La ministre déléguée auprès du Chef du gouvernement chargée de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration a présenté trois textes relatifs à l’octroi des autorisations d’établissement et d’exploitation de réseaux publics de communications 5G. Ils concernent :
Ces licences autorisent les opérateurs à établir et exploiter des réseaux publics de télécommunications utilisant les technologies mobiles de cinquième génération (5G), marquant ainsi une étape réglementaire décisive vers la mise en service commerciale de la 5G au Maroc.
Le lancement commercial est attendu à partir de novembre 2025, avec une première phase couvrant les grandes métropoles et leurs aéroports, avant une montée en charge progressive. L’objectif est d’atteindre 25 % de la population d’ici fin 2026, puis 70% à l’horizon 2030.
Cette décision marque ainsi un tournant stratégique pour le secteur des télécommunications, qui va déployer des infrastructures à très haut débit sur l’ensemble du territoire. Elle intervient alors que le royaume s'active pour accélérer sa transformation digitale et renforcer sa compétitivité à l’international. La généralisation de la 5G devrait accompagner l’essor de nouveaux usages : Internet des objets (IoT), smart cities, télémédecine, agriculture intelligente, industrie 4.0 et services cloud avancés.
Le déploiement de la 5G a également vocation à soutenir l’organisation des grands événements sportifs prévus dans le Royaume, notamment la Coupe d’Afrique des Nations 2025 et la Coupe du Monde 2030, en garantissant une connectivité optimale et des capacités de transmission renforcées.
Les trois opérateurs se préparent à investir massivement dans les infrastructures de nouvelle génération. Selon une étude sectorielle publiée récemment, près de 40 milliards de dirhams d’investissements supplémentaires pourraient être mobilisés au Maroc dans les télécoms et les services associés, incluant le déploiement d’antennes, la fibre optique, les data centers, ainsi que le développement de solutions numériques locales.
- Maroc Telecom (décret 2.25.876) ;
- Medi Telecom (décret 2.25.877) ;
- Wana Corporate (décret 2.25.878).
Ces licences autorisent les opérateurs à établir et exploiter des réseaux publics de télécommunications utilisant les technologies mobiles de cinquième génération (5G), marquant ainsi une étape réglementaire décisive vers la mise en service commerciale de la 5G au Maroc.
Le lancement commercial est attendu à partir de novembre 2025, avec une première phase couvrant les grandes métropoles et leurs aéroports, avant une montée en charge progressive. L’objectif est d’atteindre 25 % de la population d’ici fin 2026, puis 70% à l’horizon 2030.
Cette décision marque ainsi un tournant stratégique pour le secteur des télécommunications, qui va déployer des infrastructures à très haut débit sur l’ensemble du territoire. Elle intervient alors que le royaume s'active pour accélérer sa transformation digitale et renforcer sa compétitivité à l’international. La généralisation de la 5G devrait accompagner l’essor de nouveaux usages : Internet des objets (IoT), smart cities, télémédecine, agriculture intelligente, industrie 4.0 et services cloud avancés.
Le déploiement de la 5G a également vocation à soutenir l’organisation des grands événements sportifs prévus dans le Royaume, notamment la Coupe d’Afrique des Nations 2025 et la Coupe du Monde 2030, en garantissant une connectivité optimale et des capacités de transmission renforcées.
Les trois opérateurs se préparent à investir massivement dans les infrastructures de nouvelle génération. Selon une étude sectorielle publiée récemment, près de 40 milliards de dirhams d’investissements supplémentaires pourraient être mobilisés au Maroc dans les télécoms et les services associés, incluant le déploiement d’antennes, la fibre optique, les data centers, ainsi que le développement de solutions numériques locales.
