"À la suite de la décision du partenaire CNRI de se retirer du bloc 11B/12B, TotalEnergies annonce également son retrait de ce bloc situé au large de la côte sud de l'Afrique du Sud", a indiqué lundi l'entreprise dans un communiqué.
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Depuis son entrée dans le bloc en 2013, deux découvertes importantes de gaz y ont été faites: une à Brulpadda et une à Luiperd, toutes deux situées dans le bassin de l'Outeniqua, à 175 kilomètres au large des côtes sud-africaines.
Toutefois, ces deux découvertes n'ont "pas pu être converties en développement commercial compte tenu des difficultés rencontrées pour développer et valoriser ces découvertes de gaz sur le marché sud-africain", regrette TotalEnergies.
Le projet d'exploiter du champs gazier de Brulpadda avait déclenché en octobre 2022 l'ire d'ONG environnementales. L'association Bloom et l'ONG sud-africaine The Green Connection avaient notamment dénoncé des "opérations de forage en eaux profondes sud-africaines" susceptibles de menacer les "petits pêcheurs et une biodiversité spectaculaire".
CNR International (20%) avait déjà annoncé début juillet se retirer du champ 11B/12B. Outre TotalEnergies, Qatar Petroleum (25%) a aussi annoncé lundi son retrait, selon un communiqué d'Africa Energy Corp, pétrolière canadienne détenant une partie de Main Street 1549.
En vertu de l'accord qui liait les quatre partenaires, "les parties qui se retirent cèdent gratuitement leur participation à chacun des partenaires qui ne se retirent pas", précise Africa Energy corp, qui elle n'a "pas l'intention de se retirer" et devrait donc à terme "détenir une participation de 100% dans le bloc 11B/12B".
Par ailleurs, "TotalEnergies a également décidé de se retirer du bloc d'exploration offshore 5/6/7, dans lequel TotalEnergies EP South Africa détient une participation de 40%", a ajouté lundi la société.
Outre ces deux blocs, TotalEnergies opère en Afrique du Sud quatre autres permis d'exploration en offshore profond, dont un acquis "depuis peu" dans le bloc 3B/4B.
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Depuis son entrée dans le bloc en 2013, deux découvertes importantes de gaz y ont été faites: une à Brulpadda et une à Luiperd, toutes deux situées dans le bassin de l'Outeniqua, à 175 kilomètres au large des côtes sud-africaines.
Toutefois, ces deux découvertes n'ont "pas pu être converties en développement commercial compte tenu des difficultés rencontrées pour développer et valoriser ces découvertes de gaz sur le marché sud-africain", regrette TotalEnergies.
Le projet d'exploiter du champs gazier de Brulpadda avait déclenché en octobre 2022 l'ire d'ONG environnementales. L'association Bloom et l'ONG sud-africaine The Green Connection avaient notamment dénoncé des "opérations de forage en eaux profondes sud-africaines" susceptibles de menacer les "petits pêcheurs et une biodiversité spectaculaire".
CNR International (20%) avait déjà annoncé début juillet se retirer du champ 11B/12B. Outre TotalEnergies, Qatar Petroleum (25%) a aussi annoncé lundi son retrait, selon un communiqué d'Africa Energy Corp, pétrolière canadienne détenant une partie de Main Street 1549.
En vertu de l'accord qui liait les quatre partenaires, "les parties qui se retirent cèdent gratuitement leur participation à chacun des partenaires qui ne se retirent pas", précise Africa Energy corp, qui elle n'a "pas l'intention de se retirer" et devrait donc à terme "détenir une participation de 100% dans le bloc 11B/12B".
Par ailleurs, "TotalEnergies a également décidé de se retirer du bloc d'exploration offshore 5/6/7, dans lequel TotalEnergies EP South Africa détient une participation de 40%", a ajouté lundi la société.
Outre ces deux blocs, TotalEnergies opère en Afrique du Sud quatre autres permis d'exploration en offshore profond, dont un acquis "depuis peu" dans le bloc 3B/4B.