Dans une lettre aux Français publiée par plusieurs titres de la presse régionale, le président Macron a affirmé, qu’à l’issue du 2ème tour des législatives, aucune force politique n’a obtenu seule une majorité suffisante et “les blocs ou coalitions qui ressortent de ces élections sont tous minoritaires”.
“Je demande à l’ensemble des forces politiques se reconnaissant dans les institutions républicaines, l’Etat de droit, le parlementarisme, une orientation européenne et la défense de l’indépendance française, d’engager un dialogue sincère et loyal pour bâtir une majorité solide, nécessairement plurielle, pour le pays”, a affirmé le président dans cette lettre largement relayée par les médias et qui constitue sa première sortie médiatique après le scrutin.
Depuis l’annonce des résultats du second tour des législatives, qui ont donné gagnante la coalition de gauche sans pour autant qu’elle n’obtienne la majorité absolue avec 190 sièges, le paysage politique français s’est vu fragmenté et divisé autour de la possibilité de dégager un consensus en vue d’un accord de coalition.
Arrivé en tête des législatives, le Nouveau Front populaire revendique la victoire et réclame instamment le poste de premier ministre, même s'il n’a pas obtenu la majorité absolue, soit 289 sièges.
Ses différents leaders, pas tous sur la même longueur d’onde, défendent chacun la nomination d’un locataire à Matignon de son rang. La bataille est engagée dans ce sens principalement entre les deux grandes composantes de ce bloc gauchiste, "La France insoumise de Jean Luc Mélenchon et le Parti socialiste d’Olivier Faure".
Le camp présidentiel, sous la bannière d’Ensemble, sorti indemne de l’épreuve électorale, tente quant à lui de trouver une alternative à la gauche en tendant la main à la droite.
Il compte pour cela, avec ses 160 sièges à l’Assemblée, rallier des députés de Les Républicains, de divers droite, du centre droit et même de divers gauche. Cela donnerait lieu à un bloc central capable d’une part d’envoyer un nom à Matignon et d’autre part d’avoir une majorité confortable à l'Assemblée.
Dans sa lettre aux Français, M. Macron a indiqué que la prochaine coalition républicaine devra se construire "autour de quelques grands principes pour le pays, de valeurs républicaines claires et partagées, d’un projet pragmatique et lisible et prendre en compte les préoccupations exprimées au moment des élections. Elle devra garantir la plus grande stabilité institutionnelle possible”. Et de conclure que c’est à la lumière de ces principes qu’il décidera de la nomination du premier ministre.
“Je demande à l’ensemble des forces politiques se reconnaissant dans les institutions républicaines, l’Etat de droit, le parlementarisme, une orientation européenne et la défense de l’indépendance française, d’engager un dialogue sincère et loyal pour bâtir une majorité solide, nécessairement plurielle, pour le pays”, a affirmé le président dans cette lettre largement relayée par les médias et qui constitue sa première sortie médiatique après le scrutin.
Depuis l’annonce des résultats du second tour des législatives, qui ont donné gagnante la coalition de gauche sans pour autant qu’elle n’obtienne la majorité absolue avec 190 sièges, le paysage politique français s’est vu fragmenté et divisé autour de la possibilité de dégager un consensus en vue d’un accord de coalition.
Arrivé en tête des législatives, le Nouveau Front populaire revendique la victoire et réclame instamment le poste de premier ministre, même s'il n’a pas obtenu la majorité absolue, soit 289 sièges.
Ses différents leaders, pas tous sur la même longueur d’onde, défendent chacun la nomination d’un locataire à Matignon de son rang. La bataille est engagée dans ce sens principalement entre les deux grandes composantes de ce bloc gauchiste, "La France insoumise de Jean Luc Mélenchon et le Parti socialiste d’Olivier Faure".
Le camp présidentiel, sous la bannière d’Ensemble, sorti indemne de l’épreuve électorale, tente quant à lui de trouver une alternative à la gauche en tendant la main à la droite.
Il compte pour cela, avec ses 160 sièges à l’Assemblée, rallier des députés de Les Républicains, de divers droite, du centre droit et même de divers gauche. Cela donnerait lieu à un bloc central capable d’une part d’envoyer un nom à Matignon et d’autre part d’avoir une majorité confortable à l'Assemblée.
Dans sa lettre aux Français, M. Macron a indiqué que la prochaine coalition républicaine devra se construire "autour de quelques grands principes pour le pays, de valeurs républicaines claires et partagées, d’un projet pragmatique et lisible et prendre en compte les préoccupations exprimées au moment des élections. Elle devra garantir la plus grande stabilité institutionnelle possible”. Et de conclure que c’est à la lumière de ces principes qu’il décidera de la nomination du premier ministre.