En août, le Premier ministre chinois Li Qiang a signé un décret du Conseil des affaires d’État instaurant une nouvelle catégorie de visa. Intitulé « visa K », ce dispositif cible les diplômés en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques issus d’universités ou de centres de recherche, en Chine comme à l’étranger. Le niveau minimum requis est une licence, et le champ d’application s’étend aussi aux chercheurs et enseignants déjà actifs dans ces disciplines.
Contrairement aux dispositifs en vigueur, le visa K ne nécessite pas d’offre d’emploi ou de contrat préalable avec une institution chinoise. Il permettra d’entrer en Chine de manière plus flexible et d’y séjourner plus longtemps. Les titulaires pourront participer à des activités dans l’enseignement, la recherche, la culture, mais aussi développer des projets entrepreneuriaux et commerciaux.
Le ministère chinois des Affaires étrangères a indiqué que les critères précis et la liste des documents à fournir seront publiés prochainement par les ambassades et consulats. Une campagne d’information accompagnera le lancement pour faciliter les démarches.
Pékin affirme ainsi sa volonté de renforcer son attractivité auprès de la jeunesse scientifique mondiale. Le pays ne compte aujourd’hui qu’un million d’étrangers, soit moins de 1% de sa population, mais cherche à s’ouvrir davantage. Ce dispositif traduit la volonté du gouvernement de mettre en œuvre la stratégie nationale de « pays fort par les talents » et de se positionner comme un acteur central dans la compétition mondiale pour l’innovation.
Contrairement aux dispositifs en vigueur, le visa K ne nécessite pas d’offre d’emploi ou de contrat préalable avec une institution chinoise. Il permettra d’entrer en Chine de manière plus flexible et d’y séjourner plus longtemps. Les titulaires pourront participer à des activités dans l’enseignement, la recherche, la culture, mais aussi développer des projets entrepreneuriaux et commerciaux.
Le ministère chinois des Affaires étrangères a indiqué que les critères précis et la liste des documents à fournir seront publiés prochainement par les ambassades et consulats. Une campagne d’information accompagnera le lancement pour faciliter les démarches.
Pékin affirme ainsi sa volonté de renforcer son attractivité auprès de la jeunesse scientifique mondiale. Le pays ne compte aujourd’hui qu’un million d’étrangers, soit moins de 1% de sa population, mais cherche à s’ouvrir davantage. Ce dispositif traduit la volonté du gouvernement de mettre en œuvre la stratégie nationale de « pays fort par les talents » et de se positionner comme un acteur central dans la compétition mondiale pour l’innovation.
