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Cette initiative s’inscrit dans une dynamique interne constante visant à renouveler les équipes dirigeantes, à renforcer la performance institutionnelle et à consolider le modèle de gouvernance sécuritaire fondé sur le mérite, la compétence et l’intégrité. La DGSN a ainsi souligné que ces nominations traduisent la volonté d’intégrer des profils jeunes et expérimentés, capables de contribuer activement à la sécurité des citoyens et à la protection de leurs biens.
Les nouvelles affectations concernent plusieurs villes, notamment Taza, Azrou, Ben Guerir, Settat et Ouarzazate. Au total, six postes de responsabilité ont été pourvus : un vice-chef de la zone de sûreté de Settat, un chef du service régional de la police judiciaire à Ouarzazate, et un chef de l’annexe administrative policière à Ben Guerir. Deux commissaires ont également été nommés à la tête de circonscriptions de police à Taza, tandis qu’un cadre a été désigné à la tête de la brigade de la circulation à Azrou.
Dans son communiqué, la DGSN précise que ces nominations reposent sur des critères stricts de compétence, de probité et d’expérience, en droite ligne avec la stratégie sécuritaire nationale. Celle-ci vise à renforcer le sentiment de sécurité parmi les citoyens, à améliorer la qualité des services rendus et à promouvoir une police de proximité plus ouverte et plus communicante.
Ces nouvelles désignations interviennent quelques jours seulement après une autre série de nominations touchant les services déconcentrés de la Sûreté nationale à Tétouan, Casablanca, Laâyoune, Sidi Ifni, Youssoufia, Fès, Marrakech, Sefrou, Rabat et Inzegane, ainsi que certaines directions centrales à Rabat.
Cette précédente vague avait concerné dix-sept postes de responsabilité, dont la nomination d’un nouveau chef de la zone de sûreté de Tétouan et d’un commissaire à la tête du poste de police du port maritime de Sidi Ifni. Plusieurs chefs de circonscriptions de police avaient également été désignés dans les zones de Hay Hassani (Casablanca), Fès, Tétouan, Youssoufia et Sidi Ifni.
À travers ces mouvements successifs, Abdellatif Hammouchi confirme sa volonté de consolider une culture managériale fondée sur la relève générationnelle, la transparence et la performance, tout en adaptant l’appareil sécuritaire aux défis actuels de la sécurité urbaine et du service public.
Les nouvelles affectations concernent plusieurs villes, notamment Taza, Azrou, Ben Guerir, Settat et Ouarzazate. Au total, six postes de responsabilité ont été pourvus : un vice-chef de la zone de sûreté de Settat, un chef du service régional de la police judiciaire à Ouarzazate, et un chef de l’annexe administrative policière à Ben Guerir. Deux commissaires ont également été nommés à la tête de circonscriptions de police à Taza, tandis qu’un cadre a été désigné à la tête de la brigade de la circulation à Azrou.
Dans son communiqué, la DGSN précise que ces nominations reposent sur des critères stricts de compétence, de probité et d’expérience, en droite ligne avec la stratégie sécuritaire nationale. Celle-ci vise à renforcer le sentiment de sécurité parmi les citoyens, à améliorer la qualité des services rendus et à promouvoir une police de proximité plus ouverte et plus communicante.
Ces nouvelles désignations interviennent quelques jours seulement après une autre série de nominations touchant les services déconcentrés de la Sûreté nationale à Tétouan, Casablanca, Laâyoune, Sidi Ifni, Youssoufia, Fès, Marrakech, Sefrou, Rabat et Inzegane, ainsi que certaines directions centrales à Rabat.
Cette précédente vague avait concerné dix-sept postes de responsabilité, dont la nomination d’un nouveau chef de la zone de sûreté de Tétouan et d’un commissaire à la tête du poste de police du port maritime de Sidi Ifni. Plusieurs chefs de circonscriptions de police avaient également été désignés dans les zones de Hay Hassani (Casablanca), Fès, Tétouan, Youssoufia et Sidi Ifni.
À travers ces mouvements successifs, Abdellatif Hammouchi confirme sa volonté de consolider une culture managériale fondée sur la relève générationnelle, la transparence et la performance, tout en adaptant l’appareil sécuritaire aux défis actuels de la sécurité urbaine et du service public.
