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Dans sa réponse à une question orale à la Chambre des conseillers, Nizar Baraka a souligné que l'année 2024 avait connu une intensification des opérations d'ensemencement artificiel par rapport aux années précédentes, faisant état de 21 opérations réalisées en 2021, 27 en 2022 et 22 en 2023.
Le ministre a précisé que les années à venir verraient une utilisation plus élargie de cette technique pour inclure d'autres régions, notant que les opérations d'ensemencement artificiel dans le Royaume sont réparties dans des régions spécifiques, notamment celles d'Azilal, Béni Mellal et El Hajeb, et ce en raison de la disponibilité des infrastructures et d'une flotte dédiées à cet effet.
De même, Nizar Baraka a fait savoir que l'utilisation de cette méthode nécessitait la réunion de certaines conditions, notamment l'utilisation d'équipements spécifiques, l'examen de la charge adéquate des nuages, outre le choix du timing de l'intervention, eu égard au coût élevé de ces opérations.
Le ministre a précisé que les années à venir verraient une utilisation plus élargie de cette technique pour inclure d'autres régions, notant que les opérations d'ensemencement artificiel dans le Royaume sont réparties dans des régions spécifiques, notamment celles d'Azilal, Béni Mellal et El Hajeb, et ce en raison de la disponibilité des infrastructures et d'une flotte dédiées à cet effet.
Par ailleurs, il a rappelé que le Maroc faisait partie des rares pays disposant des capacités nécessaires pour procéder à l'ensemencement artificiel et possédant une vaste expérience dans ce domaine, qui a bénéficié à de nombreux pays africains amis.
