Une importante Rencontre économique Maroc-France a eu lieu à Dakhla jeudi 9 octobre, et qui s'inscrit dans la continuité de la visite d'État du Président Emmanuel Macron au Maroc, à l'invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Rappelons-le, lors de cette visite, le Chef d'État français avait déclaré que «le présent et l'avenir du Sahara s'inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine», ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour les investisseurs français et européens.
L'événement de Dakhla intervient également quelques jours après un événement majeur pour l'économie marocaine : la signature, samedi dernier à Dakhla, de l'échange de lettres amendant l'accord agricole entre le Maroc et l'Union européenne. Dans un communiqué publié à cette occasion, la CGEM a salué la conclusion de ce «nouvel accord entre le Royaume du Maroc et l'Union européenne» qui «vient renforcer la coopération économique entre le Maroc et l'UE» et «garantira la poursuite de la dynamique des exportations des entreprises marocaines vers le continent européen».
En effet, paru dans l'édition du 3 octobre 2025 du Journal officiel de l'Union européenne, ce nouvel accord agricole entre le Maroc et l'UE vise à dissiper les zones d'ombre qui pesaient depuis plusieurs années sur les échanges commerciaux de produits issus de ces régions. Formalisé à Bruxelles par «un échange de lettres», cet instrument juridique amende les protocoles n°1 et n°4 de l'accord d'association signé en 1996. Il élargit désormais les avantages tarifaires européens à l'ensemble des produits soumis au régime douanier marocain, sans distinction géographique d'origine sur le territoire du Royaume.
Le patronat s'est félicité de cette «avancée diplomatique majeure, menée sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI» qui «consacre une nouvelle fois le rôle stratégique des provinces du Sud» et «consolide le positionnement de ces régions comme une destination d'investissement européenne et internationale de premier plan». Fruit d'un «travail méticuleux», cet accord «crée également un cadre propice à l'investissement, à la création de valeur ajoutée et d'emplois durables» et «constitue un accélérateur du développement économique des provinces du Sud, riches en potentiel dans de nombreux secteurs», a souligné la CGEM.
L'événement de Dakhla intervient également quelques jours après un événement majeur pour l'économie marocaine : la signature, samedi dernier à Dakhla, de l'échange de lettres amendant l'accord agricole entre le Maroc et l'Union européenne. Dans un communiqué publié à cette occasion, la CGEM a salué la conclusion de ce «nouvel accord entre le Royaume du Maroc et l'Union européenne» qui «vient renforcer la coopération économique entre le Maroc et l'UE» et «garantira la poursuite de la dynamique des exportations des entreprises marocaines vers le continent européen».
En effet, paru dans l'édition du 3 octobre 2025 du Journal officiel de l'Union européenne, ce nouvel accord agricole entre le Maroc et l'UE vise à dissiper les zones d'ombre qui pesaient depuis plusieurs années sur les échanges commerciaux de produits issus de ces régions. Formalisé à Bruxelles par «un échange de lettres», cet instrument juridique amende les protocoles n°1 et n°4 de l'accord d'association signé en 1996. Il élargit désormais les avantages tarifaires européens à l'ensemble des produits soumis au régime douanier marocain, sans distinction géographique d'origine sur le territoire du Royaume.
Le patronat s'est félicité de cette «avancée diplomatique majeure, menée sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI» qui «consacre une nouvelle fois le rôle stratégique des provinces du Sud» et «consolide le positionnement de ces régions comme une destination d'investissement européenne et internationale de premier plan». Fruit d'un «travail méticuleux», cet accord «crée également un cadre propice à l'investissement, à la création de valeur ajoutée et d'emplois durables» et «constitue un accélérateur du développement économique des provinces du Sud, riches en potentiel dans de nombreux secteurs», a souligné la CGEM.
L'Initiative Atlantique Africaine : une vision géostratégique d'envergure continentale
Mohamed Methqal, ambassadeur et directeur général de l'Agence marocaine de la coopération internationale, a présenté lors de cet événement économique de Dakhla les contours ambitieux de l'Initiative Atlantique Africaine. «L'Afrique Atlantique en quelques chiffres, c'est 23 pays africains, c'est 46% de la population africaine, 55% du PIB africain et 57% du commerce continental», a-t-il détaillé, illustrant ainsi «tout le potentiel de développement autour de cette façade africaine atlantique».
Face aux «défis communs à l'ensemble de ces pays, que ce soit au niveau sécuritaire, en terme de changement climatique, mais aussi des défis démographiques avec une jeunesse très importante», l'ambassadeur a expliqué que «la vision de S.M. le Roi était que cet espace, de par le potentiel qu'il représente et cette forte jeunesse présente en terme de potentiel et de dynamisme, puisse permettre d'accélérer l'intégration économique, faire rouler cet espace et permettre une prospérité partagée à l'ensemble des populations de cet Atlantique africain».
Un élément crucial de cette vision concerne l'intégration des pays du Sahel. «La solidarité de Sa Majesté était aussi d'en faire bénéficier les pays du Sahel. Et donc autour de cet accès au Sahel, bien sûr les provinces du Sud peuvent être un acteur géographique et économique essentiel dans l'accélération de cette émergence de cette zone Afrique-Atlantique», a souligné Mohamed Methqal. Il a rappelé que «cet espace a connu un développement impressionnant en termes d'infrastructures mais aussi en termes de projets économiques, de projets de développement où la jeunesse est fortement intégrée». Significatif à cet égard : «Dakhla c'est l'une des régions du Royaume qui a le plus haut taux sur l'indice de développement humain».
Face aux «défis communs à l'ensemble de ces pays, que ce soit au niveau sécuritaire, en terme de changement climatique, mais aussi des défis démographiques avec une jeunesse très importante», l'ambassadeur a expliqué que «la vision de S.M. le Roi était que cet espace, de par le potentiel qu'il représente et cette forte jeunesse présente en terme de potentiel et de dynamisme, puisse permettre d'accélérer l'intégration économique, faire rouler cet espace et permettre une prospérité partagée à l'ensemble des populations de cet Atlantique africain».
Un élément crucial de cette vision concerne l'intégration des pays du Sahel. «La solidarité de Sa Majesté était aussi d'en faire bénéficier les pays du Sahel. Et donc autour de cet accès au Sahel, bien sûr les provinces du Sud peuvent être un acteur géographique et économique essentiel dans l'accélération de cette émergence de cette zone Afrique-Atlantique», a souligné Mohamed Methqal. Il a rappelé que «cet espace a connu un développement impressionnant en termes d'infrastructures mais aussi en termes de projets économiques, de projets de développement où la jeunesse est fortement intégrée». Significatif à cet égard : «Dakhla c'est l'une des régions du Royaume qui a le plus haut taux sur l'indice de développement humain».
Trois projets structurants au service de l'intégration régionale
Mohamed Methqal a identifié trois projets structurants qui «peuvent contribuer à cette accélération» de l'Initiative Atlantique :
1. Le gazoduc Atlantique Maroc-Nigeria : «Ces sont 13 pays qui vont bénéficier de ce gazoduc-là, et donc cela veut dire un accès à une énergie compétitive, mais aussi le développement d'écosystèmes industriels avec accès à l'énergie et, enfin, bien sûr un accès à l'électricité de toutes les populations de ce massif.»
2. Le Port de Dakhla Atlantique : l'ambassadeur a établi un parallèle historique éclairant : «C'est un projet qui, à l'image de la transformation qu'a réussi à opérer Tanger Med, peut apporter cette même transformation au niveau de cet espace Afrique-Atlantique-Sahel et aussi en faire bénéficier en termes de complémentarité l'ensemble.» Il a rappelé l'audace de la vision Royale : «Il y a 23 ans, quand Sa Majesté a décidé de lancer le port de Tanger Med, c'était faire un deuxième port en face d'un des plus grands ports de transbordement, qui est le port d'Algésiras à 14 km. Et donc au bout de 5 ans, le projet a connu un succès énorme. Aujourd'hui, nous sommes en train de développer la 3e phase du port de Tanger Med et on parle de Tanger Med 4.» C'est «dans ce même esprit, dans cette même vision, dans cet esprit de solidarité régissante que la façade Atlantique Afrique à travers le Port de Dakhla Atlantique puisse se développer, bien sûr en complémentarité» avec les autres ports africains.
3. La flotte maritime marchande marocaine : «Le troisième projet qui va être aussi un accélérateur de ce développement, c'est le projet annoncé par Sa Majesté pour que le Royaume du Maroc puisse se doter d'une flotte maritime marchande. Les études ont été faites par le ministère du transport. Là aussi c'est un projet qui va venir accélérer cette complémentarité entre ces ports et les différents ports d'Afrique subsaharienne atlantique, mais aussi permettre à cette façade Atlantique Afrique de se connecter au monde et de bénéficier des différents flux commerciaux et d'investissement».
1. Le gazoduc Atlantique Maroc-Nigeria : «Ces sont 13 pays qui vont bénéficier de ce gazoduc-là, et donc cela veut dire un accès à une énergie compétitive, mais aussi le développement d'écosystèmes industriels avec accès à l'énergie et, enfin, bien sûr un accès à l'électricité de toutes les populations de ce massif.»
2. Le Port de Dakhla Atlantique : l'ambassadeur a établi un parallèle historique éclairant : «C'est un projet qui, à l'image de la transformation qu'a réussi à opérer Tanger Med, peut apporter cette même transformation au niveau de cet espace Afrique-Atlantique-Sahel et aussi en faire bénéficier en termes de complémentarité l'ensemble.» Il a rappelé l'audace de la vision Royale : «Il y a 23 ans, quand Sa Majesté a décidé de lancer le port de Tanger Med, c'était faire un deuxième port en face d'un des plus grands ports de transbordement, qui est le port d'Algésiras à 14 km. Et donc au bout de 5 ans, le projet a connu un succès énorme. Aujourd'hui, nous sommes en train de développer la 3e phase du port de Tanger Med et on parle de Tanger Med 4.» C'est «dans ce même esprit, dans cette même vision, dans cet esprit de solidarité régissante que la façade Atlantique Afrique à travers le Port de Dakhla Atlantique puisse se développer, bien sûr en complémentarité» avec les autres ports africains.
3. La flotte maritime marchande marocaine : «Le troisième projet qui va être aussi un accélérateur de ce développement, c'est le projet annoncé par Sa Majesté pour que le Royaume du Maroc puisse se doter d'une flotte maritime marchande. Les études ont été faites par le ministère du transport. Là aussi c'est un projet qui va venir accélérer cette complémentarité entre ces ports et les différents ports d'Afrique subsaharienne atlantique, mais aussi permettre à cette façade Atlantique Afrique de se connecter au monde et de bénéficier des différents flux commerciaux et d'investissement».
Une coopération déjà active
Mohamed Methqal a également souligné que «cette façade atlantique a des potentiels» et que «la coopération marocaine a toujours été présente». Il a cité des chiffres éloquents : «Aujourd'hui, le Maroc accueille 20.000 étudiants africains à travers la coopération. 90% sont boursiers. 40% de ces étudiants sont originaires de pays de la façade atlantique et 25% de ces 20.000 étudiants, c'est à peu près 4.000 étudiants, sont originaires des pays du Sahel».
«Juste pour vous montrer que la vision Royale est déjà mise en œuvre dans les différents programmes de coopération», a-t-il conclu, ajoutant qu'avec «le portefeuille de projets qui a été identifié avec les task forces nationales des quatre pays du Sahel autour de la dimension infrastructure, mobilité, énergie, interconnexion électrique, développement socio-humain ou la facilitation du commerce», de nombreux projets «dans le solaire, dans la mobilité, qu'elle soit aérienne, ferroviaire, routière, infrastructure», peuvent «offrir une plateforme de développement de partenariat entre le Maroc et la France au service des populations africaines dans une logique gagnant-gagnant-gagnant : Maroc, France et Afrique subsaharienne».
«Juste pour vous montrer que la vision Royale est déjà mise en œuvre dans les différents programmes de coopération», a-t-il conclu, ajoutant qu'avec «le portefeuille de projets qui a été identifié avec les task forces nationales des quatre pays du Sahel autour de la dimension infrastructure, mobilité, énergie, interconnexion électrique, développement socio-humain ou la facilitation du commerce», de nombreux projets «dans le solaire, dans la mobilité, qu'elle soit aérienne, ferroviaire, routière, infrastructure», peuvent «offrir une plateforme de développement de partenariat entre le Maroc et la France au service des populations africaines dans une logique gagnant-gagnant-gagnant : Maroc, France et Afrique subsaharienne».
Le Port de Dakhla Atlantique : pivot d'une transformation régionale
Dans le même esprit, Nisrine Louzzi, directrice générale du Port Dakhla Atlantique, a apporté un éclairage technique et stratégique sur ce projet phare. Elle a d'abord remercié «les organisateurs pour ce moment d'échange, ce moment économique, mais aussi un moment d'amitié, d'échange France-Maroc sur les coopérations, sur les nouvelles opportunités également économiques de coopération». Selon elle, «le Port de Dakhla Atlantique s'inscrit dans le cadre d'un certain nombre de stratégies qui trouvent leur interconnexion au sein du chantier de S.M. le Roi», a expliqué Nisrine Louzzi. Il répond à «des objectifs géostratégiques qui sont bien évidemment la coopération Sud-Sud» et s'inscrit dans «la stratégie nationale portuaire 2030 du ministère de l'Équipement et de l'eau».
Cette stratégie a prévu «en tant qu'axe majeur d'investissement que les infrastructures portuaires soient un moteur du développement économique pour les régions». Le port répond également «à des critères très clairs par rapport au nouveau modèle de développement des provinces du Sud, des critères relatifs à l'économie, relatifs au social, relatifs également à cette synergie entre l'industrie et la logistique et également l'aménagement du territoire, et qui n'est pas des moindres, puisque le port aujourd'hui c'est une infrastructure qui va relayer en quelque sorte la santé économique de la région».
Cette stratégie a prévu «en tant qu'axe majeur d'investissement que les infrastructures portuaires soient un moteur du développement économique pour les régions». Le port répond également «à des critères très clairs par rapport au nouveau modèle de développement des provinces du Sud, des critères relatifs à l'économie, relatifs au social, relatifs également à cette synergie entre l'industrie et la logistique et également l'aménagement du territoire, et qui n'est pas des moindres, puisque le port aujourd'hui c'est une infrastructure qui va relayer en quelque sorte la santé économique de la région».
Un complexe portuaire multifonctionnel et innovant
La directrice générale a souligné que le Port de Dakhla Atlantique, qui a été visité par la délégation des 300 participants marocains et français, «va répondre aux activités liées aux énergies renouvelables». Le projet «s'adapte aussi pour supporter l'offre marocaine d'hydrogène vert, et qui dit l'offre marocaine d'hydrogène vert dit les énergies renouvelables, dit le dessalement de l'eau et différentes activités nécessaires pour que cette industrie aussi prometteuse à l'échelle nationale et à l'échelle internationale puisse être au niveau d'envergure qui est souhaité». Au-delà de l'énergie verte, «c'est un complexe portuaire unique au niveau des provinces du Sud qui va venir répondre à un certain nombre d'objectifs».
Des investissements français massifs dans les provinces du Sud
Prenant part à cette journée économique à Dakhla, Bertrand Walckenaer, directeur général adjoint de l'AFD, a rappelé l'ancienneté et l'ampleur de l'engagement français. «L'Agence française de développement, la banque française de développement à l'international, nous sommes présents au Maroc, nous investissons au Maroc depuis 1992. Le Maroc est même notre premier pays d'intervention au monde», a-t-il souligné. «Nous investissons dans 120 pays. Nous avons aujourd'hui 3,2 milliards d'euros de projets en cours développés patiemment depuis des années avec les autorités marocaines, avec nos partenaires marocains», a-t-il précisé, saluant notamment «le directeur général de la Caisse de dépôt et de gestion avec qui nous co-investissons depuis de nombreuses années dans des projets dans le domaine de l'emploi, dans le domaine de la formation professionnelle...». Il a cité trois axes d'intervention prioritaires.
• Le capital humain : «C'est la formation professionnelle, c'est l'égalité entre les femmes et les hommes. Le Maroc est un pays précurseur en la matière et à travers nos investissements dans les Instituts de gestion délégués en partenariat avec le secteur privé. C'est construire avec les acteurs du secteur privé, de l'aéronautique, de la pharmacie, des transports, demain, les emplois, les compétences dont le Maroc, dont l'Afrique subsaharienne aura besoin pour accompagner son développement économique.»
• Les infrastructures : «Nous sommes présents dans le secteur des transports et de nombreuses entreprises marocaines et françaises ont remporté des marchés financés par l'AFD, passés par les autorités marocaines et ont été sélectionnés pour réaliser par exemple à Agadir des lignes de tramway».
• Le capital naturel : «C'est cette expertise que nous mobilisons, mais que nous développons aussi, et cette connaissance que nous acquérons dans la gestion de la ressource en eau, dans la gestion de la ressource forestière et dans la gestion des parcs naturels, avec aussi en germe un enjeu de transfert d'expérience et d'innovation dans d'autres pays du bassin méditerranéen et peut-être même en France, compte tenu de l'évolution des conditions climatiques dans le sud de la France».
• Le capital humain : «C'est la formation professionnelle, c'est l'égalité entre les femmes et les hommes. Le Maroc est un pays précurseur en la matière et à travers nos investissements dans les Instituts de gestion délégués en partenariat avec le secteur privé. C'est construire avec les acteurs du secteur privé, de l'aéronautique, de la pharmacie, des transports, demain, les emplois, les compétences dont le Maroc, dont l'Afrique subsaharienne aura besoin pour accompagner son développement économique.»
• Les infrastructures : «Nous sommes présents dans le secteur des transports et de nombreuses entreprises marocaines et françaises ont remporté des marchés financés par l'AFD, passés par les autorités marocaines et ont été sélectionnés pour réaliser par exemple à Agadir des lignes de tramway».
• Le capital naturel : «C'est cette expertise que nous mobilisons, mais que nous développons aussi, et cette connaissance que nous acquérons dans la gestion de la ressource en eau, dans la gestion de la ressource forestière et dans la gestion des parcs naturels, avec aussi en germe un enjeu de transfert d'expérience et d'innovation dans d'autres pays du bassin méditerranéen et peut-être même en France, compte tenu de l'évolution des conditions climatiques dans le sud de la France».
Des engagements concrets pour Dakhla
Bertrand Walckenaer a annoncé des investissements significatifs dans les provinces du Sud. «Nous avons commencé à travailler avec des équipes dans le secteur portuaire et nous allons octroyer un prêt de 100 millions d'euros à l'Agence nationale des ports, mais pour financer spécifiquement des investissements dans un certain nombre de ports des provinces du sud du Maroc sur la décarbonation, sur la mise à niveau des infrastructures et sur la montée en gamme des facilités et des équipements de ces infrastructures portuaires à partir de l'année 2026». L'AFD a également «des discussions avec les équipes de la région pour travailler et accompagner le plan de déploiement et le plan de développement des services de base dans le secteur de l'éducation, dans le secteur de l'eau et également dans le secteur de l'énergie».
Le directeur général adjoint a souligné que «le Maroc et les provinces du sud du Maroc constituent certainement un très bon laboratoire de ce que pourront être demain les énergies renouvelables et le développement de nouvelles technologies qui sont encore à une phase de développement de niveau startup et qui demain devront être déployés à l'échelle internationale». «Notre ambition, elle est très claire : création d'emplois, retour pour les populations locales. Investissement dans des secteurs prioritaires pour le Maroc et puis accompagner cette vision stratégique extrêmement claire, cette planification territoriale», a-t-il conclu.
Le directeur général adjoint a souligné que «le Maroc et les provinces du sud du Maroc constituent certainement un très bon laboratoire de ce que pourront être demain les énergies renouvelables et le développement de nouvelles technologies qui sont encore à une phase de développement de niveau startup et qui demain devront être déployés à l'échelle internationale». «Notre ambition, elle est très claire : création d'emplois, retour pour les populations locales. Investissement dans des secteurs prioritaires pour le Maroc et puis accompagner cette vision stratégique extrêmement claire, cette planification territoriale», a-t-il conclu.
