Interpellé lundi à la Chambre des représentants au sujet du sort des enseignants suspendus, Chakib Benmoussa a souligné que "cette affaire s'inscrit dans le cadre du règlement de la fonction publique. Les dossiers en question ont été soumis à des commissions régionales pour examen". Suite à cette procédure, un déblocage des salaires a été effectué à partir de janvier 2024 pour un nombre considérable de grévistes, a-t-il indiqué.
"Les résultats des délibérations se présentent comme suit : certains cas ont été sanctionnés par des avertissements, tandis que d'autres ont reçu une mise à pied pour une période de moins d'un mois", a précisé Benmoussa, notant que la situation de ces enseignants devrait être résolue après la promulgation des procès-verbaux des conseils disciplinaires.
Pour rappel, plus de 200 enseignants suspendus ont comparu devant les conseils disciplinaires des 12 Académies régionales d'éducation et de formation du Royaume. Selon Benmoussa, la suspension de certains enseignants "n'était pas due à l'observation de la grève, mais à des pratiques et conduites illégales portant atteinte aux établissements et à la liberté des autres".
Par ailleurs, le ministre a noté que son département n'a pas interféré dans les décisions des conseils disciplinaires, et que toute personne en désaccord avec ces sanctions a le droit de déposer une plainte directement auprès du ministère ou de recourir à la justice.
"Les résultats des délibérations se présentent comme suit : certains cas ont été sanctionnés par des avertissements, tandis que d'autres ont reçu une mise à pied pour une période de moins d'un mois", a précisé Benmoussa, notant que la situation de ces enseignants devrait être résolue après la promulgation des procès-verbaux des conseils disciplinaires.
Pour rappel, plus de 200 enseignants suspendus ont comparu devant les conseils disciplinaires des 12 Académies régionales d'éducation et de formation du Royaume. Selon Benmoussa, la suspension de certains enseignants "n'était pas due à l'observation de la grève, mais à des pratiques et conduites illégales portant atteinte aux établissements et à la liberté des autres".
Par ailleurs, le ministre a noté que son département n'a pas interféré dans les décisions des conseils disciplinaires, et que toute personne en désaccord avec ces sanctions a le droit de déposer une plainte directement auprès du ministère ou de recourir à la justice.