douloureusement les Tunisois qui n'ont jamais su tirer profit de cette infériorité numérique… si ce n'est leur second tir sur le poteau(78e). Mais même à 10 le MAS, via encore Bourazouk, se montra plus menaçant. Dernier sursaut du Club Africain (89e), Zniti sauve. C'est sur ce score de 1-0 en faveur des Tunisiens que l'arbitre siffla la fin d'un match plaisant mené de main de maître par les Marocains.
