Dans cette étude, les chercheurs ont compilé les données de 85 travaux scientifiques, représentant deux millions d’adultes suivis à travers le monde. Ce qui ressort est limpide : l’activité domestique constitue une source précieuse d’exercice physique et ses effets bénéfiques sur la santé sont mesurables. Les gestes du quotidien comme passer l’aspirateur, faire la vaisselle, laver le sol, bricoler, jardiner ou porter des charges dans la maison contribuent pleinement à ces bénéfices lorsqu’ils sont réalisés de manière régulière et avec suffisamment d’intensité.
Les résultats montrent que les personnes actives tout au long de leur vie adulte réduisent en moyenne de 30 à 40% leur risque de mortalité toutes causes confondues. Même celles qui décident d’augmenter leur niveau d’activité plus tard profitent d’une baisse notable estimée entre 20 et 25%, explique l’étude.
Autre élément frappant, les gains en espérance de vie apparaissent même en dessous des seuils recommandés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui fixe la barre de 150 à 300 minutes d’activité modérée par semaine. Deux heures et demie de ménage énergique par semaine suffisent déjà à réduire de manière tangible le risque, affirment les chercheurs
L’étude alerte toutefois sur l’importance de la constance. Une baisse progressive des efforts efface rapidement les bénéfices accumulés. « La santé se joue donc dans le maintien d’un mode de vie actif, même lorsqu’il s’exprime par des gestes simples mais répétés dans l’environnement domestique », conclut l’étude.
Les résultats montrent que les personnes actives tout au long de leur vie adulte réduisent en moyenne de 30 à 40% leur risque de mortalité toutes causes confondues. Même celles qui décident d’augmenter leur niveau d’activité plus tard profitent d’une baisse notable estimée entre 20 et 25%, explique l’étude.
Autre élément frappant, les gains en espérance de vie apparaissent même en dessous des seuils recommandés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui fixe la barre de 150 à 300 minutes d’activité modérée par semaine. Deux heures et demie de ménage énergique par semaine suffisent déjà à réduire de manière tangible le risque, affirment les chercheurs
L’étude alerte toutefois sur l’importance de la constance. Une baisse progressive des efforts efface rapidement les bénéfices accumulés. « La santé se joue donc dans le maintien d’un mode de vie actif, même lorsqu’il s’exprime par des gestes simples mais répétés dans l’environnement domestique », conclut l’étude.
