L'épicentre du tremblement de terre, qui a secoué la province de Sepik oriental, est situé à quelque 756 kilomètres au nord-ouest de la capitale Port Moresby.
Cinq morts ont été recensés mais le bilan pourrait s'avérer plus élevé, a indiqué le commandant de police de la province du Sepik oriental, Christopher Tamari. Les premières estimations font état d'environ 1.000 maisons détruites par le séisme, selon le gouverneur de la province, Allan Bird. Des dizaines de villages sur les rives de la rivière Sepik étaient déjà en proie à des inondations majeures quand le tremblement de terre a frappé.
Les secousses sismiques sont une occurrence courante en Papouasie-Nouvelle-Guinée, située au cœur de la "ceinture de feu", une région caractérisée par une activité tectonique intense, s'étendant à travers l'Asie du Sud-Est et le bassin du Pacifique.
Au moins sept personnes ont trouvé la mort en avril dernier, lorsqu'un séisme de magnitude 7 a frappé une zone couverte de jungle à l'intérieur du pays océanien.
Cinq morts ont été recensés mais le bilan pourrait s'avérer plus élevé, a indiqué le commandant de police de la province du Sepik oriental, Christopher Tamari. Les premières estimations font état d'environ 1.000 maisons détruites par le séisme, selon le gouverneur de la province, Allan Bird. Des dizaines de villages sur les rives de la rivière Sepik étaient déjà en proie à des inondations majeures quand le tremblement de terre a frappé.
Les secousses sismiques sont une occurrence courante en Papouasie-Nouvelle-Guinée, située au cœur de la "ceinture de feu", une région caractérisée par une activité tectonique intense, s'étendant à travers l'Asie du Sud-Est et le bassin du Pacifique.
Au moins sept personnes ont trouvé la mort en avril dernier, lorsqu'un séisme de magnitude 7 a frappé une zone couverte de jungle à l'intérieur du pays océanien.