Les armées des deux pays voisins ont échangé des tirs d'artillerie le long de leur frontière au Cachemire, suite à des frappes indiennes sur le sol pakistanais, en représailles à l'attentat de Pahalgam qui a coûté la vie à 25 citoyens indiens et à un ressortissant népalais.
Lors de ces frappes, "neuf camps terroristes (...) ont été détruits avec succès", a déclaré à la presse la lieutenante-colonelle Vyomika Singh, porte-parole de l'armée indienne, précisant que ces cibles avaient été "choisies pour éviter tout dommage aux infrastructures civiles ou toute perte de vies civiles".
Selon le porte-parole de l'armée pakistanaise, le général Ahmed Chaudhry, les missiles indiens qui ont frappé six villes au Cachemire et au Pendjab pakistanais, ainsi que les échanges de tirs qui ont suivi, ont causé la mort d'au moins 26 civils et blessé 46 autres.
Ces tirs ont également endommagé le barrage hydroélectrique de Neelum-Jhelum, a-t-il ajouté.
Les autorités indiennes, citées par des médias, ont rapporté, quant à elles, 12 morts et 57 blessés dans les zones frontalières du Jammu-et-Cachemire, y compris le long de la ligne de contrôle.
Le district de Poonch a été le plus durement touché, concentrant l'ensemble des victimes civiles. Parmi les blessés, 42 ont été recensés dans cette région, dont plusieurs se trouvent dans un état critique, selon le quotidien Times of India, qui cite des responsables.
Ces frappes constituent l'un des épisodes les plus violents en deux décennies entre les deux puissances nucléaires d'Asie du Sud.
Lors de ces frappes, "neuf camps terroristes (...) ont été détruits avec succès", a déclaré à la presse la lieutenante-colonelle Vyomika Singh, porte-parole de l'armée indienne, précisant que ces cibles avaient été "choisies pour éviter tout dommage aux infrastructures civiles ou toute perte de vies civiles".
Selon le porte-parole de l'armée pakistanaise, le général Ahmed Chaudhry, les missiles indiens qui ont frappé six villes au Cachemire et au Pendjab pakistanais, ainsi que les échanges de tirs qui ont suivi, ont causé la mort d'au moins 26 civils et blessé 46 autres.
Ces tirs ont également endommagé le barrage hydroélectrique de Neelum-Jhelum, a-t-il ajouté.
Les autorités indiennes, citées par des médias, ont rapporté, quant à elles, 12 morts et 57 blessés dans les zones frontalières du Jammu-et-Cachemire, y compris le long de la ligne de contrôle.
Le district de Poonch a été le plus durement touché, concentrant l'ensemble des victimes civiles. Parmi les blessés, 42 ont été recensés dans cette région, dont plusieurs se trouvent dans un état critique, selon le quotidien Times of India, qui cite des responsables.
Ces frappes constituent l'un des épisodes les plus violents en deux décennies entre les deux puissances nucléaires d'Asie du Sud.