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Mehdi Maachi Haddou élu président du comité de cogestion

Mehdi Maachi Haddou élu président du comité de cogestion
Mehdi Maachi Haddou est, par ailleurs, directeur général adjoint de la Société des industries de béton.

La Fédération des industries des matériaux de construction (FMC) a élu Mehdi Maachi Haddou en qualité de président du comité de cogestion de l’Institut des matériaux de construction de Tamesna (IMC). L’élection de Haddou s’est déroulée lors de l’assemblée générale ordinaire de la Fédération, tenue en visio-conférence le 24 décembre. Haddou est directeur général adjoint de la Société des industries de béton (SODIBET). Pour rappel, l’institut a été mis sur rails en 2014 en partenariat avec l’OFPPT pour un investissement de 40 millions de dirhams. Sa mission, doter le secteur en personnel qualifié capable d’accompagner la mise à niveau des entreprises, en dispensant des formations en matériaux de construction afin de suivre et anticiper l’évolution du secteur. Les formations sont ouvertes tant aux bacheliers qu’aux non-bacheliers, selon la filière choisie. Elles ont aussi la particularité d’offrir des opportunités de travail au personnel féminin, favorisant ainsi l’égalité des chances et l’approche genre. La durée de la formation dans les métiers liés au secteur varie entre une année et demie à deux années. Dans un premier temps, l’IMC a déployé des formations qualifiantes en alternance dans deux filières de formation, à savoir technico-commercial en industrie des matériaux de construction et maintenance en industrie des matériaux de construction. Le dispositif de formation devrait surtout accompagner la dynamique du secteur qui s’est structuré en écosystème en 2016. Le développement de cet écosystème est appelé à relever les enjeux liés à l’industrialisation des filières, l’amélioration de la compétitivité à l’import-export et la réduction de la facture énergétique des acteurs. Il s’agit également de combler les carences du secteur, notamment la faible valorisation de certaines activités, la faiblesse de l’adéquation de la formation aux besoins des filières et le manque d’innovation dans les produits de construction. 

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