Dans le cadre des efforts du gouvernement visant la mise en oeuvre progressive du Chantier Royal relatif au système d’aide sociale directe, la première augmentation des montants du soutien entrera en vigueur à compter de fin novembre courant, sans modification du prix du gaz butane, a annoncé mardi à la Chambre des Conseillers, le chef du gouvernement, lors de la séance mensuelle des questions orales sur les politiques publiques, consacrée au "Développement territorial et les enjeux de la réalisation de la justice spatiale”.
Selon Aziz Akhannouch, cette révision des montants vise à renforcer l’impact du programme sur le niveau de vie des ménages les plus vulnérables. Désormais :
Le chef du gouvernement a précisé que le montant minimal de l’aide par famille ne sera jamais inférieur à 500 DH, qu’elle ait un enfant unique, aucun enfant ou une composition plus large. Il a également souligné l’engagement de l’exécutif à étendre le dispositif aux enfants orphelins ou abandonnés hébergés dans des établissements de protection sociale.
Objectif : leur permettre de bénéficier des mécanismes de l’État social et renforcer leurs opportunités d’insertion une fois devenus majeurs. Cette mesure s’inscrit dans la volonté affirmée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI de consolider la solidarité institutionnelle et de garantir l'égalité des chances dès le plus jeune âge.
M. Akhannouch a rappelé que le choix du modèle social marocain n’est pas conjoncturel : il s’agit d’un cheminement structuré, porté par une Vision Royale claire depuis un quart de siècle. Cette vision a trouvé son aboutissement dans le Chantier royal de généralisation de la protection sociale, considéré comme l’une des réformes sociales les plus ambitieuses du Royaume. Elle vise à préserver la dignité des citoyens, réduire les inégalités et consolider les fondements de la justice sociale.
La revalorisation annoncée marque une nouvelle étape dans ce vaste projet national. Elle confirme la volonté du gouvernement de renforcer le pouvoir d’achat, d’élargir les filets de sécurité sociale et de faire du système d’aide directe un levier majeur de cohésion nationale.
Selon Aziz Akhannouch, cette révision des montants vise à renforcer l’impact du programme sur le niveau de vie des ménages les plus vulnérables. Désormais :
- 250 DH seront versés pour chacun des trois premiers enfants scolarisés ou âgés de moins de six ans,
- 175 DH pour chaque enfant non scolarisé.
Le chef du gouvernement a précisé que le montant minimal de l’aide par famille ne sera jamais inférieur à 500 DH, qu’elle ait un enfant unique, aucun enfant ou une composition plus large. Il a également souligné l’engagement de l’exécutif à étendre le dispositif aux enfants orphelins ou abandonnés hébergés dans des établissements de protection sociale.
Objectif : leur permettre de bénéficier des mécanismes de l’État social et renforcer leurs opportunités d’insertion une fois devenus majeurs. Cette mesure s’inscrit dans la volonté affirmée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI de consolider la solidarité institutionnelle et de garantir l'égalité des chances dès le plus jeune âge.
M. Akhannouch a rappelé que le choix du modèle social marocain n’est pas conjoncturel : il s’agit d’un cheminement structuré, porté par une Vision Royale claire depuis un quart de siècle. Cette vision a trouvé son aboutissement dans le Chantier royal de généralisation de la protection sociale, considéré comme l’une des réformes sociales les plus ambitieuses du Royaume. Elle vise à préserver la dignité des citoyens, réduire les inégalités et consolider les fondements de la justice sociale.
Près de 12 millions de bénéficiaires déjà couverts
Grâce à une mobilisation rapide des institutions et des acteurs publics, le programme national d’aide sociale couvre déjà plus de 4 millions de familles, 12 millions de bénéficiaires, dont plus de 5 millions d’enfants protégés contre les risques liés à l’enfance, ainsi qu’environ 1,5 million de personnes âgées de plus de 60 ans. Ces chiffres témoignent de la montée en puissance accélérée du dispositif et de l’importance accordée à la protection des catégories les plus fragiles.La revalorisation annoncée marque une nouvelle étape dans ce vaste projet national. Elle confirme la volonté du gouvernement de renforcer le pouvoir d’achat, d’élargir les filets de sécurité sociale et de faire du système d’aide directe un levier majeur de cohésion nationale.
