Cette décision, adoptée en Conseil des ministres, ouvre la voie au versement d’aides directes aux sinistrés, à des exonérations fiscales ainsi qu’à d’autres mécanismes de soutien, a indiqué le ministre de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, lors d’une conférence de presse.
"Pour mesurer l’ampleur de la tragédie, l’état de catastrophe naturelle couvre pratiquement l’ensemble du territoire", a souligné le ministre, rappelant que 15 grands foyers d'incendie demeurent encore actifs.
Selon lui, ces incendies constituent "l’une des plus graves catastrophes environnementales des dernières années", avec un bilan de quatre morts et plus de 350.000 hectares ravagés.
M. Grande-Marlaska a averti que "les dommages aux infrastructures et aux biens publics et privés seront sans aucun doute très élevés", tout en assurant que l’Exécutif a mobilisé "tous les moyens disponibles" pour faire face à la situation.
L’objectif, a-t-il insisté, est de permettre aux sinistrés de "retrouver une vie normale dans les plus brefs délais", grâce à l’accélération des dispositifs d’aide et de compensation.
Le ministre a par ailleurs relevé que les pyromanes ne sont responsables que d’une "faible part" des incendies, la majorité étant liés aux conditions climatiques extrêmes, avant d’appeler à la plus grande prudence alors que le risque d’incendie demeure maximal dans plusieurs régions.
De son côté, la ministre de l’Éducation, de la Formation professionnelle et des Sports, et porte-parole du gouvernement, Pilar Alegría, a rappelé que le changement climatique représente "un défi mondial", plaidant pour une action concertée impliquant administrations, société civile et forces politiques.
"Pour mesurer l’ampleur de la tragédie, l’état de catastrophe naturelle couvre pratiquement l’ensemble du territoire", a souligné le ministre, rappelant que 15 grands foyers d'incendie demeurent encore actifs.
Selon lui, ces incendies constituent "l’une des plus graves catastrophes environnementales des dernières années", avec un bilan de quatre morts et plus de 350.000 hectares ravagés.
M. Grande-Marlaska a averti que "les dommages aux infrastructures et aux biens publics et privés seront sans aucun doute très élevés", tout en assurant que l’Exécutif a mobilisé "tous les moyens disponibles" pour faire face à la situation.
L’objectif, a-t-il insisté, est de permettre aux sinistrés de "retrouver une vie normale dans les plus brefs délais", grâce à l’accélération des dispositifs d’aide et de compensation.
Le ministre a par ailleurs relevé que les pyromanes ne sont responsables que d’une "faible part" des incendies, la majorité étant liés aux conditions climatiques extrêmes, avant d’appeler à la plus grande prudence alors que le risque d’incendie demeure maximal dans plusieurs régions.
De son côté, la ministre de l’Éducation, de la Formation professionnelle et des Sports, et porte-parole du gouvernement, Pilar Alegría, a rappelé que le changement climatique représente "un défi mondial", plaidant pour une action concertée impliquant administrations, société civile et forces politiques.
