La secousse, enregistrée le 8 décembre, avait déclenché des vagues de tsunami atteignant jusqu’à 70 centimètres et fait plus de 40 blessés, sans causer de dégâts majeurs, selon la JMA et l'Agence de gestion des incendies et des catastrophes.
Dans la foulée du séisme, la JMA avait émis une rare alerte mettant en garde contre un risque accru de "méga-séisme", défini comme une secousse d’une magnitude égale ou supérieure à 8. Les scientifiques estiment qu’après un séisme d’au moins magnitude 7, la probabilité d’un tel événement est d’environ 1% dans les sept jours.
"La période spéciale d’alerte a expiré à minuit lundi", a déclaré à la presse Issei Suganuma, responsable à la JMA, appelant la population à rester vigilante. "Cela ne signifie pas que des séismes ne se produiront plus", a-t-il dit.
La JMA a toutefois précisé que le risque de méga-séisme au large de la côte nord du pays demeure élevé, bien qu’il tende à diminuer avec le temps.
Selon les directives gouvernementales publiées en mars, un méga-séisme au large de la zone Hokkaido-Sanriku pourrait provoquer un tsunami de 30 mètres, faire jusqu’à 199.000 morts, détruire environ 220.000 bâtiments et entraîner des pertes économiques estimées à 31.000 milliards de yens.
Dans la foulée du séisme, la JMA avait émis une rare alerte mettant en garde contre un risque accru de "méga-séisme", défini comme une secousse d’une magnitude égale ou supérieure à 8. Les scientifiques estiment qu’après un séisme d’au moins magnitude 7, la probabilité d’un tel événement est d’environ 1% dans les sept jours.
"La période spéciale d’alerte a expiré à minuit lundi", a déclaré à la presse Issei Suganuma, responsable à la JMA, appelant la population à rester vigilante. "Cela ne signifie pas que des séismes ne se produiront plus", a-t-il dit.
La JMA a toutefois précisé que le risque de méga-séisme au large de la côte nord du pays demeure élevé, bien qu’il tende à diminuer avec le temps.
Selon les directives gouvernementales publiées en mars, un méga-séisme au large de la zone Hokkaido-Sanriku pourrait provoquer un tsunami de 30 mètres, faire jusqu’à 199.000 morts, détruire environ 220.000 bâtiments et entraîner des pertes économiques estimées à 31.000 milliards de yens.
