Le programme aura pour objectif de renforcer les capacités institutionnelles de la Direction des entreprises publiques et de la privatisation (DEPP) dans les domaines des partenariats public-privé, de la gouvernance et de l'information financière des établissements et entreprises publics. La mise en œuvre de ce projet permettra donc de consolider le rôle des entreprises publiques dans l'économie marocaine en matière d'investissement, de gouvernance et de gestion.
Il contribuera également à ouvrir la voie à de nouvelles formes de coopération entre le secteur public et le privé en matière de financement et de gestion d'équipement publics et facilitera le processus de privatisation ou d'ouverture du capital des entreprises publiques. S'exprimant à cette occasion, le ministre d'Economie et des finances Salaheddine Mezouar a souligné l'importance particulière de ce programme qui contribuera d'après lui, à consolider le rôle que sont appelés à jouer les établissements et entreprises publiques dans l'économie marocaine notamment en matière d'investissement, de gouvernance et de gestion. «Ce jumelage pourra ouvrir la voie à de nouvelles formes de coopération entre public et privé. Ce qui sera de nature à renforcer la contribution des établissements et entreprises publics à la mise en œuvre des différentes visions stratégiques et réformes structurelles et à la conduite de grands projets structurants programmés par le gouvernement en vue d'accélérer le progrès économique et social du pays», explique le ministre.
Eneko Landaburu, ambassadeur et chef de la délégation de l'Union européenne au Maroc s'est félicité, pour sa part, du lancement de ce jumelage qui constitue le 100ème programme de son genre conclu avec les pays de la région méditerranéenne dans le cadre de la politique de voisinage. M. Landaburu a rappelé à cette occasion, les bonnes relations de partenariat qui lient l'Union européenne au Maroc. «Le Royaume est un partenaire privilégié de l'Union européenne désormais décidée à accompagner les réformes engagées par ce pays» affirme l'ambassadeur.
Etalé sur une période de 24 mois, ce programme de travail sera organisé donc en activités regroupées en trois principaux volets. Pour chacune des activités, les experts européens viendront en assistance à leurs collègues marocains pour les aider à réaliser les travaux souhaités. Le premier volet consistera à améliorer les conditions de développement des partenariats public-privé au Maroc à travers le renforcement de la connaissance des techniques de pointe et des bonnes pratiques européennes utilisées. Le deuxième volet sera axé quant à lui sur la modernisation du rôle de l'Etat actionnaire. Les activités de ce volet consisteront à accompagner la direction des entreprises publiques et de la privatisation dans la mise en place d'un dispositif inspiré des bonnes pratiques européennes en matière de fonctionnement des conseils d'administration des entreprises publiques.
On prévoit dans le cadre de ce volet la publication et la diffusion d'un Code marocain des bonnes pratiques de gouvernance des entreprises publiques. Enfin, le troisième volet visera l'amélioration de l'information financière et extra-financière des entreprises publiques à travers la promotion des innovations et des bonnes pratiques européennes en matière d'information financière des entreprises publiques et l'intégration des dimensions « développement durable » et « responsabilité sociale » des établissements publics dans la communication et les publications de ces entreprises.
Il contribuera également à ouvrir la voie à de nouvelles formes de coopération entre le secteur public et le privé en matière de financement et de gestion d'équipement publics et facilitera le processus de privatisation ou d'ouverture du capital des entreprises publiques. S'exprimant à cette occasion, le ministre d'Economie et des finances Salaheddine Mezouar a souligné l'importance particulière de ce programme qui contribuera d'après lui, à consolider le rôle que sont appelés à jouer les établissements et entreprises publiques dans l'économie marocaine notamment en matière d'investissement, de gouvernance et de gestion. «Ce jumelage pourra ouvrir la voie à de nouvelles formes de coopération entre public et privé. Ce qui sera de nature à renforcer la contribution des établissements et entreprises publics à la mise en œuvre des différentes visions stratégiques et réformes structurelles et à la conduite de grands projets structurants programmés par le gouvernement en vue d'accélérer le progrès économique et social du pays», explique le ministre.
Eneko Landaburu, ambassadeur et chef de la délégation de l'Union européenne au Maroc s'est félicité, pour sa part, du lancement de ce jumelage qui constitue le 100ème programme de son genre conclu avec les pays de la région méditerranéenne dans le cadre de la politique de voisinage. M. Landaburu a rappelé à cette occasion, les bonnes relations de partenariat qui lient l'Union européenne au Maroc. «Le Royaume est un partenaire privilégié de l'Union européenne désormais décidée à accompagner les réformes engagées par ce pays» affirme l'ambassadeur.
Etalé sur une période de 24 mois, ce programme de travail sera organisé donc en activités regroupées en trois principaux volets. Pour chacune des activités, les experts européens viendront en assistance à leurs collègues marocains pour les aider à réaliser les travaux souhaités. Le premier volet consistera à améliorer les conditions de développement des partenariats public-privé au Maroc à travers le renforcement de la connaissance des techniques de pointe et des bonnes pratiques européennes utilisées. Le deuxième volet sera axé quant à lui sur la modernisation du rôle de l'Etat actionnaire. Les activités de ce volet consisteront à accompagner la direction des entreprises publiques et de la privatisation dans la mise en place d'un dispositif inspiré des bonnes pratiques européennes en matière de fonctionnement des conseils d'administration des entreprises publiques.
On prévoit dans le cadre de ce volet la publication et la diffusion d'un Code marocain des bonnes pratiques de gouvernance des entreprises publiques. Enfin, le troisième volet visera l'amélioration de l'information financière et extra-financière des entreprises publiques à travers la promotion des innovations et des bonnes pratiques européennes en matière d'information financière des entreprises publiques et l'intégration des dimensions « développement durable » et « responsabilité sociale » des établissements publics dans la communication et les publications de ces entreprises.