L’été 2024 a été marqué par trois vagues de chaleur totalisant 22 jours, soit un jour sur quatre, avec des températures maximales atteignant 43,5 °C à Morón de la Frontera et 43,3 °C à Badajoz, illustrant l’intensification des épisodes de chaleur extrême, indique l'Aemet dans son bilan climatique annuel.
Parallèlement, octobre 2024 a été le mois le plus pluvieux de la série historique, alors que novembre et décembre figuraient parmi les plus secs du XXIe siècle, des contrastes climatiques qui, selon la ministre de la Transition écologique Sara Aagesen, appellent à une adaptation urgente au changement climatique.
Sur le plan hydrique, 2024 a été qualifiée d’année humide avec une moyenne de 669,1 litres de précipitations par mètre carré, soit 105% de la normale pour la période 1991-2020, précise l'Agence nationale, ajoutant que la péninsule et les Baléares ont connu des excédents, alors les Canaries ont enregistré leur année la plus sèche depuis 1961 avec seulement 138,8 litres. Certaines zones de Valence ayant même doublé leurs précipitations habituelles lors d’un épisode exceptionnel le 29 octobre.
Les températures de 2024 ont montré des anomalies marquantes, avec janvier, août et novembre enregistrés comme les plus chauds de l’histoire, un hiver égalant le record de 2019-2020, et des saisons successives marquées par des températures élevées, particulièrement dans les régions Est, Centre et Sud de la péninsule ainsi que dans les deux archipels, poursuit-on. Malgré quelques épisodes de basses températures, notamment entre le 23 février et le 11 mars, aucune vague de froid n’a été enregistrée en 2024, avec des minimales atteignant -9,2 °C à Soria le 21 janvier et -8,7 °C à Molina de Aragón le 30 décembre, souligne l'Aemet.
Parallèlement, octobre 2024 a été le mois le plus pluvieux de la série historique, alors que novembre et décembre figuraient parmi les plus secs du XXIe siècle, des contrastes climatiques qui, selon la ministre de la Transition écologique Sara Aagesen, appellent à une adaptation urgente au changement climatique.
Sur le plan hydrique, 2024 a été qualifiée d’année humide avec une moyenne de 669,1 litres de précipitations par mètre carré, soit 105% de la normale pour la période 1991-2020, précise l'Agence nationale, ajoutant que la péninsule et les Baléares ont connu des excédents, alors les Canaries ont enregistré leur année la plus sèche depuis 1961 avec seulement 138,8 litres. Certaines zones de Valence ayant même doublé leurs précipitations habituelles lors d’un épisode exceptionnel le 29 octobre.
Les températures de 2024 ont montré des anomalies marquantes, avec janvier, août et novembre enregistrés comme les plus chauds de l’histoire, un hiver égalant le record de 2019-2020, et des saisons successives marquées par des températures élevées, particulièrement dans les régions Est, Centre et Sud de la péninsule ainsi que dans les deux archipels, poursuit-on. Malgré quelques épisodes de basses températures, notamment entre le 23 février et le 11 mars, aucune vague de froid n’a été enregistrée en 2024, avec des minimales atteignant -9,2 °C à Soria le 21 janvier et -8,7 °C à Molina de Aragón le 30 décembre, souligne l'Aemet.