Cette décision, après plusieurs mois de spéculations, a été entérinée par un vote à l'unanimité, a-t-il précisé dans un communiqué, soulignant que "le président de la République française Emmanuel Macron confirme ainsi sa confiance à Jack Lang" et saluant "une gouvernance fondée sur une gestion rigoureuse, une programmation de qualité et des projets ambitieux, en France comme à l'international".
Les statuts de l'Institut du monde arabe (Ima) ne prévoient pas de limite d'âge, ni du nombre de mandats pour sa présidence, contrairement à d'autres institutions culturelles.
Jack Lang a expliqué à l'AFP avoir "l'ambition" de faire de l'Ima "le plus important musée d'art moderne et contemporain arabe en Occident, tout en restant fidèle à sa mission première de découverte de l'histoire, de la langue et de la culture arabes".
Cet objectif, joint à une volonté de "renforcer l'itinérance des expositions et des oeuvres en France et à l'étranger", s'appuie sur une donation exceptionnelle du galeriste libanais Claude Lemand en 2018, qui a permis au musée de s'enrichir de plus de 1.800 oeuvres.
Une subvention exceptionnelle de six millions d'euros de la part du ministère de la Culture devrait, en outre, lui permettre de réaliser des travaux d'aménagement, alors qu'avec son budget restreint de 26 millions d'euros, l'Institut, qui dépend du ministère des Affaires Etrangères, ne joue pas dans la même cour que les grands musées parisiens.
Homme de réseau, il a développé une politique assumée de mécénat. En 2017, l'Arabie saoudite annonçait participer à la rénovation de l'institution à hauteur de cinq millions d'euros.
Côté fréquentation, le nombre de visiteurs a dépassé les 600.000 en 2022 et l'Ima table sur "une hausse d'environ 15%" pour 2023.
Les statuts de l'Institut du monde arabe (Ima) ne prévoient pas de limite d'âge, ni du nombre de mandats pour sa présidence, contrairement à d'autres institutions culturelles.
Jack Lang a expliqué à l'AFP avoir "l'ambition" de faire de l'Ima "le plus important musée d'art moderne et contemporain arabe en Occident, tout en restant fidèle à sa mission première de découverte de l'histoire, de la langue et de la culture arabes".
Cet objectif, joint à une volonté de "renforcer l'itinérance des expositions et des oeuvres en France et à l'étranger", s'appuie sur une donation exceptionnelle du galeriste libanais Claude Lemand en 2018, qui a permis au musée de s'enrichir de plus de 1.800 oeuvres.
Une subvention exceptionnelle de six millions d'euros de la part du ministère de la Culture devrait, en outre, lui permettre de réaliser des travaux d'aménagement, alors qu'avec son budget restreint de 26 millions d'euros, l'Institut, qui dépend du ministère des Affaires Etrangères, ne joue pas dans la même cour que les grands musées parisiens.
Homme de réseau, il a développé une politique assumée de mécénat. En 2017, l'Arabie saoudite annonçait participer à la rénovation de l'institution à hauteur de cinq millions d'euros.
Côté fréquentation, le nombre de visiteurs a dépassé les 600.000 en 2022 et l'Ima table sur "une hausse d'environ 15%" pour 2023.