"Rien n’a été laissé au hasard par le comité d’organisation français. L’après-Jeux a été pensé très en amont, avec une ligne directrice claire : faire en sorte que les Jeux de Paris 2024 soient les plus circulaires de l’histoire olympique", écrit le quotidien qui rappelle les objectifs "ambitieux" affichés : 100 % de seconde vie pour les infrastructures temporaires, le mobilier et les équipements, 90 % de la signalétique et du look réemployés, réutilisés et recyclés.
Sous le titre "La seconde vie des 6 millions d’équipements des Jeux", la publication souligne que la parenthèse enchantée de la compétition étant officiellement close, "se pose désormais la question de l’après-Jeux pour 6 millions d’équipements utilisés : mobilier, panneaux de signalisation, drapeaux... vont devoir trouver une nouvelle raison d’être".
Pour tenir ses objectifs, le comité d’organisation a développé une "stratégie responsable des achats" avec l’intégration de la question de la seconde vie dès la signature des contrats avec les fournisseurs.
"La ville de Paris et le comité d’organisation ont imposé des cahiers des charges très exigeants en termes de circularité", a assuré une porte-parole d’Emmaüs Défi, citée par le journal.
Selon l’association du mouvement Emmaüs qui revend à prix modique des équipements issus d’invendus ou de dons, ce sont au total 12.000 meubles, 4.700 matelas, 800 oreillers et 400 tonnes d’équipements qui vont être récupérés après les JO sur le site du Village olympique, estimant que "cela va bénéficier à 2.500 à 4.000 ménages qui vont pouvoir acheter à bas prix".
Au Village olympique, les chambres ont été équipées de cloisons démontables, afin d’aménager les locaux en logements et bureaux après le départ des athlètes.
Le premier levier utilisé pour optimiser les équipements a été de faire appel à la location, cent pour cent des tribunes, tentes et des bungalows ayant été loués auprès d’entreprises spécialistes, de même que 75 % des équipements électroniques (télévisions, ordinateurs, imprimantes...).
Par ailleurs, des achats mutualisés d’équipements divers ont été mis en place avec les collectivités locales et fédérations sportives, qui en auront ainsi l’usage à l’issue des Jeux.
Les JO de Paris 2024 ont notamment été marqués par la mobilisation d’entreprises françaises de l’économie sociale et solidaire (ESS), pionnières dans l’économie circulaire, note Le Figaro qui cite le recours aux services d’entreprises spécialisées dans le réemploi des aménagements éphémères d’événements sportifs pour récupérer la signalétique (bâches, drapeaux, tissus), les moquettes ou le mobilier, dans la perspective de les redistribuer gratuitement à des associations et à des entreprises qui portent un projet engagé, ou encore pour réduire l’impact écologique à travers le marché de seconde main.
A cet égard, la publication souligne que de nombreux objets utilisés lors de l’événement seront mis en vente à l’occasion de braderies un peu partout en France. Elles se tiendront les week-ends, du 14 septembre au 13 octobre, au sein des collectivités locales qui se sont engagées à participer à la démarche.
Sous le titre "La seconde vie des 6 millions d’équipements des Jeux", la publication souligne que la parenthèse enchantée de la compétition étant officiellement close, "se pose désormais la question de l’après-Jeux pour 6 millions d’équipements utilisés : mobilier, panneaux de signalisation, drapeaux... vont devoir trouver une nouvelle raison d’être".
Pour tenir ses objectifs, le comité d’organisation a développé une "stratégie responsable des achats" avec l’intégration de la question de la seconde vie dès la signature des contrats avec les fournisseurs.
"La ville de Paris et le comité d’organisation ont imposé des cahiers des charges très exigeants en termes de circularité", a assuré une porte-parole d’Emmaüs Défi, citée par le journal.
Selon l’association du mouvement Emmaüs qui revend à prix modique des équipements issus d’invendus ou de dons, ce sont au total 12.000 meubles, 4.700 matelas, 800 oreillers et 400 tonnes d’équipements qui vont être récupérés après les JO sur le site du Village olympique, estimant que "cela va bénéficier à 2.500 à 4.000 ménages qui vont pouvoir acheter à bas prix".
Au Village olympique, les chambres ont été équipées de cloisons démontables, afin d’aménager les locaux en logements et bureaux après le départ des athlètes.
Le premier levier utilisé pour optimiser les équipements a été de faire appel à la location, cent pour cent des tribunes, tentes et des bungalows ayant été loués auprès d’entreprises spécialistes, de même que 75 % des équipements électroniques (télévisions, ordinateurs, imprimantes...).
Par ailleurs, des achats mutualisés d’équipements divers ont été mis en place avec les collectivités locales et fédérations sportives, qui en auront ainsi l’usage à l’issue des Jeux.
Les JO de Paris 2024 ont notamment été marqués par la mobilisation d’entreprises françaises de l’économie sociale et solidaire (ESS), pionnières dans l’économie circulaire, note Le Figaro qui cite le recours aux services d’entreprises spécialisées dans le réemploi des aménagements éphémères d’événements sportifs pour récupérer la signalétique (bâches, drapeaux, tissus), les moquettes ou le mobilier, dans la perspective de les redistribuer gratuitement à des associations et à des entreprises qui portent un projet engagé, ou encore pour réduire l’impact écologique à travers le marché de seconde main.
A cet égard, la publication souligne que de nombreux objets utilisés lors de l’événement seront mis en vente à l’occasion de braderies un peu partout en France. Elles se tiendront les week-ends, du 14 septembre au 13 octobre, au sein des collectivités locales qui se sont engagées à participer à la démarche.