Connexion
Le Maroc célèbre, chaque 18 novembre, la Fête de l’Indépendance, en souvenir du discours historique prononcé par feu S.M. le Roi Mohammed V lors de son retour d’exil en 1955, événement qui symbolisa la fin du protectorat français et le début de l’édification de l’État moderne.
Depuis ce retour historique de feu S.M. le Roi Mohammed V, qui marqua le renouveau de la souveraineté nationale, le Royaume n’a cessé de renforcer son unité et d’affermir son indépendance.
Ce moment fondateur fut le point de départ d’un long processus de parachèvement territorial, poursuivi avec détermination par le Trône et le peuple : récupération de Tarfaya en 1958, de Sidi Ifni en 1969, puis du Sahara marocain en 1975 avec la glorieuse Marche Verte. Ces étapes successives ont permis au pays de reconstituer son intégrité territoriale tout en posant les bases d’un État moderne, profondément enraciné dans son histoire et résolument tourné vers l’avenir. La construction de l’unité nationale n’a pas été un simple aboutissement politique ; elle est devenue le moteur même du développement du pays.
Dès les premières décennies de l’indépendance, et plus encore sous le règne de feu S.M. le Roi Hassan II, le Maroc a forgé des institutions fortes, consolidé son identité collective et investi dans les régions du Sud, bien avant que la question ne soit définitivement réglée sur la scène internationale.
Une autonomie stratégique multidimensionnelle
Ce pragmatisme visionnaire a trouvé son expression la plus aboutie sous l’impulsion de S.M. le Roi Mohammed VI, avec le lancement en 2015 du Nouveau modèle de développement des provinces du Sud, véritable acte de confiance et d’engagement pour faire du Sahara un pôle d’attractivité économique et de prospérité sociale.
En 2025, le Royaume franchit une étape décisive dans cette épopée nationale. L’instauration par le Souverain de la Fête de l’Unité, « Aïd Al Wahda », célébrée le 31 octobre, consacre la reconnaissance internationale exprimée dans la résolution 2797 du Conseil de sécurité, qui érige l’Initiative marocaine d’autonomie en base exclusive des négociations. Cette date historique, vécue dans une liesse populaire rappelant l’enthousiasme national de 1955, marque un tournant dans l’histoire contemporaine du Royaume. Elle symbolise un Maroc désormais reconnu, dans ses droits, dans ses frontières et dans sa stabilité, comme un acteur régional responsable et crédible.
Cette cohésion retrouvée et renforcée s’inscrit dans une vision nationale globale, portée par S.M. le Roi Mohammed VI depuis Son accession au Trône. Elle repose sur une gouvernance profondément modernisée, fondée sur la régionalisation avancée, la décentralisation, la réforme de l’administration et le rapprochement du pouvoir décisionnel des citoyens. Elle se traduit également par une autonomie stratégique multidimensionnelle, où la souveraineté économique, éducative, sociale, sanitaire, énergétique et numérique devient un objectif central.
Cette orientation s’incarne dans les grandes réformes engagées au cours des deux dernières décennies : industrialisation accélérée, infrastructures de classe mondiale, transition énergétique ambitieuse, programmes sociaux structurants, réforme du système éducatif, essor du numérique et souveraineté technologique émergente.
En effet, le Maroc a choisi d’aller au-delà de l’indépendance politique conquise au milieu du XXe siècle pour bâtir une souveraineté globale adaptée aux enjeux du XXIe. Cette souveraineté nouvelle vise à renforcer la résilience du pays, à consolider son autonomie stratégique et à garantir sa capacité à protéger ses intérêts vitaux dans un monde en mutation permanente.
Fort de son histoire, de son modèle de gouvernance et de l’attachement indéfectible entre le Trône et le peuple, le Royaume aborde l’avenir avec confiance, uni dans sa diversité, solide dans ses fondements et déterminé à poursuivre sa marche vers le progrès et la stabilité durable.
Depuis ce retour historique de feu S.M. le Roi Mohammed V, qui marqua le renouveau de la souveraineté nationale, le Royaume n’a cessé de renforcer son unité et d’affermir son indépendance.
Ce moment fondateur fut le point de départ d’un long processus de parachèvement territorial, poursuivi avec détermination par le Trône et le peuple : récupération de Tarfaya en 1958, de Sidi Ifni en 1969, puis du Sahara marocain en 1975 avec la glorieuse Marche Verte. Ces étapes successives ont permis au pays de reconstituer son intégrité territoriale tout en posant les bases d’un État moderne, profondément enraciné dans son histoire et résolument tourné vers l’avenir. La construction de l’unité nationale n’a pas été un simple aboutissement politique ; elle est devenue le moteur même du développement du pays.
Dès les premières décennies de l’indépendance, et plus encore sous le règne de feu S.M. le Roi Hassan II, le Maroc a forgé des institutions fortes, consolidé son identité collective et investi dans les régions du Sud, bien avant que la question ne soit définitivement réglée sur la scène internationale.
Une autonomie stratégique multidimensionnelle
Ce pragmatisme visionnaire a trouvé son expression la plus aboutie sous l’impulsion de S.M. le Roi Mohammed VI, avec le lancement en 2015 du Nouveau modèle de développement des provinces du Sud, véritable acte de confiance et d’engagement pour faire du Sahara un pôle d’attractivité économique et de prospérité sociale.
En 2025, le Royaume franchit une étape décisive dans cette épopée nationale. L’instauration par le Souverain de la Fête de l’Unité, « Aïd Al Wahda », célébrée le 31 octobre, consacre la reconnaissance internationale exprimée dans la résolution 2797 du Conseil de sécurité, qui érige l’Initiative marocaine d’autonomie en base exclusive des négociations. Cette date historique, vécue dans une liesse populaire rappelant l’enthousiasme national de 1955, marque un tournant dans l’histoire contemporaine du Royaume. Elle symbolise un Maroc désormais reconnu, dans ses droits, dans ses frontières et dans sa stabilité, comme un acteur régional responsable et crédible.
Cette cohésion retrouvée et renforcée s’inscrit dans une vision nationale globale, portée par S.M. le Roi Mohammed VI depuis Son accession au Trône. Elle repose sur une gouvernance profondément modernisée, fondée sur la régionalisation avancée, la décentralisation, la réforme de l’administration et le rapprochement du pouvoir décisionnel des citoyens. Elle se traduit également par une autonomie stratégique multidimensionnelle, où la souveraineté économique, éducative, sociale, sanitaire, énergétique et numérique devient un objectif central.
Cette orientation s’incarne dans les grandes réformes engagées au cours des deux dernières décennies : industrialisation accélérée, infrastructures de classe mondiale, transition énergétique ambitieuse, programmes sociaux structurants, réforme du système éducatif, essor du numérique et souveraineté technologique émergente.
En effet, le Maroc a choisi d’aller au-delà de l’indépendance politique conquise au milieu du XXe siècle pour bâtir une souveraineté globale adaptée aux enjeux du XXIe. Cette souveraineté nouvelle vise à renforcer la résilience du pays, à consolider son autonomie stratégique et à garantir sa capacité à protéger ses intérêts vitaux dans un monde en mutation permanente.
Fort de son histoire, de son modèle de gouvernance et de l’attachement indéfectible entre le Trône et le peuple, le Royaume aborde l’avenir avec confiance, uni dans sa diversité, solide dans ses fondements et déterminé à poursuivre sa marche vers le progrès et la stabilité durable.
