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Dans ce cadre, un système de vidéosurveillance intelligente a été déployé dans plusieurs grandes villes du Royaume, dont Casablanca, Rabat, Marrakech, Fès, Tanger et Agadir, ainsi que dans des villes à vocation régionale telles que Béni Mellal, Oujda, Tétouan, Meknès, Errachidia, Ouarzazate et Guelmim. Ce dispositif vise à améliorer la prévention des incidents, la gestion en temps réel des flux et la rapidité des interventions policières, en particulier lors des rassemblements de grande ampleur.
Ce maillage technologique a été complété par la généralisation de 6.000 caméras mobiles, équipées de plateformes de gestion et d’enregistrement. Ces équipements couvrent 75 sites prioritaires, notamment les principaux axes reliant les villes hôtes de la CAN, tels que Rabat–Casablanca, Marrakech–Agadir et Fès–Tanger, identifiés comme zones sensibles en matière de mobilité et de sécurité.
Dans la continuité de ce dispositif, l’ensemble des stades accueillant des compétitions continentales a été doté d’un commissariat de police intégré, ainsi que d’une salle de commandement et de coordination. Ces structures permettent d’assurer une gestion centralisée des interventions sécuritaires à l’intérieur des enceintes sportives et de garantir l’application immédiate de la loi en cas d’infraction.
Parallèlement, la DGSN a poursuivi le renforcement de ses capacités opérationnelles sur le terrain. L’année 2025 a ainsi vu la création de deux brigades anti-gangs supplémentaires à Marrakech et à Fès, le renforcement des unités cynotechniques et équestres, ainsi que le déploiement de 16 équipes de surveillance par drones dans les villes désignées pour accueillir les matchs de la CAN.
Cette modernisation s’est accompagnée d’un effort logistique significatif. La DGSN a procédé au renouvellement de sa flotte à travers la distribution de 1.025 véhicules et motos hautement équipés, destinés à répondre aux besoins opérationnels croissants des services de sécurité. Dans une démarche de valorisation du pluralisme linguistique, la langue amazighe a également été intégrée à l’identité visuelle d’une première tranche de 5.000 véhicules, une initiative appelée à être progressivement généralisée.
Les moyens d’intervention ont, eux aussi, été renforcés par la dotation des directions régionales de la sûreté nationale et de la Brigade nationale de la police judiciaire de 790 pistolets à impulsion électrique de type TASER-7. Ces équipements s’inscrivent dans la politique de recours aux armes alternatives, visant à neutraliser les situations de danger tout en garantissant la sécurité des personnes interpellées et des agents.
En parallèle de ces dispositifs technologiques et opérationnels, la DGSN a engagé plusieurs actions de coopération institutionnelle. En prévision de la CAN 2025, un Centre de coopération policière africaine 2026 a ainsi été créé, à l’issue d’un atelier régional organisé à Marrakech en partenariat avec Interpol, dans le cadre du projet « Stadia ». Cette initiative, menée avec plusieurs départements ministériels et la Fédération royale marocaine de football, vise à capitaliser sur les meilleures pratiques en matière de sécurisation des événements sportifs internationaux, en perspective également de la Coupe du monde 2030.
Enfin, dans le prolongement de cette dynamique, la DGSN a conclu une convention de coopération avec l’Agence marocaine antidopage (AMAD), destinée à renforcer les enquêtes et investigations liées à la lutte contre le dopage, en coordination avec les différentes autorités concernées.
Ce maillage technologique a été complété par la généralisation de 6.000 caméras mobiles, équipées de plateformes de gestion et d’enregistrement. Ces équipements couvrent 75 sites prioritaires, notamment les principaux axes reliant les villes hôtes de la CAN, tels que Rabat–Casablanca, Marrakech–Agadir et Fès–Tanger, identifiés comme zones sensibles en matière de mobilité et de sécurité.
Dans la continuité de ce dispositif, l’ensemble des stades accueillant des compétitions continentales a été doté d’un commissariat de police intégré, ainsi que d’une salle de commandement et de coordination. Ces structures permettent d’assurer une gestion centralisée des interventions sécuritaires à l’intérieur des enceintes sportives et de garantir l’application immédiate de la loi en cas d’infraction.
Parallèlement, la DGSN a poursuivi le renforcement de ses capacités opérationnelles sur le terrain. L’année 2025 a ainsi vu la création de deux brigades anti-gangs supplémentaires à Marrakech et à Fès, le renforcement des unités cynotechniques et équestres, ainsi que le déploiement de 16 équipes de surveillance par drones dans les villes désignées pour accueillir les matchs de la CAN.
Cette modernisation s’est accompagnée d’un effort logistique significatif. La DGSN a procédé au renouvellement de sa flotte à travers la distribution de 1.025 véhicules et motos hautement équipés, destinés à répondre aux besoins opérationnels croissants des services de sécurité. Dans une démarche de valorisation du pluralisme linguistique, la langue amazighe a également été intégrée à l’identité visuelle d’une première tranche de 5.000 véhicules, une initiative appelée à être progressivement généralisée.
Les moyens d’intervention ont, eux aussi, été renforcés par la dotation des directions régionales de la sûreté nationale et de la Brigade nationale de la police judiciaire de 790 pistolets à impulsion électrique de type TASER-7. Ces équipements s’inscrivent dans la politique de recours aux armes alternatives, visant à neutraliser les situations de danger tout en garantissant la sécurité des personnes interpellées et des agents.
En parallèle de ces dispositifs technologiques et opérationnels, la DGSN a engagé plusieurs actions de coopération institutionnelle. En prévision de la CAN 2025, un Centre de coopération policière africaine 2026 a ainsi été créé, à l’issue d’un atelier régional organisé à Marrakech en partenariat avec Interpol, dans le cadre du projet « Stadia ». Cette initiative, menée avec plusieurs départements ministériels et la Fédération royale marocaine de football, vise à capitaliser sur les meilleures pratiques en matière de sécurisation des événements sportifs internationaux, en perspective également de la Coupe du monde 2030.
Enfin, dans le prolongement de cette dynamique, la DGSN a conclu une convention de coopération avec l’Agence marocaine antidopage (AMAD), destinée à renforcer les enquêtes et investigations liées à la lutte contre le dopage, en coordination avec les différentes autorités concernées.
