Ce soutien, qui s'ajoute à celui exprimé pour des sièges permanents réclamés par le Japon, l'Allemagne et l'Inde, ne prévoit pourtant pas un accès au droit de veto.
«Nous pensons qu'étendre ce droit rendrait le Conseil plus dysfonctionnel», a déclaré l'ambassadrice représentante permanente des États-Unis auprès de l'ONU, Linda Thomas-Greenfield.
Le Conseil de sécurité compte 15 membres : cinq permanents qui détiennent un droit de veto et dix élus pour deux ans qui représentent les différentes régions géographiques, dont trois pour l'Afrique.
La diplomate a, par ailleurs, plaidé pour un siège non permanent pour les petits États insulaires en développement, dans le cadre de la réforme tant attendue de l'instance exécutive de l'ONU. Cette réforme nécessiterait l'adoption puis la ratification par deux tiers des 193 États membres, dont les cinq membres permanents du Conseil.
«Nous pensons qu'étendre ce droit rendrait le Conseil plus dysfonctionnel», a déclaré l'ambassadrice représentante permanente des États-Unis auprès de l'ONU, Linda Thomas-Greenfield.
Le Conseil de sécurité compte 15 membres : cinq permanents qui détiennent un droit de veto et dix élus pour deux ans qui représentent les différentes régions géographiques, dont trois pour l'Afrique.
La diplomate a, par ailleurs, plaidé pour un siège non permanent pour les petits États insulaires en développement, dans le cadre de la réforme tant attendue de l'instance exécutive de l'ONU. Cette réforme nécessiterait l'adoption puis la ratification par deux tiers des 193 États membres, dont les cinq membres permanents du Conseil.