Dans une réponse à une question écrite posée par le conseiller Mustafa Dahmani, Nizar Baraka a précisé que, depuis novembre 2022 jusqu'au 9 septembre 2023, quatre opérations d’ensemencement des nuages ont été effectuées à l'aide de générateurs terrestres, tandis que deux autres ont été menées par avion.
"Les évaluations statistiques et physico-chimiques réalisées entre 1984 et 1989 ont démontré que les précipitations pluviales et neigeuses dans les zones cibles ont augmenté de 14 à 17 %, ce qui représente un gain de 4 millions de m3 par an", a souligné Baraka précisant que "chaque dirham investi dans ce programme génère un retour sur investissement de 3,37 dirhams pour l'approvisionnement en eau".
Le ministre a également affirmé que des substances non nocives pour l'environnement, telles que "l'iodure d'argent" et le "chlorure de sodium", sont utilisées dans ces opérations pour optimiser la production de précipitations.
Nizar Baraka a rappelé également que "le programme Al Ghaith repose sur une infrastructure solide, avec 20 sites équipés de générateurs répartis dans trois centres à Béni Mellal, Azilal et El Hajeb". Ces centres, a-t-il expliqué, sont équipés par des outils de mesures des données relatives à la physique des nuages et interviennent dès que les conditions météorologiques sont jugées favorables à l'ensemencement des nuages dans ces régions. En outre, ces centres effectuent l'ensemencement à différents niveaux atmosphériques à l'aide d'avions spécialement équipés pour ces opérations.
Lancé par Feu S.M. Hassan II en 1984 pour faire face à la sécheresse, le programme Al Ghaith intègre des technologies modernes et des compétences humaines spécialisées, ainsi que des expertises techniques de haut niveau, reconnues à l'échelle africaine et internationale.
"Les évaluations statistiques et physico-chimiques réalisées entre 1984 et 1989 ont démontré que les précipitations pluviales et neigeuses dans les zones cibles ont augmenté de 14 à 17 %, ce qui représente un gain de 4 millions de m3 par an", a souligné Baraka précisant que "chaque dirham investi dans ce programme génère un retour sur investissement de 3,37 dirhams pour l'approvisionnement en eau".
Le ministre a également affirmé que des substances non nocives pour l'environnement, telles que "l'iodure d'argent" et le "chlorure de sodium", sont utilisées dans ces opérations pour optimiser la production de précipitations.
Nizar Baraka a rappelé également que "le programme Al Ghaith repose sur une infrastructure solide, avec 20 sites équipés de générateurs répartis dans trois centres à Béni Mellal, Azilal et El Hajeb". Ces centres, a-t-il expliqué, sont équipés par des outils de mesures des données relatives à la physique des nuages et interviennent dès que les conditions météorologiques sont jugées favorables à l'ensemencement des nuages dans ces régions. En outre, ces centres effectuent l'ensemencement à différents niveaux atmosphériques à l'aide d'avions spécialement équipés pour ces opérations.
Lancé par Feu S.M. Hassan II en 1984 pour faire face à la sécheresse, le programme Al Ghaith intègre des technologies modernes et des compétences humaines spécialisées, ainsi que des expertises techniques de haut niveau, reconnues à l'échelle africaine et internationale.