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Ayoub Qanir signe son deuxième long métrage, «Un océan de lumière»

Tourné en Islande, le film raconte l’histoire de trois hommes : un scientifique, un prêtre et un pêcheur dont les perspectives et les destins divergent.

Ayoub Qanir signe son  deuxième long métrage,  «Un océan de lumière»
Produit par deux productrices islandaises, Karna Sigurdardóttir et Gudny Rós, le réalisateur tente une nouvelle aventure sur la terre des Vikings.

Le réalisateur Ayoub Qanir signe son deuxième long métrage en un an. Boulimique de travail et perfectionniste, c’est en Islande qu’il décide de tourner son second opus baptisé «Un océan de lumière». Alors que son premier long métrage «Le monde dont on rêve n’existe pas» continue sa tournée dans le monde des festivals – il vient de décrocher le Prix de la meilleure mise en scène au Festival du film d’Ischia, en Italie –, Ayoub Qanir sort son deuxième opus.

Après avoir tourné en Mongolie, il jette son dévolu sur l’Islande où il décide de raconter l’histoire de trois hommes : un scientifique, un prêtre et un pêcheur dont les perspectives et les destins divergent. Un film choral où Ayoub Qanir ressort toute la beauté des paysages islandais dans l’intensité de ses personnages. Des protagonistes profonds et mystérieux qui vivent tous sous le même ciel. Un ciel ouvert.

Produit par deux productrices islandaises, Karna Sigurdardóttir et Gudny Rós, le réalisateur tente une nouvelle aventure sur la terre des Vikings, le pays des plages volcaniques, qu’est l'Islande. «Ce film est un voyage dans un nouvel univers, des prises inoubliables et des perspectives aussi intenses qu’intrigantes.

Ce nouveau long métrage représente beaucoup pour moi...», confie Ayoub Qanir. «J'ai eu la chance de pouvoir intégrer de grandes quêtes scientifiques et existentielles dans l'écriture de cette petite histoire... Le monde que l'on a devant nous n’est pas aussi réel que l’on pense. L’univers quantique qui nous entoure n’a rien de physique. Au fait, il est plus intangible qu'on ne pense. Notre interprétation de la physicalité est fondamentalement limitée par nos sens. En fait, nos cellules nerveuses envoient des signaux électriques à notre cerveau selon lesquelles on toucherait des objets isolés, alors qu’il s’agit tout simplement d’électrons de l’objet visé. Du coup, l’univers n’est qu’un océan de lumière...», ajoute-t-il. Qanir a déjà réalisé un court métrage «Artificio Conceal» qui a fait le tour de plus de 50 festivals. Sa bande dessinée «La Marche verte» lui a valu un Wissam royal. Son roman graphique «Le Premier Marocain dans l’espace» lui a valu la participation au Salon du livre de Paris. 

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