Les violences, qui ont éclaté lundi à la suite de la décision du gouvernement de bloquer l'accès aux réseaux sociaux, ont fait au moins 17 morts parmi les manifestants dans la capitale Katmandou et deux dans le district de Sunsari (est), selon les autorités.
Plus de 400 personnes ont également été blessées, dont une centaine de policiers. Face à la crise, M. Oli a présenté mardi sa démission, suivie de celle de trois ministres, dont celui de l’Intérieur, rapportent les médias locaux.
Les réseaux sociaux ont, par ailleurs, été rétablis mardi matin. "Nous sommes prêts à discuter avec les manifestants", a déclaré le ministre de la Communication, Prithvi Subba Gurung.
Mercredi, des patrouilles mixtes de militaires et de policiers, appuyées par des véhicules blindés, sillonnaient les quartiers de la capitale placés sous couvre-feu. Seuls les véhicules d’urgence étaient autorisés à circuler. Les forces de sécurité ont également commencé à dégager les rues des débris laissés par les affrontements.
Dans un message vidéo, le chef d’état-major, le général Ashok Raj Sigdel, a appelé mardi la population à "revenir au calme et à engager un dialogue", tout en mettant en garde contre les risques d’instabilité.
L’aéroport international de Katmandou est resté fermé et ne devrait pas rouvrir avant 18h00 locales (12h15 GMT), a indiqué son directeur, Hansa Raj Pandey, cité par les médias.
Plus de 400 personnes ont également été blessées, dont une centaine de policiers. Face à la crise, M. Oli a présenté mardi sa démission, suivie de celle de trois ministres, dont celui de l’Intérieur, rapportent les médias locaux.
Les réseaux sociaux ont, par ailleurs, été rétablis mardi matin. "Nous sommes prêts à discuter avec les manifestants", a déclaré le ministre de la Communication, Prithvi Subba Gurung.
Mercredi, des patrouilles mixtes de militaires et de policiers, appuyées par des véhicules blindés, sillonnaient les quartiers de la capitale placés sous couvre-feu. Seuls les véhicules d’urgence étaient autorisés à circuler. Les forces de sécurité ont également commencé à dégager les rues des débris laissés par les affrontements.
Dans un message vidéo, le chef d’état-major, le général Ashok Raj Sigdel, a appelé mardi la population à "revenir au calme et à engager un dialogue", tout en mettant en garde contre les risques d’instabilité.
L’aéroport international de Katmandou est resté fermé et ne devrait pas rouvrir avant 18h00 locales (12h15 GMT), a indiqué son directeur, Hansa Raj Pandey, cité par les médias.
