Lors de la séance hebdomadaire des questions orales tenue à la Chambre des représentants, Mme Fettah a déclaré que 76% des dossiers médicaux des adhérents de la Caisse nationale des organismes de prévoyance sociale (CNOPS) bénéficiaient de remboursements dans un délai ne dépassant pas 60 jours, respectant ainsi les délais légaux. En 2023, le délai moyen de remboursement est estimé à 54 jours, a précisé la ministre, en réponse à une question orale, rappelant qu’il était fixé au préalable à 57 jours.
Selon la ministre, ces chiffres témoignent d’un progrès significatif en termes de gestion, de même qu’ils mettent en avant l’enjeu de la couverture médicale dans son contexte national. Et de rappeler que la rapidité du traitement des dossiers, notamment pour les maladies chroniques et coûteuses, est essentielle pour garantir un accès à des soins de qualité tout en évitant aux patients des contraintes financières insurmontables. À noter que la réduction des délais de remboursement et la simplification des procédures administratives s’avère une des mesures nécessaires pour renforcer la confiance des citoyens envers les institutions de prévoyance sociale.
En outre, les enjeux de la couverture médicale dans le pays ne se limitent pas à l’amélioration des délais de traitement. Il s’agit aussi de s’attaquer aux disparités régionales en matière d’accès aux soins, de garantir une meilleure transparence dans la gestion des fonds alloués à la santé et d’élargir la base des bénéficiaires, préconisent des observateurs en expliquant que la généralisation de l’Assurance maladie obligatoire (AMO) ainsi que les efforts pour intégrer les populations les plus vulnérables dans le système de couverture sociale représentent également des axes stratégiques qui doivent être poursuivis avec davantage de vigueur.
Les chiffres annoncés par M. Fettah Alaoui illustrent les efforts fournis par le gouvernement pour consolider un système de santé inclusif et équitable. Toutefois, il demeure indispensable de maintenir une veille rigoureuse et d’élaborer un système d’évaluation régulière permettant de mesurer l’impact des politiques publiques afin de répondre aux attentes des citoyens et de relever les défis persistants relatifs à la santé, un des piliers fondamentaux du développement humain.
Selon la ministre, ces chiffres témoignent d’un progrès significatif en termes de gestion, de même qu’ils mettent en avant l’enjeu de la couverture médicale dans son contexte national. Et de rappeler que la rapidité du traitement des dossiers, notamment pour les maladies chroniques et coûteuses, est essentielle pour garantir un accès à des soins de qualité tout en évitant aux patients des contraintes financières insurmontables. À noter que la réduction des délais de remboursement et la simplification des procédures administratives s’avère une des mesures nécessaires pour renforcer la confiance des citoyens envers les institutions de prévoyance sociale.
En outre, les enjeux de la couverture médicale dans le pays ne se limitent pas à l’amélioration des délais de traitement. Il s’agit aussi de s’attaquer aux disparités régionales en matière d’accès aux soins, de garantir une meilleure transparence dans la gestion des fonds alloués à la santé et d’élargir la base des bénéficiaires, préconisent des observateurs en expliquant que la généralisation de l’Assurance maladie obligatoire (AMO) ainsi que les efforts pour intégrer les populations les plus vulnérables dans le système de couverture sociale représentent également des axes stratégiques qui doivent être poursuivis avec davantage de vigueur.
Les chiffres annoncés par M. Fettah Alaoui illustrent les efforts fournis par le gouvernement pour consolider un système de santé inclusif et équitable. Toutefois, il demeure indispensable de maintenir une veille rigoureuse et d’élaborer un système d’évaluation régulière permettant de mesurer l’impact des politiques publiques afin de répondre aux attentes des citoyens et de relever les défis persistants relatifs à la santé, un des piliers fondamentaux du développement humain.