Après plus d'un an de records mensuels ininterrompus, "la température moyenne mondiale sur les douze derniers mois (juillet 2023 - juin 2024) est la plus élevée jamais enregistrée", précise Copernicus, soit "1,64°C au-dessus de la moyenne préindustrielle 1850-1900".
Juin 2024 "marque le 13e mois consécutif de record des températures mondiales et le 12e mois consécutif qui dépasse de 1,5°C les moyennes de l'ère préindustrielle" (1850-1900), indique Carlo Buontempo, directeur du service du changement climatique de Copernicus (C3S).
"Il ne s'agit pas d'une incongruité statistique, mais cela illustre un changement important et continu de notre climat", fait observer l'expert, au terme d'un mois marqué de fortes canicules notamment en Inde, en Chine, en Arabie saoudite, en Grèce et au Mexique.
Le directeur du service du C3S a, en outre, souligné que "de nouveaux records seront battus au fur et à mesure que le climat continuera à se réchauffer" à cause des émissions de gaz à effet de serre de l’humanité.
D'après les experts, la température mondiale à la fin de 2024 dépendra principalement de la température des océans, qui recouvrent 70% de la planète et dont la température de l'eau en surface se maintient très nettement au-dessus de toutes les normes depuis plus d’un an, estimant qu'avec l’arrivée du phénomène "La Niña" prévue pour la fin de l’année, une légère baisse des températures mondiales est attendue dans les mois à venir.
Juin 2024 "marque le 13e mois consécutif de record des températures mondiales et le 12e mois consécutif qui dépasse de 1,5°C les moyennes de l'ère préindustrielle" (1850-1900), indique Carlo Buontempo, directeur du service du changement climatique de Copernicus (C3S).
"Il ne s'agit pas d'une incongruité statistique, mais cela illustre un changement important et continu de notre climat", fait observer l'expert, au terme d'un mois marqué de fortes canicules notamment en Inde, en Chine, en Arabie saoudite, en Grèce et au Mexique.
Le directeur du service du C3S a, en outre, souligné que "de nouveaux records seront battus au fur et à mesure que le climat continuera à se réchauffer" à cause des émissions de gaz à effet de serre de l’humanité.
D'après les experts, la température mondiale à la fin de 2024 dépendra principalement de la température des océans, qui recouvrent 70% de la planète et dont la température de l'eau en surface se maintient très nettement au-dessus de toutes les normes depuis plus d’un an, estimant qu'avec l’arrivée du phénomène "La Niña" prévue pour la fin de l’année, une légère baisse des températures mondiales est attendue dans les mois à venir.