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Les structures appartenant à cette catégorie sont des entités qui, juridiquement, ne font pas partie de l'Unesco, mais qui lui sont associées selon des accords précis avec le pays hôte. «Ce projet vient d'être approuvé par notre organisation. Par ailleurs, nous souhaitons que les décideurs marocains fassent autant de demandes de ce genre mais liées à d'autres thématiques», a indiqué Youssef Filali-Meknassi, responsable de ce projet au bureau de l'Unesco à Rabat avant son affectation en Namibie.
Le prochain centre aura pour objectif de contribuer au renforcement des capacités en matière des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Sur ce registre, «il sera un centre d'excellence pour le développement des ressources humaines et institutionnelles, les échanges de savoir-faire et des bonnes pratiques. Les activités de ce centre prendront en compte les besoins, les priorités et les stratégies africaines par une approche pluridisciplinaire de l'utilisation des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique qui tient compte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD)», lit-on dans le dossier de candidature.
Concrètement, les initiateurs de ce projet s'attendent donc à ce qu'il soit une structure dynamique qui coordonnera les synergies entre les différents opérateurs au niveau national et international. «Ce centre devra promouvoir le renforcement des capacités et assurer les actions de formation sur les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique aux niveaux national, régional et international, y compris par le biais de stages de formation, de séminaires et de conférences. Il devra mener à bien des études et activités de développement technologique liées aux énergies renouvelables et élaborer les outils pédagogiques sur leurs utilisations, leurs applications et leur gestion», ajoute le même document.
Par ailleurs, les responsables du projet soulignent que le prochain centre devra «favoriser l'échange d'informations et de bonnes pratiques et promouvoir la coopération Sud-Sud et Nord-Sud-Sud sur les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, constituer des bases de données complètes (informations sur l'énergie, l'état des connaissances et des technologies disponibles, liste d'experts, etc.) et promouvoir les échanges, notamment par le biais de réseaux spécialisés, aux niveaux national et international».
Autres objectifs assignés à ce nouveau-né, développer des capacités d'élaboration de politiques et de stratégies énergétiques et fournir les conseils appropriés aux gouvernements de la région. «Plus particulièrement, le centre devra aider les gouvernements africains, en collaboration avec l'UNESCO et les organisations concernées au niveau de la région, à formuler des stratégies et des politiques sur les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, fondées sur l'état des connaissances et des technologies disponibles», ajoute la même source. Toujours selon elle, le centre visera aussi la sensibilisation du grand public, les organismes nationaux et internationaux, les ONG et les pouvoirs publics sur les énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Compte tenu du potentiel important et de la demande en services énergétiques non satisfaite en Afrique, les sources d'énergies renouvelables et l'efficacité énergétique constituent une alternative viable pour l'accès aux services énergétiques et contribuent ainsi, de manière significative, aux défis majeurs liés au développement durable, au changements climatiques et à l'économie dite «verte».
Le prochain centre aura pour objectif de contribuer au renforcement des capacités en matière des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Sur ce registre, «il sera un centre d'excellence pour le développement des ressources humaines et institutionnelles, les échanges de savoir-faire et des bonnes pratiques. Les activités de ce centre prendront en compte les besoins, les priorités et les stratégies africaines par une approche pluridisciplinaire de l'utilisation des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique qui tient compte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD)», lit-on dans le dossier de candidature.
Concrètement, les initiateurs de ce projet s'attendent donc à ce qu'il soit une structure dynamique qui coordonnera les synergies entre les différents opérateurs au niveau national et international. «Ce centre devra promouvoir le renforcement des capacités et assurer les actions de formation sur les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique aux niveaux national, régional et international, y compris par le biais de stages de formation, de séminaires et de conférences. Il devra mener à bien des études et activités de développement technologique liées aux énergies renouvelables et élaborer les outils pédagogiques sur leurs utilisations, leurs applications et leur gestion», ajoute le même document.
Par ailleurs, les responsables du projet soulignent que le prochain centre devra «favoriser l'échange d'informations et de bonnes pratiques et promouvoir la coopération Sud-Sud et Nord-Sud-Sud sur les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, constituer des bases de données complètes (informations sur l'énergie, l'état des connaissances et des technologies disponibles, liste d'experts, etc.) et promouvoir les échanges, notamment par le biais de réseaux spécialisés, aux niveaux national et international».
Autres objectifs assignés à ce nouveau-né, développer des capacités d'élaboration de politiques et de stratégies énergétiques et fournir les conseils appropriés aux gouvernements de la région. «Plus particulièrement, le centre devra aider les gouvernements africains, en collaboration avec l'UNESCO et les organisations concernées au niveau de la région, à formuler des stratégies et des politiques sur les énergies renouvelables et l'efficacité énergétique, fondées sur l'état des connaissances et des technologies disponibles», ajoute la même source. Toujours selon elle, le centre visera aussi la sensibilisation du grand public, les organismes nationaux et internationaux, les ONG et les pouvoirs publics sur les énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique. Compte tenu du potentiel important et de la demande en services énergétiques non satisfaite en Afrique, les sources d'énergies renouvelables et l'efficacité énergétique constituent une alternative viable pour l'accès aux services énergétiques et contribuent ainsi, de manière significative, aux défis majeurs liés au développement durable, au changements climatiques et à l'économie dite «verte».
