Le comité de pilotage du Programme National d’Approvisionnement en Eau Potable et d’Irrigation 2020-2027 (PNAEPI) a tenu une réunion mercredi 9 juillet 2025 à Rabat sous la présidence du chef du gouvernement, Aziz Akhannouch,. Cette rencontre s’inscrit dans une dynamique de suivi permanent d’un enjeu stratégique, conformément aux Hautes Directives Royales.
Une présentation détaillée de la situation hydrique nationale a ouvert les travaux. Il ressort que la capacité de retenue des barrages au 7 juillet 2025 atteint environ 4,3 milliards de m³, soit un taux de remplissage de 37,4%. Malgré une amélioration relative, les membres du comité ont souligné la nécessité d’une vigilance constante, en particulier en période estivale marquée par une forte pression sur les ressources.
Des projets structurants en cours de réalisation
La réunion a permis de faire le point sur l’état d’avancement global du programme. Deux projets d’interconnexion majeurs ont été réalisés : le premier relie les bassins hydrauliques de Sebou et Bouregreg, et le second assure la connexion entre les barrages Dar Khrofa et Oued Makhazine.
Entre 2021 et 2025, huit grands barrages ont été mis en eau, marquant une avancée significative dans la sécurisation des ressources hydriques du Royaume.
Dessalement, interconnexions et réutilisation des eaux usées
Le comité a également mis en avant l’accélération des projets de dessalement de l’eau de mer, avec l’ambition d’atteindre une capacité de production dépassant 1,7 milliard de m³ à l’horizon 2030.
L’approvisionnement en eau potable du monde rural reste une priorité. En parallèle, la réutilisation des eaux usées traitées à des fins d’irrigation continue d’être développée, dans une logique d’économie circulaire et de rationalisation des usages.
Un réajustement du programme des barrages
Le programme a fait l’objet d’un ajustement pour mieux répondre aux réalités hydrologiques. Ainsi, la programmation de nouveaux barrages, grands et moyens, a été réévaluée, notamment dans les zones à forte pluviométrie. Ce réajustement vise à optimiser l’efficacité des investissements et à renforcer la résilience du pays face au changement climatique.
Mobilisation continue des acteurs institutionnels
Le chef du gouvernement a appelé à une mobilisation renforcée des ministères et établissements publics concernés, afin d’assurer une mise en œuvre efficiente du programme selon l’échéancier arrêté. Il a insisté sur la nécessaire cohérence entre les politiques hydriques et agricoles.
Ont notamment pris part à cette réunion Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur, Nizar Baraka, ministre de l’Équipement et de l’Eau, Ahmed El Bouari, ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Fouzi Lekjaa, ministre délégué chargé du Budget, ainsi que Tarik Hamane, directeur général de l’Office National de l’Électricité et de l’Eau Potable.
Une présentation détaillée de la situation hydrique nationale a ouvert les travaux. Il ressort que la capacité de retenue des barrages au 7 juillet 2025 atteint environ 4,3 milliards de m³, soit un taux de remplissage de 37,4%. Malgré une amélioration relative, les membres du comité ont souligné la nécessité d’une vigilance constante, en particulier en période estivale marquée par une forte pression sur les ressources.
Des projets structurants en cours de réalisation
La réunion a permis de faire le point sur l’état d’avancement global du programme. Deux projets d’interconnexion majeurs ont été réalisés : le premier relie les bassins hydrauliques de Sebou et Bouregreg, et le second assure la connexion entre les barrages Dar Khrofa et Oued Makhazine.
Entre 2021 et 2025, huit grands barrages ont été mis en eau, marquant une avancée significative dans la sécurisation des ressources hydriques du Royaume.
Dessalement, interconnexions et réutilisation des eaux usées
Le comité a également mis en avant l’accélération des projets de dessalement de l’eau de mer, avec l’ambition d’atteindre une capacité de production dépassant 1,7 milliard de m³ à l’horizon 2030.
L’approvisionnement en eau potable du monde rural reste une priorité. En parallèle, la réutilisation des eaux usées traitées à des fins d’irrigation continue d’être développée, dans une logique d’économie circulaire et de rationalisation des usages.
Un réajustement du programme des barrages
Le programme a fait l’objet d’un ajustement pour mieux répondre aux réalités hydrologiques. Ainsi, la programmation de nouveaux barrages, grands et moyens, a été réévaluée, notamment dans les zones à forte pluviométrie. Ce réajustement vise à optimiser l’efficacité des investissements et à renforcer la résilience du pays face au changement climatique.
Mobilisation continue des acteurs institutionnels
Le chef du gouvernement a appelé à une mobilisation renforcée des ministères et établissements publics concernés, afin d’assurer une mise en œuvre efficiente du programme selon l’échéancier arrêté. Il a insisté sur la nécessaire cohérence entre les politiques hydriques et agricoles.
Ont notamment pris part à cette réunion Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur, Nizar Baraka, ministre de l’Équipement et de l’Eau, Ahmed El Bouari, ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Fouzi Lekjaa, ministre délégué chargé du Budget, ainsi que Tarik Hamane, directeur général de l’Office National de l’Électricité et de l’Eau Potable.
