La capitale a vécu une journée d’exception, transformée en un immense espace de fête et de gratitude. Des milliers de supporters ont afflué vers les grandes artères, drapeaux brandis, visages rayonnants. Dans la foule, on chantait, on riait, on pleurait parfois — d’émotion, de fierté, de reconnaissance envers ces jeunes qui ont écrit l’une des plus belles pages du football marocain.
Mais au-delà de Rabat, c’est tout un pays qui célébrait. À Casablanca, Marrakech, Fès ou Laâyoune, les scènes de liesse se multipliaient : cortèges spontanés, cris de joie, feux d’artifice improvisés. Dans les cafés, sur les places publiques et jusque dans les villages, la même ferveur unissait les Marocains autour d’un sentiment simple et profond : la fierté d’être Marocain.
Au centre de cette euphorie nationale, le cortège des champions a défilé lentement dans les rues de Rabat. Depuis le toit du bus à impériale, les jeunes joueurs saluaient la foule, trophée en main, porteurs d’un rêve devenu réalité. Les cris “Siiir... Siiir !” et “Dima Maghrib !” résonnaient comme un hymne, un chant de victoire et d’unité.
Les téléphones filmaient, les drapeaux ondulaient, les regards brillaient : tout un peuple se reconnaissait dans l’énergie et la réussite de sa jeunesse.
Sous un ciel éclatant, le Maroc a célébré bien plus qu’une victoire sportive. Ce triomphe incarne la force du rêve, la valeur de l’effort collectif et la promesse d’une génération nouvelle, ambitieuse et déterminée. Ces “Lionceaux” ont prouvé que la passion et la discipline pouvaient hisser tout un pays sur la plus haute marche du podium mondial.
En ce 22 octobre, Rabat fut le théâtre de la fête, mais le Maroc entier en fut le cœur battant. Car ces champions du monde ne représentent pas seulement une équipe : ils incarnent un peuple uni, fier, et résolument tourné vers l’avenir.
Mais au-delà de Rabat, c’est tout un pays qui célébrait. À Casablanca, Marrakech, Fès ou Laâyoune, les scènes de liesse se multipliaient : cortèges spontanés, cris de joie, feux d’artifice improvisés. Dans les cafés, sur les places publiques et jusque dans les villages, la même ferveur unissait les Marocains autour d’un sentiment simple et profond : la fierté d’être Marocain.
Au centre de cette euphorie nationale, le cortège des champions a défilé lentement dans les rues de Rabat. Depuis le toit du bus à impériale, les jeunes joueurs saluaient la foule, trophée en main, porteurs d’un rêve devenu réalité. Les cris “Siiir... Siiir !” et “Dima Maghrib !” résonnaient comme un hymne, un chant de victoire et d’unité.
Les téléphones filmaient, les drapeaux ondulaient, les regards brillaient : tout un peuple se reconnaissait dans l’énergie et la réussite de sa jeunesse.
Sous un ciel éclatant, le Maroc a célébré bien plus qu’une victoire sportive. Ce triomphe incarne la force du rêve, la valeur de l’effort collectif et la promesse d’une génération nouvelle, ambitieuse et déterminée. Ces “Lionceaux” ont prouvé que la passion et la discipline pouvaient hisser tout un pays sur la plus haute marche du podium mondial.
En ce 22 octobre, Rabat fut le théâtre de la fête, mais le Maroc entier en fut le cœur battant. Car ces champions du monde ne représentent pas seulement une équipe : ils incarnent un peuple uni, fier, et résolument tourné vers l’avenir.
