Selon Layoffs.fyi, une startup qui traque les suppressions d’emplois dans l’industrie de technologie, quelque 32.000 personnes ont perdu leur emploi, notamment dans le secteur des technologies, depuis le début de l’année. Pour justifier ces licenciements, les entreprises évoquent, outre des facteurs économiques, la ruée vers l’intelligence artificielle et la recherche de profils adaptés à la nouvelle technologie. D’après une analyse de CompTIA, une compagnie qui suit les tendances de l’emploi dans l’industrie technologique, les offres d’emploi liées à la nouvelle technologie ou nécessitant des compétences en IA ont augmenté d’environ 2.000 de décembre à janvier, pour atteindre 17.479 postes.
«La liste des licenciements de cols blancs s’allonge presque quotidiennement et inclut les suppressions d’emplois chez Google, Duolingo et UPS durant les dernières semaines», indique le «Wall Street Journal». L’auteur de l’article fait observer que même si le nombre total d’emplois directement perdus à cause de l’IA générative reste faible, certaines de ces entreprises et bien d’autres ont lié les suppressions d’emplois à de nouvelles technologies stimulant la productivité comme l’apprentissage automatique et d’autres applications d’IA.
Contrairement aux vagues précédentes de technologie d’automatisation, l’IA générative ne se contente pas d’accélérer les tâches de routine ou d’effectuer des prédictions en reconnaissant des modèles de données. Elle est en mesure aussi d’accomplir le travail que font des millions de personnes dans leurs ordinateurs comme la création de contenu et la synthétisation des idées, fait remarquer la publication. «Cette vague de technologie représente un remplacement potentiel ou une amélioration pour de nombreux emplois de cols blancs qui nécessitent une pensée critique», a déclaré Andy Challenger, vice-président de Challenger, Gray & Christmas, cité par le journal. Pour le grand tirage, certaines des suppressions d’emplois en cours sont déjà le résultat direct des changements apportés par l’IA, alors que des entreprises suppriment des emplois pour consacrer plus de fonds au développement de la nouvelle technologie.
«La liste des licenciements de cols blancs s’allonge presque quotidiennement et inclut les suppressions d’emplois chez Google, Duolingo et UPS durant les dernières semaines», indique le «Wall Street Journal». L’auteur de l’article fait observer que même si le nombre total d’emplois directement perdus à cause de l’IA générative reste faible, certaines de ces entreprises et bien d’autres ont lié les suppressions d’emplois à de nouvelles technologies stimulant la productivité comme l’apprentissage automatique et d’autres applications d’IA.
Contrairement aux vagues précédentes de technologie d’automatisation, l’IA générative ne se contente pas d’accélérer les tâches de routine ou d’effectuer des prédictions en reconnaissant des modèles de données. Elle est en mesure aussi d’accomplir le travail que font des millions de personnes dans leurs ordinateurs comme la création de contenu et la synthétisation des idées, fait remarquer la publication. «Cette vague de technologie représente un remplacement potentiel ou une amélioration pour de nombreux emplois de cols blancs qui nécessitent une pensée critique», a déclaré Andy Challenger, vice-président de Challenger, Gray & Christmas, cité par le journal. Pour le grand tirage, certaines des suppressions d’emplois en cours sont déjà le résultat direct des changements apportés par l’IA, alors que des entreprises suppriment des emplois pour consacrer plus de fonds au développement de la nouvelle technologie.