Ces « comptes Trump » seront ouverts automatiquement pour les bébés de citoyenneté américaine nés durant le mandat présidentiel, à condition que leurs parents disposent d’un numéro de sécurité sociale. Le gouvernement prévoit un versement initial unique de 1 000 dollars, avec la possibilité pour les familles d’alimenter le compte jusqu’à 5 000 dollars par an, dans un cadre fiscal avantageux. Avec environ 3,6 millions de naissances par an aux États-Unis, ce dispositif pourrait coûter autour de 15 milliards d’euros au gouvernement.
Plusieurs milliardaires américains, dont les patrons de Dell, Goldman Sachs, Uber et Slack, devraient annoncer ce lundi 9 juin lors d’une table ronde à la Maison-Blanche leur engagement à investir des milliards de dollars sur ces comptes, notamment pour les enfants de leurs employés, selon un porte-parole de la présidence relayé par CNBC.
Ce projet a été adopté récemment par la Chambre des représentants dans le cadre d’un vaste projet de loi comprenant d’importantes baisses d’impôts. Mais il doit encore être examiné au Sénat, où certains élus Républicains conservateurs émettent des réserves, notamment en raison des exigences budgétaires. Elon Musk, qui avait initialement soutenu l’idée, s’est retiré récemment, qualifiant la loi « d’abomination répugnante » peu avant de quitter le département de l’efficacité gouvernementale (DOGE)
Ce dispositif n’est pas totalement inédit : certains États comme le Connecticut et le Colorado proposent déjà des mécanismes d’épargne similaires avec abondement public, parfois plus généreux, pour les nouveau-nés.
Plusieurs milliardaires américains, dont les patrons de Dell, Goldman Sachs, Uber et Slack, devraient annoncer ce lundi 9 juin lors d’une table ronde à la Maison-Blanche leur engagement à investir des milliards de dollars sur ces comptes, notamment pour les enfants de leurs employés, selon un porte-parole de la présidence relayé par CNBC.
Ce projet a été adopté récemment par la Chambre des représentants dans le cadre d’un vaste projet de loi comprenant d’importantes baisses d’impôts. Mais il doit encore être examiné au Sénat, où certains élus Républicains conservateurs émettent des réserves, notamment en raison des exigences budgétaires. Elon Musk, qui avait initialement soutenu l’idée, s’est retiré récemment, qualifiant la loi « d’abomination répugnante » peu avant de quitter le département de l’efficacité gouvernementale (DOGE)
Ce dispositif n’est pas totalement inédit : certains États comme le Connecticut et le Colorado proposent déjà des mécanismes d’épargne similaires avec abondement public, parfois plus généreux, pour les nouveau-nés.