"Nous sommes déterminés à trouver un juste équilibre entre la promotion de l’innovation et la nécessité de mettre en place des garde-fous appropriés", ont indiqué ces ministres dans une déclaration commune publiée à l'issue de la seconde journée d'une réunion à Trente, dans le nord de l'Italie, consacrée à l'IA.
Ils ont, en outre, reconnu que "des instruments politiques visant à réaliser la vision et l’objectif communs d’un IA sûre, sécurisée et digne de confiance, peuvent varier entre les membres du G7".
Les ministres ont, par ailleurs, salué les "efforts déployés par les membres du G7 et les ont encouragé à faire progresser et à renforcer l’interopérabilité entre les cadres de gouvernance de l’IA".
Une législation inédite d’encadrement des systèmes de l’intelligence artificielle a été approuvée mercredi par le Parlement européen, contraignant les systèmes d’IA à informer l’utilisateur qu’il est en contact avec une machine et identifiant clairement les "deep fakes".
Cette loi prévoit notamment la création d’un office européen de l’IA qui pourrait infliger des amendes allant de 7,5 à 35 millions d’euros aux éventuels contrevenants.
Ils ont, en outre, reconnu que "des instruments politiques visant à réaliser la vision et l’objectif communs d’un IA sûre, sécurisée et digne de confiance, peuvent varier entre les membres du G7".
Les ministres ont, par ailleurs, salué les "efforts déployés par les membres du G7 et les ont encouragé à faire progresser et à renforcer l’interopérabilité entre les cadres de gouvernance de l’IA".
Une législation inédite d’encadrement des systèmes de l’intelligence artificielle a été approuvée mercredi par le Parlement européen, contraignant les systèmes d’IA à informer l’utilisateur qu’il est en contact avec une machine et identifiant clairement les "deep fakes".
Cette loi prévoit notamment la création d’un office européen de l’IA qui pourrait infliger des amendes allant de 7,5 à 35 millions d’euros aux éventuels contrevenants.