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C’est un coup de tonnerre dans le monde du gaming ! Electronic Arts (EA), l’un des éditeurs les plus célèbres de la planète, est sur le point d’être racheté pour près de 50 milliards de dollars. Aux manettes de ce méga-deal se trouvent le fonds souverain d’Arabie saoudite (PIF), associé à Silver Lake, une société américaine de capital-investissement, et à Affinity Partners, un fonds d’investissement américain financé en grande partie par l’Arabie saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis.
L’annonce officielle pourrait tomber dès lundi si tout se passe bien, a affirmé le Financial Times. Si elle se confirme, cette opération entrerait dans l’histoire comme l’un des plus gros rachats du jeu vidéo. La banque américaine JPMorgan est déjà en train de réunir plus de 20 milliards de dollars de prêts pour permettre aux acheteurs de finaliser le dossier.
Pour l’Arabie saoudite ce n’est pas qu’un simple investissement. Le royaume veut faire du jeu vidéo un pilier de sa stratégie « Vision 2030 » qui vise à diversifier son économie au-delà du pétrole. PIF est déjà actionnaire d’EA et a massivement investi dans l’e-sport et les studios de développement via Savvy Games.
Cette acquisition tombe à un moment clé pour EA. Les revenus stagnent, la concurrence des jeux gratuits comme Fortnite se renforce et les coûts de production explosent. Les nouveaux propriétaires pourraient miser sur l’intelligence artificielle pour réduire les coûts et accélérer la création de nouveaux titres.
La Bourse a déjà réagi. L’action EA a bondi de 15 %, preuve que les investisseurs croient en ce rachat. Deux ans après le rachat d’Activision Blizzard par Microsoft, cette opération marquerait une nouvelle étape dans la consolidation du secteur.
Si le deal se concrétise, EA passera sous pavillon saoudien et pourrait changer de stratégie pour séduire encore plus de joueurs dans le monde entier. Reste à voir si cette nouvelle ère donnera naissance à des jeux encore plus ambitieux ou à un géant du gaming version 2.0.
L’annonce officielle pourrait tomber dès lundi si tout se passe bien, a affirmé le Financial Times. Si elle se confirme, cette opération entrerait dans l’histoire comme l’un des plus gros rachats du jeu vidéo. La banque américaine JPMorgan est déjà en train de réunir plus de 20 milliards de dollars de prêts pour permettre aux acheteurs de finaliser le dossier.
Pour l’Arabie saoudite ce n’est pas qu’un simple investissement. Le royaume veut faire du jeu vidéo un pilier de sa stratégie « Vision 2030 » qui vise à diversifier son économie au-delà du pétrole. PIF est déjà actionnaire d’EA et a massivement investi dans l’e-sport et les studios de développement via Savvy Games.
Cette acquisition tombe à un moment clé pour EA. Les revenus stagnent, la concurrence des jeux gratuits comme Fortnite se renforce et les coûts de production explosent. Les nouveaux propriétaires pourraient miser sur l’intelligence artificielle pour réduire les coûts et accélérer la création de nouveaux titres.
La Bourse a déjà réagi. L’action EA a bondi de 15 %, preuve que les investisseurs croient en ce rachat. Deux ans après le rachat d’Activision Blizzard par Microsoft, cette opération marquerait une nouvelle étape dans la consolidation du secteur.
Si le deal se concrétise, EA passera sous pavillon saoudien et pourrait changer de stratégie pour séduire encore plus de joueurs dans le monde entier. Reste à voir si cette nouvelle ère donnera naissance à des jeux encore plus ambitieux ou à un géant du gaming version 2.0.
