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Hind Benjbara distinguée à Meknès
La jeune actrice Hind Benjbara a décroché le Prix de la meilleure actrice lors de la dixième édition du Festival de Meknès de la fiction télévisuelle qui s’est déroulée du 28 mai au 1er juin. Elle a été primée pour son rôle dans «Ammi Nawfel» de Hicham Laasri.
Autre moment fort du festival, la distinction du film «6 mois et 1 jour», qui décrit l’univers de l’autisme, du réalisateur Abreslam Kelai, qui a remporté trois trophées dans la catégorie «Téléfilm» : le Grand Prix du festival, le Prix de la meilleure réalisation, le Prix du meilleur acteur pour Amine Ennaji et une Mention spéciale pour l’actrice Jalila Tlemci. Le Prix du meilleur acteur a été décerné ex aequo à Hassan Foulane.S. Ba
Le poids des secrets sur le dos d’Assaad Bouab et Jihane Bougrine
L’auteure-compositrice et interprète Jihane Bougrine sort «Serek F’Bir», un nouveau single, extrait du second album «Lyam» sur le poids des secrets dans la société marocaine et arabe. Le clip est porté par l’acteur franco-marocain Assaad Bouab et réalisé par Julien Fouré. «Serek F’Bir» (ton secret est bien gardé) est inspirée d’une histoire de famille que Jihane a dépoussiérée presque malgré elle. «Les secrets peuvent tuer. Cette chanson est une façon de libérer la parole pour rappeler qu’il y a toujours quelqu’un à qui ouvrir son cœur et qui a ce pouvoir de vous tendre la main», explique la musicienne qui a voulu raconter cela dans un clip réalisé par le réalisateur monteur et fondateur des Free Monkeyz : Julien Fouré. «Je voulais raconter cette histoire à travers une figure masculine forte parce qu’il s’agit de l’histoire des hommes de ma famille. Qui de mieux que Assaad Bouab pour porter cette histoire ?» confie-t-elle.
N.O
Debbouze se confie sur l’accident qui a changé sa vie
Dans le documentaire «Dans la tête de Jamel Debbouze», produit par sa femme Mélissa Theuriau, l’humoriste, qui gardait souvent le silence sur son histoire, s’est confié sur l’accident qui lui a fait perdre l’usage de son bras droit. Un accident qui a changé sa vie et sa vision de la société, mais l’humour a été son remède et lui a permis de surmonter son handicap. «Après cet accident que j’ai eu, j’avais peur de ne plus correspondre aux codes de la société et d’être naturellement exclu, car physiquement moins utile. Heureusement que j’avais les yeux, la bouche et le reste pour m’exprimer et dire : Je suis intéressant, je vous jure, je suis marrant, je veux faire partie de la fête, ne me jugez pas !», a-t-il confié.
S. Ba
