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Installation d’une sculpture de Farid Belkahia

Installation d’une sculpture de Farid Belkahia
La Fondation nationale des musées (FNM) poursuit son travail d’intégration de l’art dans l’espace public. Après le guerrier Massaï d’Oussman Sow, le cheval de Fernando Botero et les sculptures en marbre d’Ikram Kabbaj, une sculpture de Farid Belkahia est venue s’ajouter sur le parvis du Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (MMVI) afin d’intégrer l’art dans le paysage urbanistique de la ville lumière et capitale de la culture.

Ces sculptures transforment les espaces publics et participent à leur embellissement.

Cette œuvre résulte d’un acte de mécénat culturel, c’est aussi une marque de confiance dont bénéficie la FNM auprès du public.

La sculpture de Farid Belkahia est un nouveau personnage qui rejoint le «déambulement artistique» sur le parvis du MMVI, a souligné le président de la Fondation nationale des musées, Mehdi Qotbi, qui s’est félicité qu’elle vienne compléter «l’invitation au voyage en dehors des murs du Musée». 

Dans une déclaration à la MAP, M. Qotbi s’est, d’emblée, réjoui de la présence dans le Musée d’une sculpture signé Farid Belkahia, «l’un des plus grands artistes marocains». 

Le président de la FNM s’est également félicité de pouvoir donner la chance aux visiteurs de «déambuler, se promener et “voyager” dans “le Musée extérieur”», en admirant les chefs-d’oeuvre d’Oussman Sow, de Fernando Botero, d’Ikram Kabbaj et bien sûr celui de Farid Belkahia, «qui vient donner davantage de visibilité à nos grands artistes marocains».

M. Qotbi s’est par ailleurs dit heureux que la sculpture de Belkahia, qui «comprend des signes amazighs», permettra de «donner de l’air aux contemplateurs, en de tels moments difficiles».

De son côté, le directeur du MMVI, Abdelaziz Idrissi, a expliqué que Belkahia, fidèle à son style, a encore une fois travaillé sur la matière, en utilisant des signes et des symboles de la culture ancestrale et «cette œuvre majestueuse qui fait plus de quatre mètres constitue en quelque sorte la synthèse de son travail».

C’est une façon de créer un lien étroit avec les visiteurs avant même qu’ils accèdent au Musée, a-t-il poursuivi, ajoutant que cette œuvre, et celle de Kabbaj, reflètent la richesse de la programmation de l’institution culturelle avec la présence d’une oeuvre internationale, une oeuvre continentale et une présence conséquente d’artistes marocains. 

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