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Les parents des étudiants en médecine et en pharmacie ont manifesté leur colère lors d'un sit-in organisé samedi devant le Parlement à Rabat. Ils dénoncent la gestion du dossier de leurs enfants par les responsables, qui a conduit à la suspension du dialogue, au gaspillage du temps universitaire et à l'aggravation de la crise. Ces parents regrettent l'absence d'interaction sérieuse et responsable de la part des autorités et mettent en garde contre les conséquences graves de cette situation sur l'avenir de la formation des futurs médecins et pharmaciens et sur la réussite du projet de réforme du système de santé.
Cette mobilisation s'inscrit dans le cadre du soutien continu des parents à leurs enfants en grève depuis sept mois. Les étudiants réclament une amélioration des conditions de formation médicale, le retour sur les décisions de réduction des années d'études et une limitation du nombre d'étudiants admis dans des facultés déjà surpeuplées ce qui complique les affectations pour les stage dans les hôpitaux et les centres de santé.
Les parents réclamant également les mêmes droits à la formation théorique et au nombre d'heures de stages cliniques que les étudiants des promotions précédentes. Pour eux, la réduction des heures de stages cliniques de 4.500 à 3.900 est une injustice. Ils dénoncent par ailleurs le blocage du dialogue avec les étudiants, aggravant ainsi la crise malgré les signes d'apaisement observés début juin. "Nous espérons toujours une résolution définitive de la crise des facultés de médecine et de pharmacie pour sauver l'année universitaire en cours", rapporte un parent. Exprimant son mécontentement de voir l'avenir de son fils menacé, ce papa a tenu à dénoncé la programmation unilatérale des examens du second semestre par le ministère de l'Enseignement supérieur. Il a souligné que le choix de ce timing était inapproprié pour les étudiants, entraînant un taux de boycott des examens de plus de 96%. Il a appelé les autorités à intervenir d'urgence pour rouvrir le dialogue et négocier sérieusement avec les étudiants, afin d'éviter une année blanche, qui semble imminente si des solutions efficaces ne sont pas trouvées rapidement pour satisfaire toutes les parties.
De son côté, une mère d'une étudiante de la faculté de médecine et de pharmacie de Tanger a déclaré que la détérioration de la situation dans les facultés reflète, selon elle, le manque de sérieux du gouvernement, à travers les ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur, dans la gestion des revendications des futurs médecins et pharmaciens. Elle estime que la suspension du dialogue et l'aggravation de la crise conduiront à une détérioration des conditions dans les facultés, avec des conséquences graves sur l'avenir et la compétence des futurs professionnels de la santé.
Les parents des étudiants en médecine et en pharmacie insistent sur la nécessité pour le gouvernement de répondre de manière urgente aux demandes des étudiants. Ils soulignent que leurs enfants souffrent de conditions de formation difficiles et de surpopulation dans les hôpitaux et les centres de formation. Selon eux, les solutions partielles proposées par le gouvernement ne seront pas suffisantes tant que les causes profondes des problèmes du secteur ne seront pas traitées. Ils appellent ainsi à l'ouverture d'un dialogue sérieux et responsable avec les représentants des étudiants pour trouver des solutions consensuelles, garantissant leurs droits et contribuant à l'amélioration de la qualité des formations médicales, afin de garantir la réussite du grand projet de réforme du système de santé.
Cette mobilisation s'inscrit dans le cadre du soutien continu des parents à leurs enfants en grève depuis sept mois. Les étudiants réclament une amélioration des conditions de formation médicale, le retour sur les décisions de réduction des années d'études et une limitation du nombre d'étudiants admis dans des facultés déjà surpeuplées ce qui complique les affectations pour les stage dans les hôpitaux et les centres de santé.
Les parents réclamant également les mêmes droits à la formation théorique et au nombre d'heures de stages cliniques que les étudiants des promotions précédentes. Pour eux, la réduction des heures de stages cliniques de 4.500 à 3.900 est une injustice. Ils dénoncent par ailleurs le blocage du dialogue avec les étudiants, aggravant ainsi la crise malgré les signes d'apaisement observés début juin. "Nous espérons toujours une résolution définitive de la crise des facultés de médecine et de pharmacie pour sauver l'année universitaire en cours", rapporte un parent. Exprimant son mécontentement de voir l'avenir de son fils menacé, ce papa a tenu à dénoncé la programmation unilatérale des examens du second semestre par le ministère de l'Enseignement supérieur. Il a souligné que le choix de ce timing était inapproprié pour les étudiants, entraînant un taux de boycott des examens de plus de 96%. Il a appelé les autorités à intervenir d'urgence pour rouvrir le dialogue et négocier sérieusement avec les étudiants, afin d'éviter une année blanche, qui semble imminente si des solutions efficaces ne sont pas trouvées rapidement pour satisfaire toutes les parties.
De son côté, une mère d'une étudiante de la faculté de médecine et de pharmacie de Tanger a déclaré que la détérioration de la situation dans les facultés reflète, selon elle, le manque de sérieux du gouvernement, à travers les ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur, dans la gestion des revendications des futurs médecins et pharmaciens. Elle estime que la suspension du dialogue et l'aggravation de la crise conduiront à une détérioration des conditions dans les facultés, avec des conséquences graves sur l'avenir et la compétence des futurs professionnels de la santé.
Les parents des étudiants en médecine et en pharmacie insistent sur la nécessité pour le gouvernement de répondre de manière urgente aux demandes des étudiants. Ils soulignent que leurs enfants souffrent de conditions de formation difficiles et de surpopulation dans les hôpitaux et les centres de formation. Selon eux, les solutions partielles proposées par le gouvernement ne seront pas suffisantes tant que les causes profondes des problèmes du secteur ne seront pas traitées. Ils appellent ainsi à l'ouverture d'un dialogue sérieux et responsable avec les représentants des étudiants pour trouver des solutions consensuelles, garantissant leurs droits et contribuant à l'amélioration de la qualité des formations médicales, afin de garantir la réussite du grand projet de réforme du système de santé.
