La température moyenne annuelle à la surface terrestre a atteint 25,75 degrés Celsius (°C) au cours de l'année écoulée, soit 0,65 °C de plus que la moyenne à long terme pour la période 1991-2020, a-t-il ajouté lors d’un point de presse.
Dans le détail, la température maximale moyenne en 2024 s’est élevée à 31,25 °C, dépassant de 0,20 °C la normale. La température minimale moyenne a, quant à elle, atteint 20,24 °C, représentant un écart de 0,90 °C par rapport à la moyenne.
L'année 2024 détrône ainsi 2016, qui détenait jusqu'à présent le record de chaleur en Inde avec une température moyenne de 0,54 °C au-dessus de la normale.
Selon un rapport de l'Organisation météorologique mondiale (OMM), l’année 2024 est en passe de devenir l’année la plus chaude jamais observée, après une longue série de températures moyennes mensuelles exceptionnellement élevées à l’échelle du globe.
Le rapport, publié en novembre lors de la COP29 à Bakou (Azerbaïdjan), a tiré la sonnette d'alarme face au rythme effréné du changement climatique en une seule génération, notamment du fait de l’augmentation constante des niveaux de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
Selon ce document, la période 2015-2024 devra être la décennie la plus chaude jamais enregistrée.
Dans le détail, la température maximale moyenne en 2024 s’est élevée à 31,25 °C, dépassant de 0,20 °C la normale. La température minimale moyenne a, quant à elle, atteint 20,24 °C, représentant un écart de 0,90 °C par rapport à la moyenne.
L'année 2024 détrône ainsi 2016, qui détenait jusqu'à présent le record de chaleur en Inde avec une température moyenne de 0,54 °C au-dessus de la normale.
Selon un rapport de l'Organisation météorologique mondiale (OMM), l’année 2024 est en passe de devenir l’année la plus chaude jamais observée, après une longue série de températures moyennes mensuelles exceptionnellement élevées à l’échelle du globe.
Le rapport, publié en novembre lors de la COP29 à Bakou (Azerbaïdjan), a tiré la sonnette d'alarme face au rythme effréné du changement climatique en une seule génération, notamment du fait de l’augmentation constante des niveaux de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
Selon ce document, la période 2015-2024 devra être la décennie la plus chaude jamais enregistrée.