Dans une déclaration commune, Washington, Londres et huit de leurs alliés parmi lesquels l'Australie, le Canada et Bahreïn ont souligné que l'opération, menée dans un contexte de forte tension régionale, visait à la "désescalade" et à "restaurer la stabilité en mer Rouge".
Les frappes, "73 raids", ont visé des sites militaires dans la capitale Sanaa, et les gouvernorats de Hodeidah, Taïz, Hajjah et Saada, a indiqué le porte-parole militaire des Houthis.
Cinq personnes ont été tuées et six blessées parmi les rebelles, a-t-il ajouté, soulignant que cette "agression (...) ne restera(it) pas sans réponse".
L'opération a été menée "avec succès" en réponse "directe aux attaques sans précédent des Houthis de navires internationaux en mer Rouge", a affirmé le président américain, Joe Biden, évoquant une action "défensive" pour protéger notamment le commerce international.
L'Otan a aussi appelé les Houthis à cesser leurs attaques après ces frappes "défensives".
Le Kremlin a lui condamné des frappes "illégitimes du point de vue du droit international".
La Chine a quant à elle exhorté "les parties concernées à (...) faire preuve de retenue, afin d'éviter une expansion du conflit".
Déclenchées par la guerre entre Israël et le Hamas, les attaques des Houthis avec des missiles et des drones ont poussé de nombreux armateurs à éviter le couloir stratégique de la mer Rouge, au prix d'une hausse des coûts et des temps de transport entre l'Europe et l'Asie.
Les Etats-Unis avaient déployé des navires de guerre et mis en place en décembre une coalition internationale pour protéger le trafic maritime dans cette zone par où transite 12% du commerce mondial.
Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, en tournée cette semaine au Moyen-Orient, a lancé un avertissement aux Houthis, le Conseil de sécurité de l'ONU exigeant lui l'arrêt "immédiat" de leurs attaques.
La riposte américano-britannique est venue après le tir Houthi jeudi d'un nouveau missile antinavire.
"Ces frappes ciblées sont un message clair (indiquant) que les Etats-Unis et nos partenaires ne toléreront pas les attaques sur nos troupes (et) ne permettront pas à des acteurs hostiles de mettre en danger la liberté de navigation", a mis en garde le président américain.
L'Arabie saoudite voisine du Yémen a elle appelé "à éviter l'escalade".
Les frappes, "73 raids", ont visé des sites militaires dans la capitale Sanaa, et les gouvernorats de Hodeidah, Taïz, Hajjah et Saada, a indiqué le porte-parole militaire des Houthis.
Cinq personnes ont été tuées et six blessées parmi les rebelles, a-t-il ajouté, soulignant que cette "agression (...) ne restera(it) pas sans réponse".
L'opération a été menée "avec succès" en réponse "directe aux attaques sans précédent des Houthis de navires internationaux en mer Rouge", a affirmé le président américain, Joe Biden, évoquant une action "défensive" pour protéger notamment le commerce international.
L'Otan a aussi appelé les Houthis à cesser leurs attaques après ces frappes "défensives".
Le Kremlin a lui condamné des frappes "illégitimes du point de vue du droit international".
La Chine a quant à elle exhorté "les parties concernées à (...) faire preuve de retenue, afin d'éviter une expansion du conflit".
Déclenchées par la guerre entre Israël et le Hamas, les attaques des Houthis avec des missiles et des drones ont poussé de nombreux armateurs à éviter le couloir stratégique de la mer Rouge, au prix d'une hausse des coûts et des temps de transport entre l'Europe et l'Asie.
Les Etats-Unis avaient déployé des navires de guerre et mis en place en décembre une coalition internationale pour protéger le trafic maritime dans cette zone par où transite 12% du commerce mondial.
Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, en tournée cette semaine au Moyen-Orient, a lancé un avertissement aux Houthis, le Conseil de sécurité de l'ONU exigeant lui l'arrêt "immédiat" de leurs attaques.
La riposte américano-britannique est venue après le tir Houthi jeudi d'un nouveau missile antinavire.
"Ces frappes ciblées sont un message clair (indiquant) que les Etats-Unis et nos partenaires ne toléreront pas les attaques sur nos troupes (et) ne permettront pas à des acteurs hostiles de mettre en danger la liberté de navigation", a mis en garde le président américain.
L'Arabie saoudite voisine du Yémen a elle appelé "à éviter l'escalade".